"Nous
avons patienté cinq années",
a confié Jean-Luc
Michaud,
dans les couloirs du conseil économique, social et environnemental de Paris (XVIe).
Le président de l'Institut national de formation et d'application
(INFA) faisait allusion au temps nécessaire pour monter un dossier,
passer en commission, jusqu'au décret publié au Journal Officiel
qui a permis de hisser l'INFA au rang de fondation reconnue
d'utilité publique. C'était en novembre 2015 et le 2 mai
dernier, l'installation officielle de cette toute jeune fondation a
eu lieu dans l'hémicycle du conseil économique, social et
environnemental.
"Nous sommes au service de l'emploi et de la promotion sociale"
"C'est une nouvelle page qui s'écrit dans l'histoire de l'INFA", a expliqué Jean-Luc Michaud. Créé en 1945, l'institut vient de souffler ses 70 bougies et, selon son président, a déjà permis de former "près d'un million de personnes". "Nous sommes au service de l'emploi et de la promotion sociale", a-t-il souligné. Une mission qui va se poursuivre et même se développer davantage encore, car le statut de fondation devrait ouvrir de nouvelles portes à l'INFA. Jean-Luc Michaud parle de "mettre en avant des projets innovants en matière de formation et de transmission".
Pour cela, l'Association des amis de la fondation, chapeautée par Georges Bouverot et qui compte déjà une centaine d'adhérents, va accompagner les démarches de la fondation. Ajoutons à cela la mise en place d'un conseil scientifique et d'un comité d'éthique, "pour développer de nouveaux secteurs". Avec un intérêt tout particulier pour le tourisme, l'hôtellerie et la restauration, "champs d'investigations majeurs pour nous", a reconnu Jean-Luc Michaud.
"Nous sommes au service de l'emploi et de la promotion sociale"
"C'est une nouvelle page qui s'écrit dans l'histoire de l'INFA", a expliqué Jean-Luc Michaud. Créé en 1945, l'institut vient de souffler ses 70 bougies et, selon son président, a déjà permis de former "près d'un million de personnes". "Nous sommes au service de l'emploi et de la promotion sociale", a-t-il souligné. Une mission qui va se poursuivre et même se développer davantage encore, car le statut de fondation devrait ouvrir de nouvelles portes à l'INFA. Jean-Luc Michaud parle de "mettre en avant des projets innovants en matière de formation et de transmission".
Pour cela, l'Association des amis de la fondation, chapeautée par Georges Bouverot et qui compte déjà une centaine d'adhérents, va accompagner les démarches de la fondation. Ajoutons à cela la mise en place d'un conseil scientifique et d'un comité d'éthique, "pour développer de nouveaux secteurs". Avec un intérêt tout particulier pour le tourisme, l'hôtellerie et la restauration, "champs d'investigations majeurs pour nous", a reconnu Jean-Luc Michaud.
Publié par Anne EVEILLARD
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