En 1993, Thomas Di Nisi a acheté le
rez-de-chaussée de l'immeuble du 14 route de Rouffach pour y
installer ses bureaux. Vingt-trois ans plus tard, devenu propriétaire de
l'intégralité du bâtiment, l'architecte l'a totalement
métamorphosé. Son cabinet d'architecture est toujours là, au rez-de-chaussée,
mais réduit de 150 m2. En revanche, les 18 appartements en location
qui n'étaient plus rentables ont disparu. Ils se sont transformées en 42 chambres.
Après plusieurs mois de travaux et un investissement de 2,3 M€, le Colmar hôtel est né.
Pour l'épauler, Thomas Di Nisi a fait appel à un professionnel de l'hôtellerie, Jean-Pierre Perreton, d'Optiprog Consulting, aujourd'hui manager de l'établissement. "Nous avons réalisé une étude de marché et de la concurrence pour définir la pertinence du projet et mieux le cibler. Si à Colmar, le marché de l'hôtellerie est mature, en revanche, il reste de la place pour un trois étoiles, précise Jean-Pierre Perreton qui a travaillé pendant trente et un ans pour Accorhotels. Notre plus gros challenge est de nous lancer sans marque."
Chambres épurées et design
Situé à 50 mètres de la gare, l'établissement propose un confort "qui tend vers le 4 étoiles", précise Jean-Pierre Perreton. Les chambres de 15 à 18 m2, épurée et design, disposent toutes du wifi, d'un coffre, d'un minibar, d'un plateau de courtoise. "Nous avons une literie avec matelas et sur-matelas de très bonne qualité. Nous avons également choisi avec soin le linge de lit et de toilette. La salle de bains est équipée d'une douche à l'italienne, d'un miroir antibuée, de sèche-cheveux et sèche-serviettes. Et à l'étage, huit chambres privilège disposent en plus, d'une machine à café, de produits d'accueil, de peignoirs et chaussons."
Par petites touches, la décoration contemporaine fait référence à l'Alsace, ses chaises typiques dans la salle du petit déjeuner, des fresques signées de l'artiste Pierre Reb. Les tarifs des chambres varient de 69 à 209 €, petit déjeuner compris. Dirigé par Géraldine Schlussel, le Colmar hôtel compte sept salariés.
Pour l'épauler, Thomas Di Nisi a fait appel à un professionnel de l'hôtellerie, Jean-Pierre Perreton, d'Optiprog Consulting, aujourd'hui manager de l'établissement. "Nous avons réalisé une étude de marché et de la concurrence pour définir la pertinence du projet et mieux le cibler. Si à Colmar, le marché de l'hôtellerie est mature, en revanche, il reste de la place pour un trois étoiles, précise Jean-Pierre Perreton qui a travaillé pendant trente et un ans pour Accorhotels. Notre plus gros challenge est de nous lancer sans marque."
Chambres épurées et design
Situé à 50 mètres de la gare, l'établissement propose un confort "qui tend vers le 4 étoiles", précise Jean-Pierre Perreton. Les chambres de 15 à 18 m2, épurée et design, disposent toutes du wifi, d'un coffre, d'un minibar, d'un plateau de courtoise. "Nous avons une literie avec matelas et sur-matelas de très bonne qualité. Nous avons également choisi avec soin le linge de lit et de toilette. La salle de bains est équipée d'une douche à l'italienne, d'un miroir antibuée, de sèche-cheveux et sèche-serviettes. Et à l'étage, huit chambres privilège disposent en plus, d'une machine à café, de produits d'accueil, de peignoirs et chaussons."
Par petites touches, la décoration contemporaine fait référence à l'Alsace, ses chaises typiques dans la salle du petit déjeuner, des fresques signées de l'artiste Pierre Reb. Les tarifs des chambres varient de 69 à 209 €, petit déjeuner compris. Dirigé par Géraldine Schlussel, le Colmar hôtel compte sept salariés.
Publié par Sonia DE ARAUJO
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