Le 'job de rêve' de Marie Seurin au Vertigo Hôtel
Hôtellerie - mercredi 8 avril 2015 14:14
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La jeune journaliste et bloggeuse passe 42 jours dans l'établissement dijonnais. Jour après jour, elle teste chaque service et délivre ses impressions, devenant ainsi le porte-parole de l'hôtel. Une expérience valorisante pour elle comme pour le 4 étoile.

Sa mission est simple : en 42 jours, tester l'ensemble des chambres (au nombre de 42) et services de l'hôtel 4 étoiles et proposer des bons plans aux futurs clients de l'hôtel. "J'ai une entière liberté d'écriture", confie-t-elle, ce qui se ressent dans son ton décalé et parfois impertinent. La jeune femme est entrée dans l'hôtel le 24 mars, une grosse semaine avant l'ouverture aux clients.
Investissement léger, résultats optimaux
L'investissement pour l'établissement reste modeste au vu des retombées déjà obtenues. "C'est un job à 3 000 €", précisent Bruno et Christophe Massucco, les propriétaires du Vertigo Hôtel, sans compter les visites de musées, de châteaux, les dépenses au restaurant et dans les commerces de proximité. Et, pour ne pas passer 45 jours seule, Marie Seurin s'est vu offrir l'opportunité de passer quelques jours avec son fiancé ou sa famille, histoire de tester le produit 'week-end à deux à Dijon' ou 'escapade en Bourgogne'.
Dès la mise en chantier de l'hôtel, les propriétaires ont régulièrement organisé des visites de chantier, pour allécher la presse. Avec le 'job de rêve' proposé comme un concours, ils ont acquis une notoriété internationale. "Nous avons eu des reportages de la télévision brésilienne, du New York Times, de la BBC…", declare Bruno Massucco. L'idée n'est pourtant pas nouvelle, puisque les frères l'ont empruntée à un jeu Australien où le gagnant était nommé gardien d'une réserve naturelle dans un cadre paradisiaque. "Nous avons trouvé l'idée originale et nous nous sommes dits : 'pourquoi ne pas la tester en France ?', ajoute Christophe Massuco. Non seulement les retombées médiatiques sont très nombreuses, mais le nombre de réservations venant de la part de touristes étrangers n'a jamais été aussi important."
Catherine Avignon |
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