OTA : Le Sénat italien fait tomber les clauses de parité
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Les hôteliers italiens vont retrouver leur liberté de gestion.
Le Sénat italien a
adopté mercredi 2 août dans sa la loi sur la concurrence une disposition analogue à celle en vigueur en France depuis 2015, rendant nulles les clauses de parité dans les contrats entre hôteliers et plateformes de réservation en ligne (OTA) relaie
l'Umih avec satisfaction. Quatre pays européens ont donc aujourd'hui sauté le pas : La France, l'Autriche,
l'Allemagne et l'Italie, en rendant aux hôteliers leur liberté tarifaire et de gestion. 4 pays qui représentent une part majoritaire du parc hôtelier
européen souligne l'Umih. « Le mouvement engagé dans chacun
des pays membres s'amplifie. Il doit trouver sa traduction au sein des textes
européens au moment où l'Europe conduit une réflexion sur le Digital Single Market » estiment Roland Héguy, président
confédéral de l'Ummih et Jacques Barré,
président du GNC. Pour Laurent Duc, président d'Umih Hôtellerie, désormais optimiste, ces
dispositifs ont toutes les chances de faire boule de neige : « d'un
point de vue européen, de plus en plus de pays devraient se sentir encouragés
par ces exemples pour limiter la domination des plateformes en ligne et réduire
les déséquilibres au bénéfice des consommateurs et des hôteliers européens.
Nous soutenons tout particulièrement les initiatives parlementaires similaires
en cours en Belgique et en Suisse et leur souhaitons le même succès » dit-il.
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