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"Nous ne sommes pas le premier restaurant de croque-monsieur
à naître, mais nous sommes les inventeurs d'un nouveau type de croque-monsieur."
Les créateurs d'Escrocs, inauguré le 27 septembre dernier dans une artère piétonne
du Vieux-Limoges, se basent sur ce simple en-cas cher aux bistrots et aux
consommateurs pressés, pour le réinventer en le hissant au rang des vrais plats
et des assiettes bien pleines, tout en en proposant plusieurs déclinaisons. Franck
Lagorce, le chef, originaire de Limoges, a travaillé dans plusieurs maisons avant
de planter ses tables, inspiré par ce plat d'apparence simple mais ultra
populaire. Il en a créé plusieurs recettes, remplaçant par exemple la tranche
de jambon par un haché de viande de canard, voire de chair de truite des rivières
corréziennes.
"Nous avons mis dix-neuf mois à monter le dossier, trouver l'emplacement, écrire nos menus, dévoile Franck Lagorce. Ici, tout est fait maison, salades et accompagnements divers, nos viandes venant du marché voisin et des halles de Limoges. Nos jus de fruits eux-mêmes sont frais et pressés sur place, et nous nous attachons aux exigences diététiques de nos clients."
Franchise ou filiale
Baptisés Tueur, Coquin, Innocent ou Tordu, ces croques pas ordinaires sont servis dans une salle au look moderne pouvant accueillir une quarantaine de convives, augmentée d'une seconde de 32 places, et complétées d'une terrasse estivale. Le ticket moyen est de 11 €, avec des formules à 10,50 et 12,50 €. L'établissement ferme les dimanches et lundis. L'originalité du concept : les Escrocs s'affichent en 'bandits' dirigés par un 'bandit en chef', ce qui permet à ses inventeurs de voir au-delà d'une seule adresse limougeaude.
"Nous réfléchissons à une franchise ou un système de filiale, explique Denis Lanarde, bandit chargé du management. Principalement dans la région Nouvelle-Aquitaine, dans des villes de taille moyenne, avec un cahier des charges précis : obligation d'utiliser des produits locaux, décor intérieur et image communes. Nous allons d'abord étudier la rentabilité avant de parler chiffres, mais au bout d'un mois d'exercice, nous savons déjà être sur la bonne voie."
"Nous avons mis dix-neuf mois à monter le dossier, trouver l'emplacement, écrire nos menus, dévoile Franck Lagorce. Ici, tout est fait maison, salades et accompagnements divers, nos viandes venant du marché voisin et des halles de Limoges. Nos jus de fruits eux-mêmes sont frais et pressés sur place, et nous nous attachons aux exigences diététiques de nos clients."
Franchise ou filiale
Baptisés Tueur, Coquin, Innocent ou Tordu, ces croques pas ordinaires sont servis dans une salle au look moderne pouvant accueillir une quarantaine de convives, augmentée d'une seconde de 32 places, et complétées d'une terrasse estivale. Le ticket moyen est de 11 €, avec des formules à 10,50 et 12,50 €. L'établissement ferme les dimanches et lundis. L'originalité du concept : les Escrocs s'affichent en 'bandits' dirigés par un 'bandit en chef', ce qui permet à ses inventeurs de voir au-delà d'une seule adresse limougeaude.
"Nous réfléchissons à une franchise ou un système de filiale, explique Denis Lanarde, bandit chargé du management. Principalement dans la région Nouvelle-Aquitaine, dans des villes de taille moyenne, avec un cahier des charges précis : obligation d'utiliser des produits locaux, décor intérieur et image communes. Nous allons d'abord étudier la rentabilité avant de parler chiffres, mais au bout d'un mois d'exercice, nous savons déjà être sur la bonne voie."
Publié par Jean-Pierre GOURVEST
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