"Des chefs, des petits plats, de la musique" : telle est la recette de Mix en bouche. Ce soir (7 février), c'est à The Carrosserie - une ancienne carrosserie marseillaise métamorphosée en espace de coworking - que les aficionados vont se donner rendez-vous. Ils pourront déguster du poulet Bangkok Marseille et des pâtes aux truffes concoctés sous leurs yeux par Fabien Morreale, candidat de Top Chef 2013 (Le Garage, Gusto Caffé et Gaspard, à Martigues), ou se laisser tenter par les créations de Sébastien Richard (La Table de Sébastien, à Istres) : épaule d'agneau d'Istres confite, légumes anciens mijotés et jus corsé, ou tiramisu chocolat ivoire wasabi. Les 200 participants viennent donc pour se régaler, danser sur les rythmes des DJ Morgan Hammer et FKClub, et même découvrir une sélection d'oeuvres d'art contemporain.
Mini-plats et dance floor
Le concept, lancé dès 2008, a immédiatement plu. "Après avoir organisé des fêtes dans l'univers de l'électro, je me suis recyclé dans la communication de restaurants. J'ai alors eu l'idée de mixer ces deux activités. Pour les chefs, c'est une manière intelligente et moderne de communiquer", estime Benoît Chevalier, à l'initiative du projet. Jusqu'à douze événements sont programmés chaque année dans des "lieux décalés, artistiques ou exceptionnels" : La Gaîté Lyrique ou le Centquatre à Paris, des bateaux naviguant au large de Marseille, La Friche Belle de mai (lieu culturel marseillais), le port de Cassis... "C'est une nouvelle façon d'aborder la cuisine. Il s'agit de s'adapter à la clientèle des 25-45 ans, qui n'a pas forcément envie de rester des heures à table et qui veut s'amuser", poursuit-il. Les cocktails et les mini-plats (servis dans des récipients 100 % biodégradables) sont proposés à 8 €, et les desserts à 4 €. Une formule qui a convaincu de nombreux chefs, dont certains étoilés : Lionel Lévy (Intercontinental Marseille Hôtel Dieu), Michel Portos (Le Malthazar, Marseille), Christophe Dufau (Les Bacchanales, Vence), Guillaume Delage (Bistrot Jadis, Paris)…
Prochaine étape : exporter Mix en bouche à Los Angeles, puis à Londres et Rio de Janeiro. Le 'gastroclubbing' a de beaux jours devant lui.
Mini-plats et dance floor
Le concept, lancé dès 2008, a immédiatement plu. "Après avoir organisé des fêtes dans l'univers de l'électro, je me suis recyclé dans la communication de restaurants. J'ai alors eu l'idée de mixer ces deux activités. Pour les chefs, c'est une manière intelligente et moderne de communiquer", estime Benoît Chevalier, à l'initiative du projet. Jusqu'à douze événements sont programmés chaque année dans des "lieux décalés, artistiques ou exceptionnels" : La Gaîté Lyrique ou le Centquatre à Paris, des bateaux naviguant au large de Marseille, La Friche Belle de mai (lieu culturel marseillais), le port de Cassis... "C'est une nouvelle façon d'aborder la cuisine. Il s'agit de s'adapter à la clientèle des 25-45 ans, qui n'a pas forcément envie de rester des heures à table et qui veut s'amuser", poursuit-il. Les cocktails et les mini-plats (servis dans des récipients 100 % biodégradables) sont proposés à 8 €, et les desserts à 4 €. Une formule qui a convaincu de nombreux chefs, dont certains étoilés : Lionel Lévy (Intercontinental Marseille Hôtel Dieu), Michel Portos (Le Malthazar, Marseille), Christophe Dufau (Les Bacchanales, Vence), Guillaume Delage (Bistrot Jadis, Paris)…
Prochaine étape : exporter Mix en bouche à Los Angeles, puis à Londres et Rio de Janeiro. Le 'gastroclubbing' a de beaux jours devant lui.
Publié par V. B.
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