Vente à emporter et livraison : comment débuter sans se ruiner ?
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Proposer son offre à emporter procède d'une stratégie échelonnée. L'heure n'est pas à dépenser des sommes folles pour digitaliser son restaurant, mais à agir de manière rapide et graduée afin de tester d'abord la pertinence de son offre avant d'investir plus. Quels sont les outils de base pour tirer avantage des nouveaux canaux de distribution sans se ruiner ?

Se lancer dans la VAE par l'intermediaire d'un agrégateur est un moyen de tester son offre avant d'investir dans ses propres outils digitaux.
“Avant d’investir dans des outils numériques, le bon sens voudrait qu’une carte courte avec un emballage bien adapté soient testés sur ceux que les restaurateurs connaissent le mieux : leurs propres clients”, envisage Louiza Hacene, PDG de l’agence de communication digitale Malou.“Le SMS, moins invasif, semble être le meilleur vecteur pour avertir les habitués du lancement d’une offre en VAE ou en livraison.”
Anne-Claire Paré, du cabinet de tendances Bento, précise : “On constate que les clients de la VAE sont souvent des riverains. La première chose est donc d’interagir sur son environnement. Je commencerais par un gros travail de quartier avec des flyers et des distributions d’échantillons. Le restaurateur doit aussi utiliser Instagram.
Retrouvez tous nos conseils sur la fiche pratique : Vente à emporter et livraison : comment débuter sans se ruiner ?
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