C’est dans le restaurant du chef Philippe Excoffier, à Paris (VIIe), que la Maison Rougié a présenté sa nouvelle gamme de 14 produits de la mer. Noix de Saint-Jacques, homard décortiqué, maquereau, hareng, mais aussi carpaccio de Saint-Jacques “prêt à être dressé” ou autre tartare de saumon fumé… la palette est large et“les produits sont issus d’une pêche responsable”, souligne Florian de Prada, chef de produit seafood-restauration hors domicile chez Rougié France et international. “Aujourd’hui, 70 % de nos investissements concernent la RSE”, ajoute Audrey Estival, directrice marketing au sein de la Maison Rougié. Une marque engagée, qui se soucie aussi bien du gaspillage alimentaire que du bien-être des animaux.
Fabrication de tradition et surgélation
Pourquoi des produits de la mer en 2025 ? “Par envie de nous ouvrir à d’autres marchés que celui du canard, tout en privilégiant la même exigence d’une matière première d’exception”, confie Florian de Prada. D’où des noix de Saint-Jacques pêchées à Dieppe (Seine-Maritime), du saumon venu d’Écosse ou des îles Féroé et du homard canadien. Quant aux maquereaux, harengs, cabillauds, ils proviennent des eaux norvégiennes. Le tout issu d’une “fabrication de tradition”, avec le savoir-faire de la Maison Rougié, notamment pour la surgélation, qui permet de disposer de poissons fumés d’une quantité constante tout au long de l’année. “Nous sommes au service et au contact des chefs de 65 pays, répartis sur 5 continents”, rappelle Audrey Estival. Si bien que 90 % des ventes de la Maison Rougié se destinent aujourd’hui à la restauration hors domicile.
Publié par Anne EVEILLARD
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