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Le ton se durcit contre les OTA, édito du journal du 10 août 2017

Juridique et social - mercredi 9 août 2017 09:51
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"Quasiment tous les hôtels, en France ou ailleurs, apparaissent sur les sites des OTA comme Booking.com. Si, dans un premier temps, les professionnels étaient satisfaits de ces apporteurs d'affaires, ils ont vite déchanté face à des contrats ne leur laissant que peu de marge de négociation et des taux de commission augmentant régulièrement. Les hôteliers se sont retrouvés dépossédés de leur clientèle au profit de ces agences en ligne. En France, face à ce déséquilibre, une loi du 6 août 2015 a interdit les clauses de parité tarifaire afin de permettre aux hôteliers de retrouver leur liberté commerciale et tarifaire. D'autres pays européens, à l'instar de l'Autriche et de l'Allemagne rejoints récemment par l'Italie, ont également interdit de telles clauses.

Autre motif de doléance des hôteliers : la dernière campagne de publicité de Booking.com mettant en avant les possibilités d'annulation gratuite en réservant par son intermédiaire. L'association britannique Bed & Breakfast a donc décidé de poursuivre l'OTA devant la commission européenne pour pratiques déloyales et anticoncurrentielles.

Si les justices française et européenne viennent au secours des hôteliers, ces derniers doivent aussi s'emparer des nouvelles technologies en proposant un site internet adapté et efficace, avec un vrai moteur de réservation, afin d'éviter que le client retourne sur les plateformes en ligne pour réserver."

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