Un restaurant, un café, une connexion wifi. Voilà la combinaison lancée par Frenchwork. "Tout le monde est gagnant, consommateurs
comme restaurateurs", expliquent
Jérôme Introvigne et Sébastien Hordeaux, les fondateurs de la
start-up toulousaine. L'entreprise
entend inciter les travailleurs indépendants et les salariés
nomades ou en télétravail à faire du restaurant leur bureau. "C'est une
nouvelle forme de coworking, présente
Sébastien Hordeaux. Ça ne va pas faire exploser le chiffre d'affaires des
restaurateurs mais cette nouvelle offre va leur permettre de faire vivre le
lieu, d'avoir du trafic dans leur établissement."
Pour venir travailler, le client choisit son créneau horaire sur la plate-forme Frenchwork. Le prix : 10 € par demi-journée, dont 5 € HT reviennent au restaurateur. Ce dernier doit s'engager à bien accueillir le client et à lui offrir un café.
"Un petit complément de revenus"
"Mon magasin-restaurant est installé au coeur du quartier numérique de Toulouse, l'offre est donc logique. Nous sommes des entrepreneurs du XXIe siècle. Cela permet aussi aux clients de découvrir l'adresse. Je suis ravi d'avoir du monde toute la journée", s'enthousiasme Nicolas Thoumin, de la cave-restaurant Les Domaines qui montent à Toulouse. Même constat pour Guillaume Douran-Bedin, du restaurant Le Van Gogh : "C'est un petit complément de revenus mais l'idée est de déclencher l'envie chez le client, celle de revenir ou de rester pour déjeuner ou dîner. C'est aussi à nous, professionnels d'accompagner ces nouvelles façons de travailler."
"Des restaurateurs de toute la France nous sollicitent, se réjouit Sébastien Hordeaux. On va doubler le nombre de participants à Toulouse dans les mois qui viennent, et nous venons de signer des partenariats à Paris. Notre objectif est d'être présent dans les dix plus grandes villes de France." Les deux entrepreneurs cherchent des lieux atypiques où les salariés nomades se sentiront bien pour travailler. Ils réfléchissent à des offres d'abonnement afin de fidéliser clients et professionnels de la restauration.
"Mon magasin-restaurant est installé au coeur du quartier numérique de Toulouse, l'offre est donc logique. Nous sommes des entrepreneurs du XXIe siècle. Cela permet aussi aux clients de découvrir l'adresse. Je suis ravi d'avoir du monde toute la journée", s'enthousiasme Nicolas Thoumin, de la cave-restaurant Les Domaines qui montent à Toulouse. Même constat pour Guillaume Douran-Bedin, du restaurant Le Van Gogh : "C'est un petit complément de revenus mais l'idée est de déclencher l'envie chez le client, celle de revenir ou de rester pour déjeuner ou dîner. C'est aussi à nous, professionnels d'accompagner ces nouvelles façons de travailler."
"Des restaurateurs de toute la France nous sollicitent, se réjouit Sébastien Hordeaux. On va doubler le nombre de participants à Toulouse dans les mois qui viennent, et nous venons de signer des partenariats à Paris. Notre objectif est d'être présent dans les dix plus grandes villes de France." Les deux entrepreneurs cherchent des lieux atypiques où les salariés nomades se sentiront bien pour travailler. Ils réfléchissent à des offres d'abonnement afin de fidéliser clients et professionnels de la restauration.
Publié par Dorisse PRADAL
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