Consommation : la bière a retrouvé sa place en terrasse
Vie professionnelle - lundi 7 juin 2021 15:18
Ajouter l'article à mes favoris
Suivre les commentaires Poser une question
Ajouter un commentaire Partager :
Article réservé aux abonnés
Suivre les commentaires Poser une question
Ajouter un commentaire Partager :

Le sondage de l’IFOP pour Heineken France publié avant la première phase de déconfinement (Lire ICI) indiquait que 65% des Français avaient l’intention se rendre en terrasses dès leur réouverture. « Les observations de France Boissons sur le terrain confirment l’engouement des consommateurs, malgré une météo mitigée ces dernières semaines » et laissent présager de « belles perspectives pour la saison estivale » selon le distributeur, filiale d’Heineken.
- En 2 semaines d’activité et avec seulement les terrasses ouvertes, 63% des clients CHR (cafés-hôtels-restaurants) de France Boissons ont passé commande, ce qui a permis au distributeur leader en France de retrouver 67% de ses volumes (vs. même période en mai 2019)
- Dans la région Sud-Est, 69% des Français vivant dans cette région avaient indiqué qu’ils se réjouissaient à l’idée de se rendre en terrasse (et près de ¾ d’entre eux prévoyaient de s’y installer dès le Jour-J, le 19 mai). Et ils ont répondu présents ! Grâce à une météo très clémente dans ces régions et une plus forte présence de terrasses, ce sont 70% des établissements, clients de France Boissons, qui ont passé commande depuis la réouverture du 19 mai
- Sur cette période de 2 semaines, la bière (pression & bouteilles) a représenté 48% des ventes valeur réalisées par France Boissons dans les établissements CHR sur le mois de mai 2021 (vs. 13% pour les BRSA et 13% pour la catégorie vin)
Derniers commentaires
'No more no show !' : une tribune contre les réservations non honorées au restaurant
À lire : Le Guide des relais routiers 2022
Quel recours contre un salarié qui n'effectue pas son préavis de démission ?
Véronique Siegel succède à Roger Sengel à la tête de l'Umih 67
Selon Stéphane Manigold, la pénurie de personnel est due à "la destruction de la valeur travail"