Questions - Réponses


Cours du soir : quels sont les organismes ?

Bonjour je souhaiterais prendre des cours du soir en gestion compta . je n'en ai jamais fait . Je suis en réception depuis quelques années . Jai un niveau bac . Je recherche dans un premier temps des organismes dispensant ce genre de cours pouvant déboucher sur une qualification .( département Rhône ) Je ne mentionne par le Cif auquel j'ai droit car souhaite faire cela en parallèle à mon activité . En ce qui concerne le Dif , le nombre d'heures auquelles j'ai droit ( le maxi depuis qu 'il a été mis en place ) ne me semble pas suffisant pour une formation diplomante . Merci pour votre réponse . Roberto Formation - Juridique | roberto | lundi 23 novembre 2009

Projet d'ouverture de restauration rapide sans expérience ni diplômes : qu'en penser ?

Bonjour à tous. Dans le cadre d'une reconversion, j'ai pour projet d'ouvrir avec un associé (en SARL) un établissement de restauration rapide à forte orientation 'biologique'(bar à pâtes fraîches/jus/soupes/salades, salon de thé, cakes & pâtisseries), peut être associé à une petite licence (VIII?). En province (grand Sud Ouest), parce que marre de Paris aussi... Sachant que j'ai 32 ans (dont 8 dans l'industrie pharma), pas de diplôme de cuisine (mais un hobby, que je pratique depuis très longtemps, ainsi que mon associé), pas de formation hygiène (mais biochimiste de formation -les protocoles qualité et microbes divers, ca me connaît- et tous les textes de lois comme livre de chevet), et une expérience 'terrain' somme toute assez limitée dans le milieu. Pour mon affaire : Fournisseurs identifiés, recettes de base ciblées, coûts de revient estimés (sur la base de +300% de marge en vigueur dans la restauration conventionnelle), ébauche de carte établie, marché en augmentation de +10% par an depuis 10 ans, logiciel novateur de gestion stocks-recettes/traçabilité/encaissement en programmation par un prestataire, je pense que le projet est viable... Mais n'étant ni expert reconnu ni riche à millions, ce que je pense n'a guère de valeur devant un banquier... Selon vous, qu'en est-il des (questions multiples) : 1-Contraintes financières Je dispose de 20-30k€ d'apport personnel et 0 caution, plus 1 an d'indemnités ASSEDIC. Devant la frilosité des banques, nous visons des locaux de petite à moyenne taille (40-60 m², voire moins), la VAE en priorité, des tarifs raisonnés pour toucher un plus large public (majorité de préparations 'maison' à meilleure marge), une déco épurée et végétale (panneaux végétaux muraux, serres d'intérieur, pots et lampes fleuries...), peu voire pas de vente en table (remplacées alors par un plus grand comptoir) selon la configuration des lieux pour diminuer les charges au minimum. Compte-tenu de ceci, et ne tablant guère sur plus de 50-70% max d'apport bancaire vu la conjecture, les sommes disponibles vous paraissent-elles suffisantes pour couvrir les besoins pressentis pour un tel projet ? 2-Contraintes réglementaires J'ai lu que pour certaines préparations (type pâtisserie, même de faible volume), un CAP boulangerie/pâtisserie était nécessaire... Or, cakes salés et sucrés, tartes et autres gâteaux sont assez simples à produire en gros volume, fonctionnent très bien en VAE, et je ne me sens ni d'abandonner un quart de mes recettes potentielles, ni de repartir pour 3 ans d'études, fussent-elles passionnantes (d'autant qu'alors, le filon actuel du 'bio' sera probablement tari). Ce projet est-il réglementairement envisageable, sans diplôme ou formation spécifique ? Sinon, qu'est-ce qui coincerait ? 3-Contraintes local Nonobstant toute notion d'achalandage, quelle est selon vous la surface minimale (en salle / cuisine / comptoir) nécessaire pour assurer le bon fonctionnement et la viabilité d'un tel projet pour 2 associés en cogérance ? 4-Contraintes d'équipement Bien que disposant de quelques équipements de seconde main, il nous sera nécessaire d'acheter (Métro ou autre, ventes aux enchères...) pour majorité. Outre hygiène, vaisselle/verrerie, etc... quel est selon vous l'équipement minimal incompressible pour un établissement de ce volume ? J'aurai sans doute bien d'autres questions, mais je vous laisse déjà digérer celles-ci ;o) Cordialement, MUF Équipement | MUF | samedi 21 novembre 2009

Bienvenue aux vins 'primeur' et 'nouveau'

Le Beaujolais et quelques autres appellations ont le droit de commercialiser leurs vins comme vin « primeur » ou « nouveau ». Les autres appellations sont généralement débloquées à partir du 15 décembre. Les deux mentions « nouveau » ou « primeur » peuvent être utilisées indifféremment. Pour le beaujolais, elles concernent les rouges et les vins rosés. En revanche, les 10 crus du Beaujolais ne peuvent pas être vendus en primeur. Pour les restaurateurs, la mise en vente de ces vins ne pose pas de problème particulier. Mais certaines règles doivent impérativement être respectées: - Il est formellement interdit de servir ces vins avant la date fixée ( en principe à partir du troisième jeudi d’octobre 00 heure). Ces vins doivent : - être présentés sous leur millésime - être qualifiés de « vin primeur » ou « vin nouveau » à l’exclusion de toute autre mention. Attention : « nouveau » et « primeur » ne constituent pas des appellations, puisque celles-ci ne peuvent s'appliquer qu'à un lieu géographique. Les vins sont vendus sous leurs A.O.C. respectives. Bonne dégustation! Avec modération, bien évidemment... Boissons - Produit - Sommellerie | Paul Brunet - Auteur | jeudi 19 novembre 2009

Publicité sur internet : est-ce vraiment rentable ?

on sait tous le peu de retour de la pub pour un restaurant a la télé a la radio , sur les journaux gratuit ou panneau 4x3 donc depuis quelques mois je m’interroge sur les sites de réservation en ligne je ne sais pas si j’ai le droit de les citer donc je m’abstiendrais mais le partenariat avec le restaurateur est toujours sur le même model 20% de réduction aux clients et 30% a payer a l’entremetteur ou parfois carrément pour un repas acheté un repas offert je suis très perplexe sur l’intérêt de travailler avec de tel partenaire mais on peut s’apercevoir sur ses cites que les restaurants qui travail avec eux sont souvent dirigé par des gens qui ne sont pas réputé pour être des farfelus ou des mauvais gestionnaires donc ma question ,les partenaires qui prennent 30, 40 ou50% de votre CA sont ils rentable ou non par avance merci Gestion - Marketing | tylino | mardi 17 novembre 2009

Permis d'exploitation et mutation entre époux : le conjoint doit-il suivre la formation ?

Est ce que le conjoint non inscrit comme conjoint collaborateur, malgré son implication dans l'affaire doit suivre la formation lors de la mutation entre époux du restaurant, suite à prise retraite de l'exploitant? L'affaire est en nom propre depuis 1994. A mon sens en lisant le texte, sauf erreur de ma part, oui, mais exigera t'on 1 jour ou 3 jours du fait de l'absence de statut officilel du conjoint dans l'entreprise ? Gestion - Marketing | boulais | mardi 17 novembre 2009

Gîte d'étape/auberge de jeunesse : que penser de l'aspiration centralisée ?

Dans le cadre d'une création d'un gîte d'étape/auberge de jeunesse de 50 lits, je me pose la question de l'aspiration centralisée: avez-vous des expériences et des recommandations sur de sujet ? Est-ce un choix judicieux, quels pièges doit-on éviter, quelle est la longueur de flexible utilisé chez vous, vos prises sont-elles murales ou au plafond, quels fabricants sont 'sérieux' ? D'avance merci ! Gestion - Marketing - Service d'étage | Patrick | mardi 17 novembre 2009

Patinoire dans hôtel : quelles sont les obligations en matière de surveillance ?

Bonjour nous sommes un hôtel et nous allons installer pour la période de noel une patinoire (3semaines)de 120m2 accessible aux clients de l'hotel et clients extérieurs. La société qui nous fournit le matériel n'exploite pas la patinoire. Je voudrais savoir quelles sont nos obligations en matière de surveillance ...Formation du personnel s'occupant de celle ci ... Un peu comme pour une piscine avec les MNS je vous remercie Équipement | diane | mardi 17 novembre 2009

Restaurant d'hôtel en mal de clientèle : le commercial en tenue de cuisinier est descendu en ville

Restaurant d'hôtel en mal de clientèle, c'est pas nouveau. Périphérie de ville de province : A l'occasion de la semaine du goût, le jeune commercial de l'entreprise a revêtu la tenue du cuisinier, et est descendu en ville, sur la place principale, avec sa doc. et une information sur la TVA : les gens se sont déplacés pour lui demander ce qu'il se passe, qui il est, ..... Effet immédiat : arrivée au restaurant d'un volume important de clients nouveaux. Gestion - Management - Marketing | André Picca - auteur | lundi 16 novembre 2009

Séparation cuisine : doit-il y avoir un mur complet entre la cuisine et les espaces pour les clients ?

Bonjour, Je suis actuellement à la recherche d'un local pour faire un petit restaurant principalement orienté vers de la restauration rapide mais j'aurai besoin de faire un minimum de préparations culinaires avec cuisson. De votre blog, je comprends que la cuisine doit toujours être séparée des lieux de présence des clients. Or absolument tous les locaux qui me sont proposés, ont la cuisine qui donne directement sur la salle. En général, les bains-marie pour sauces et la caisse sont l'unique séparation qu'il y a entre salle et cuisine, mais cette séparation n'a pas plus d'1.50m de hauteur. Ces locaux sont-il hors de la norme? Suis-je vraiment obligée d'avoir un mur complet entre la cuisine et les espaces pour les clients? Je vous remercie d'avance pour votre réponse. Cordialement, Marie Équipement | Marie | dimanche 15 novembre 2009

Vin : quelle est la quantité idéale à servir dans un verre ?

Bonjour, Je suis sur le point d'ouvrir un petit restaurant avec un menu unique, une cuisine qui mise sur les bon produits travaillés avec amour et bon goût. Actuellement je travaille sur la carte des vins. Je compte proposer maxi une vingtaine de références. J'aurais des bouteilles de 75 cl, des demi-bouteilles et des verres à vin. Est que cela vous parait bien ou l'ajout des pichets de 50 cl s'impose? Pourriez-vous me conseiller quel est la quantité idéale à servir dans un verre à vin? dans une flûte à champagne? Je vais aussi proposer une petite carte de vieux rhum. Quel est la quantité idéale à servir? Cordialement, ISA. Boissons - Produit - Sommellerie | Isa | dimanche 15 novembre 2009

Baisse de la TVA en restauration suite : les 1ers résultats ont été dévoilés en exclusivité en octobre

Les 1ers résultats de l’observatoire de la restauration à l’échelle national ont été dévoilés en exclusivité en octobre auprès du conseil d’administration de l’UMIH. Cet observatoire commandité par l’UMIH en plus des performances du secteur devait faire un 1er point sur l’application du contrat d’avenir 4 mois après la baisse de la TVA de 19,6% à 5,5%.Les résultats sont particulièrement étonnants et expliquent probablement pourquoi les médias se déchainent sur les restaurateurs depuis quelques mois. Rappelons que le panel de restaurateurs concernés par cette analyse est de 700 répartis sur l’ensemble du territoire, par segments de marché, par mode de distribution, par type de restauration et en respectant le poids des chaines et des indépendants. A noter enfin que les 700 restaurateurs analysés représentent fidèlement le poids syndical et la répartition de celui-ci. 76% des restaurateurs déclarent avoir baissé ses prix depuis le 1er juillet 2009. Parmi ceux là plus d’un tiers l’a fait sur 7 articles et moins. Autrement dit peu visible par les clients au quotidien. Il y a donc 24% des restaurateurs qui déclarent n’avoir baissé aucun de ses prix au le 1er juillet. Parmi ceux là un tiers dit l’avoir déjà fait avant le 1er juillet depuis longtemps pour tenter de contrecarrer la crise en espérant faire revenir la fréquentation. Un autre tiers dit préférer utiliser cette enveloppe pour leurs salariés. Le dernier tiers avoue n’avoir rien fait et ne fera rien. Autrement dit, et pour être encore plus clair : 48% a envoyé un signal très fort en baissant ses prix au delà des 7 produits que prévoyait l’engagement du 28 avril. 52% n’a envoyé aucun signal ou envoyé un signal trop faible sur ses prix. Si vous rajoutez dans l’analyse que les signaux les plus faibles ont été enregistrés sur les zones les plus fréquentées cet été pendant les vacances, il n’est pas surprenant que la visibilité de cette baisse des prix ai été aussi faible auprès du grand public et que s’est empresser de relayer les grands médias. Beaucoup de restaurateurs n’ont vu la répercussion sur leur trésorerie que 3 mois plus tard, beaucoup de restaurateurs avaient de sérieuses difficultés de rentabilité et de trésorerie ; beaucoup de restaurateur n’ont pas assez de personnel pour servir correctement leurs clients, beaucoup de restaurateurs doivent investir dans du matériel ou de la décoration, beaucoup de restaurateur souhaitent mieux payer leurs salariés pour les garder, beaucoup de restaurateurs sont peut être entrain de sauver leur affaires tout du moins la redresser. Attendons une année pleine de baisse du taux de TVA pour tirer des enseignements précis et fiables tant sur l’aspect prix, que sur l’aspect social que sur l’aspect investissement. Et puis en juillet 2010 il se sera passé autre chose qu’il est difficile de quantifier et prévoir aujourd’hui, le jeu naturel de la concurrence et l’arbitrage du consommateur qui saura ou aller se restaurer pour récupérer un peu de son pouvoir d’achat perdu…Il est clair que cet arbitrage va créer d’autres difficultés particulièrement aux restaurateurs qui auront continué dans la voie de ne rien faire ni pour leurs clients, ni pour leurs salariés ni pour le confort des 2 ! Gestion - Marketing | Bernard Boutboul | dimanche 15 novembre 2009

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