French Burgers n'en finit plus de se développer :
quinze nouvelles ouvertures sont prévues d'ici à la fin de l'année, dont une à Paris et trois
à Toulouse et banlieue, et une centaine de prévus en 2020. Les Français sont les plus gros consommateurs de burgers en
Europe. Bruno Oddos l'a bien compris : "Le burger est le
meilleur produit à travailler pour se rapprocher de la grande cuisine", estime ce touche-à-tout visionnaire,
qui a d'abord évolué dans l'univers de l'ameublement et du design avant de
lancer sa première brasserie à Bordeaux, à la fin des années 2000. Il y a trois
ans, il a développé French Burgers, dont les premières franchises voient
actuellement le jour, avec un droit d'entrée à 25 000 €. Récemment,
Bruno Oddos a annoncé qu'il allait reconvertir 90 établissements La Pataterie
sous cette nouvelle enseigne.
"On travaille beaucoup sur l'image de French Burgers. Nous faisons appel à des grands chefs pour concevoir nos burgers : Christophe Girardot, de la Guérinière à Gujan-Mestras, Pascal Nibaudeau, du Pinasse café au Cap Ferret, Fabrice Biasiolo à Agen... Cela rassure la clientèle étrangère." Le ticket moyen est de 19 €. "Pour les desserts, on ne va servir que des glaces, après un burger, les clients veulent du light. nous avons passé un accord avec un maître glacier." L'enseigne vient également de signer un accord avec Nespresso CHR pour installer des corners dans ses restaurants.
Un centre de formation axé sur le service
En parallèle, Bruno Oddos vient d'ouvrir un centre de formation en banlieue bordelaise : "Nous avons besoin de gens formés, opérationnels. On va axer le travail sur le service en salle." Les stagiaires se verront proposer à la fin de la formation un emploi dans des enseignes French Burgers. "Mais libre à eux de se former chez nous et d'aller travailler dans d'autres restaurants", concède Bruno Oddos.
De la fabrication du pain dans son usine de Bruges (Gironde) à celle des meubles pour les restaurants, Bruno Oddos a choisi de garder le contrôle de toute la chaîne. Toujours à la recherche d'un nouveau concept, l'entrepreneur réfléchit déjà à un nouveau concept autour, cette fois, du poulet rôti.
"On travaille beaucoup sur l'image de French Burgers. Nous faisons appel à des grands chefs pour concevoir nos burgers : Christophe Girardot, de la Guérinière à Gujan-Mestras, Pascal Nibaudeau, du Pinasse café au Cap Ferret, Fabrice Biasiolo à Agen... Cela rassure la clientèle étrangère." Le ticket moyen est de 19 €. "Pour les desserts, on ne va servir que des glaces, après un burger, les clients veulent du light. nous avons passé un accord avec un maître glacier." L'enseigne vient également de signer un accord avec Nespresso CHR pour installer des corners dans ses restaurants.
Un centre de formation axé sur le service
En parallèle, Bruno Oddos vient d'ouvrir un centre de formation en banlieue bordelaise : "Nous avons besoin de gens formés, opérationnels. On va axer le travail sur le service en salle." Les stagiaires se verront proposer à la fin de la formation un emploi dans des enseignes French Burgers. "Mais libre à eux de se former chez nous et d'aller travailler dans d'autres restaurants", concède Bruno Oddos.
De la fabrication du pain dans son usine de Bruges (Gironde) à celle des meubles pour les restaurants, Bruno Oddos a choisi de garder le contrôle de toute la chaîne. Toujours à la recherche d'un nouveau concept, l'entrepreneur réfléchit déjà à un nouveau concept autour, cette fois, du poulet rôti.
Publié par Dorisse PRADAL
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