À 50, Valérie
Ferrandis, attachée de presse depuis vingt ans, a eu envie de voir et de
faire autre chose. Ce besoin de changement ne pouvait mieux tomber. Pierre-Éric Remoleux, son époux,
possède une petite collection d'hôtels dont deux sont situés à Paris, et il n'est
pas satisfait de leurs résultats. En juillet 2015, elle est donc nommée directrice
générale de la Villa Bohême et de la Villa parisienne, deux boutique-hôtels 3 étoiles
situés dans le IXe arrondissement.
Un changement de vie qui s'inscrit dans une certaine logique : "Avant, je m'occupais des journalistes ; maintenant je m'occupe des clients", explique-t-elle. D'autant qu'elle compte bien utiliser ce qu'elle a appris auprès de ses anciens clients comme le groupe Oberoi, l'enseigne Sofitel Thalassa et Katara Hospitality. "J'ai été impressionnée par le service offert dans ces enseignes, dit-elle. C'est cela que j'ai envie de traduire dans mes hôtels et qui fera la différence. Nous avons deux petits joyaux avec ces deux hôtels bien placés et rénovés. À nous de savoir les exploiter au mieux." Parmi ses idées pour personnaliser le service, la mise en place d'un petit déjeuner santé qui correspondra mieux à son propre engagement ou encore des petites attentions à porter aux femmes qui voyagent seules. "Une situation que je connais bien et qui est souvent difficile à vivre."
Privilégier le site internet
Elle souhaite aussi modifier la politique tarifaire de ses hôtels et l'ensemble de la distribution. "Je n'ai que 52 chambres, donc il n'est pas question de baisser nos prix. Un travail d'analyse m'a permis de simplifier mes tarifs et de sélectionner mes interlocuteurs", explique-t-elle. Désormais, elle se limite à trois taux de commission : un pour les OTA, un autre pour les grossistes, et le dernier pour les agences. "Cela va me permettre de privilégier notre site internet", déclare la nouvelle hôtelière.
Depuis son arrivée, les résultats s'améliorent pour les deux villas : "Notre prix moyen a augmenté et se trouve désormais autour de 120 € pour les chambres standard et de 140 € pour les catégories les plus élevées." Valérie Ferrandis ne veut pas brusquer la communication sur son groupe, Living Hotels. "Je veux que tout soit prêt, confie-t-elle. Je sais trop bien ce que peut provoquer une communication trop hâtive."
Un changement de vie qui s'inscrit dans une certaine logique : "Avant, je m'occupais des journalistes ; maintenant je m'occupe des clients", explique-t-elle. D'autant qu'elle compte bien utiliser ce qu'elle a appris auprès de ses anciens clients comme le groupe Oberoi, l'enseigne Sofitel Thalassa et Katara Hospitality. "J'ai été impressionnée par le service offert dans ces enseignes, dit-elle. C'est cela que j'ai envie de traduire dans mes hôtels et qui fera la différence. Nous avons deux petits joyaux avec ces deux hôtels bien placés et rénovés. À nous de savoir les exploiter au mieux." Parmi ses idées pour personnaliser le service, la mise en place d'un petit déjeuner santé qui correspondra mieux à son propre engagement ou encore des petites attentions à porter aux femmes qui voyagent seules. "Une situation que je connais bien et qui est souvent difficile à vivre."
Privilégier le site internet
Elle souhaite aussi modifier la politique tarifaire de ses hôtels et l'ensemble de la distribution. "Je n'ai que 52 chambres, donc il n'est pas question de baisser nos prix. Un travail d'analyse m'a permis de simplifier mes tarifs et de sélectionner mes interlocuteurs", explique-t-elle. Désormais, elle se limite à trois taux de commission : un pour les OTA, un autre pour les grossistes, et le dernier pour les agences. "Cela va me permettre de privilégier notre site internet", déclare la nouvelle hôtelière.
Depuis son arrivée, les résultats s'améliorent pour les deux villas : "Notre prix moyen a augmenté et se trouve désormais autour de 120 € pour les chambres standard et de 140 € pour les catégories les plus élevées." Valérie Ferrandis ne veut pas brusquer la communication sur son groupe, Living Hotels. "Je veux que tout soit prêt, confie-t-elle. Je sais trop bien ce que peut provoquer une communication trop hâtive."
Publié par Catherine AVIGNON
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