Dans
le reportage, le journaliste reprend le témoignage d'un commis qui a souhaité
garder l'anonymat. Il décrit « une
pression extrême » et avoir subi les foudres du chef pour des légumes
mal taillés. Le second témoignage émane d'un second cuisinier, Franck Yoke, qui évoque des cris, des
insultes, et même avoir été forcé à boire de l'eau de cuisson qu'il avait trop
salée. Ce premier reportage a été suivi d'un second dans lequel on apprend que
Franck Yoke porterait plainte pour harcèlement moral et en une trainée de
poudre, de très nombreux médias ont repris ce que Joël Robuchon qualifie « d'allégations
mensongères ».
Il précise également, dans un communiqué, que « la personne citée est un commis de cuisine qui n'a été présent dans l'établissement que les 1er et 2 janvier 2015, et que, n'étant pas présent dans le restaurant à ces dates, il n'a jamais rencontré cette personne ». Joël Robuchon s'étonne également que « personne n'ait tenté de recueillir son point de vue à l'occasion de cette «enquête » même si elle vise son chef exécutif Tomonori Danzaki, car elle « porte très gravement et injustement atteinte à sa réputation ». Aussi, Joël Robuchon saisit la justice de ces « allégations diffamatoires dont il demande la sanction et la réparation, à la mesure de l'atteinte portée à sa réputation ». Il tient aussi à préciser que «les divers établissements qui portent son nom se caractérisent par une fidélité unique au monde et une harmonie dans l'exécution qui rendent peu crédibles le dossier à charge monté à Bordeaux ».
Le chef multiétoilé a ouvert la Grande Maison le 9 décembre dernier avec Bernard Magrez, après le bouclage du guide Michelin 2015. Il n'a donc pas été en mesure d'être étoilé cette année. Or le reportage souligne le fait que la Grande Maison ne soit pas étoilée, sans préciser qu'en tout état de cause, cela était impossible. Joël Robuchon s'interroge : « méconnaissance du sujet ou intention de nuire » ?
Il précise également, dans un communiqué, que « la personne citée est un commis de cuisine qui n'a été présent dans l'établissement que les 1er et 2 janvier 2015, et que, n'étant pas présent dans le restaurant à ces dates, il n'a jamais rencontré cette personne ». Joël Robuchon s'étonne également que « personne n'ait tenté de recueillir son point de vue à l'occasion de cette «enquête » même si elle vise son chef exécutif Tomonori Danzaki, car elle « porte très gravement et injustement atteinte à sa réputation ». Aussi, Joël Robuchon saisit la justice de ces « allégations diffamatoires dont il demande la sanction et la réparation, à la mesure de l'atteinte portée à sa réputation ». Il tient aussi à préciser que «les divers établissements qui portent son nom se caractérisent par une fidélité unique au monde et une harmonie dans l'exécution qui rendent peu crédibles le dossier à charge monté à Bordeaux ».
Le chef multiétoilé a ouvert la Grande Maison le 9 décembre dernier avec Bernard Magrez, après le bouclage du guide Michelin 2015. Il n'a donc pas été en mesure d'être étoilé cette année. Or le reportage souligne le fait que la Grande Maison ne soit pas étoilée, sans préciser qu'en tout état de cause, cela était impossible. Joël Robuchon s'interroge : « méconnaissance du sujet ou intention de nuire » ?
Publié par Nadine LEMOINE
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