"Horesca fera tout son possible pour persuader les pouvoirs publics de laisser une porte ouverte au libre choix des exploitants de cafés. Car nous sommes d'avis qu'un patron devrait choisir lui-même de quelle manière il entend diriger son entreprise, avec ou sans cigarettes", écrit François Koepp, le secrétaire général de la Fédération nationale des hôteliers restaurateurs et cafetiers du Luxembourg dans le numéro de janvier 2012 du magazine de la fédération. Un message qui n'est pas nouveau mais qui a tendance à se répéter ces derniers mois, alors que le ministre luxembourgeois de la santé, Mars Di Bartolomeo, a confirmé sa ferme intention de vouloir imposer l'interdiction de fumer dans les cafés et discothèques dès cette année.
Une pétition circule
Au registre des arguments, le secrétaire général met en avant les conséquences que l'interdiction de fumer entrée en vigueur en Belgique en juillet dernier a occasionné pour les cafetiers outre-Quiévrain. Le secrétaire général évoque notamment un sondage de Horeca Vlaanderen et de l'Unizo. Réalisé auprès de 250 professionnels, il révèle que 35 % des répondants évaluent que la perte de leur chiffre d'affaires est comprise entre 20 et 30 %, un quart estime qu'elle est supérieure à 30 % et un sondé sur dix affirme avoir perdu plus de la moitié de son chiffre d'affaires. "Une situation qui risque de se répéter dans notre pays", prévient le responsable. Pour mobiliser la profession mais également les consommateurs, une pétition a été lancée par l'Association pour la défense des droits et libertés fondamentales des citoyens (ADDLFC). Elle aurait déjà recueilli des milliers de signatures selon le syndicat Horesca.
Une pétition circule
Au registre des arguments, le secrétaire général met en avant les conséquences que l'interdiction de fumer entrée en vigueur en Belgique en juillet dernier a occasionné pour les cafetiers outre-Quiévrain. Le secrétaire général évoque notamment un sondage de Horeca Vlaanderen et de l'Unizo. Réalisé auprès de 250 professionnels, il révèle que 35 % des répondants évaluent que la perte de leur chiffre d'affaires est comprise entre 20 et 30 %, un quart estime qu'elle est supérieure à 30 % et un sondé sur dix affirme avoir perdu plus de la moitié de son chiffre d'affaires. "Une situation qui risque de se répéter dans notre pays", prévient le responsable. Pour mobiliser la profession mais également les consommateurs, une pétition a été lancée par l'Association pour la défense des droits et libertés fondamentales des citoyens (ADDLFC). Elle aurait déjà recueilli des milliers de signatures selon le syndicat Horesca.
Publié par Jean Fabian
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