×

L'Hôtellerie Restauration et ses partenaires utilisent des «cookies» pour assurer le bon fonctionnement et la sécurité du site, améliorer votre expérience, personnaliser des contenus et publicités en fonction de votre navigation et de votre profil, réaliser des statistiques et mesures d'audiences afin d’évaluer la performance des contenus et publicités, et partager des contenus sur les réseaux sociaux.

Certains de ces cookies sont soumis à votre consentement. Vous pouvez exprimer votre choix de manière globale, ou paramétrer vos préférences par finalité de cookies. Vous pouvez modifier ces choix à tout moment par le lien en bas page.

Accédez à notre politique cookies en cliquant ici




Actualités
Accueil > Actualités > Vie professionnelle

Édito n°3301 du 2 août : "Avant qu'il ne soit trop tard"

Vie professionnelle - mercredi 1 août 2012 14:15
Ajouter l'article à mes favoris
Suivre les commentaires
Poser une question
Ajouter un commentaire
Partager :
Article réservé aux abonnés


Comme vous le savez, depuis le 23 juillet dernier, seuls les hôteliers à jour du nouveau classement peuvent arborer le très élégant panonceau du ministère du Tourisme. Malgré les difficultés d'une conjoncture générale très dégradée, près de la moitié des hôtels homologués, 8000 sur 17 000, selon les chiffres d'Atout France, ont déjà obtenu le nouveau classement qui permet à 72 % des chambres du parc hôtelier de l'Hexagone de rester dans la course du tourisme international.

Les concepteurs de ce nouveau classement ont en effet établi des critères et une grille profondément transformée qui permet aujourd'hui à l'hôtellerie française de jouer à armes égales avec ses concurrentes, qui avaient depuis longtemps adopté la classification devenue incontournable d'une à cinq étoiles, notre génie national ayant de surcroît ajouté la dénomination officielle de palace.

Mais comme l'a souligné à juste titre Sylvia Pinel, ministre du Tourisme, le taux d'établissements classés est insuffisant. La réglementation interdisant désormais, sous peine de sanctions financières d'afficher l'ancienne homologation, il est impératif pour tous ceux qui souhaitent bénéficier du nouveau dispositif d'engager une procédure de classement.

Selon les heureux élus déjà classés, il ne s'agit pas d'une simple formalité administrative mais bel et bien d'un dossier à construire attentivement afin d'obtenir le précieux label. Certes, les non-classés d'aujourd'hui peuvent à tout moment remédier à leur situation qui risque de devenir critique s'ils ne prennent pas les moyens d'afficher la seule reconnaissance officielle de la qualité de leur établissement.

Les sites de réservation en ligne comme ceux de commentaires - crédibilité oblige - utilisent aujourd'hui les normes officielles de tous les pays où elles existent, afin de présenter à leurs utilisateurs des repères fiables et reconnus.

Si certains hôteliers hésitent encore, il faudra se réveiller avant qu'il ne soit trop tard. De leur côté, les grandes chaînes ont déjà classé leurs unités.
L. H.

Journal & Magazine
SOS Experts
Une question > Une réponse
Informatique et nouvelles technologies en CHR
par Thierry Longeau
Services