Télécharger l'application LHR-Emploi
Le corbeau et le renard, le lièvre et la tortue… tout le monde connaît. En regardant attentivement la pièce artistique de Paul Klein, on retrouve ces couples mythiques reproduits avec humour et en sucre par le vainqueur 2012 du Prix Charles Proust. Au Salon du Chocolat, Porte de Versailles à Paris, le public se presse pour admirer son oeuvre et celles de ses camarades. Ils ont raison. "Je tiens à féliciter les candidats qui ont porté haut les couleurs de la pâtisserie française", c'est Pierre Hermé, président d'honneur du jury, qui le dit.
Les Relais Desserts avaient gâté les candidats. Outre la pièce artistique sur le thème des Fables de la Fontaine (en sucre, chocolat et pastillage), ils devaient réaliser 40 desserts individuels à base de chocolat et fruits, sauf la framboise. « Nous voulions des accords originaux. Grâce à cette exception, nous avons vu de belles surprises avec des épices, de l'orange ou du Kalamansi », indique Laurent Duchêne, MOF et membre du jury dégustation.
Sur les 20 candidats inscrits, 17 étaient présents le jour J. « Nous avons eu 3 abandons avant le début de la compétition. Deux ont cassé leur pièce artistique juste avant le concours et ils n'avaient plus le temps d'en réaliser une autre. Le troisième a déclaré forfait il y a 15 jours. Mais pour les 17 qui ont concouru aujourd'hui, cela s'est bien passé », dit Nicolas Boussin, MOF pâtissier, ambassadeur gastronomie pour Grand Marnier. « Le public a apprécié de les voir à l'oeuvre et de suivre, pour la première fois, la dégustation des jurys », ajoute-t-il.
"Encourager les talents de demain"
La foule était toujours là pour la remise des prix. Un motif de satisfaction pour le président de l'association, Frédéric Cassel. Un concours professionnel a bien sa place dans un salon grand public. « Les Relais Desserts ont pour vocation de promouvoir la haute pâtisserie et d'encourager les talents de demain", rappelle le président avant d'annoncer le palmarès.
En entendant son nom, Paul Klein bondit et s'empare du trophée qu'il brandit fou de joie. « C'est énormément d'émotion. Je rêve de ce prix depuis mon entrée en apprentissage ». Il a tout juste 21 ans, travaille dans l'entreprise familiale, Pâtisserie Chantal Klein à Belfort (90). Son père, Stéphane Klein, son plus grand supporter, enseigne la pâtisserie à l'Atelier des arts du sucre de Belfort. Comment voit-il son avenir ? « Rester à Belfort et progresser ».
Les Relais Desserts avaient gâté les candidats. Outre la pièce artistique sur le thème des Fables de la Fontaine (en sucre, chocolat et pastillage), ils devaient réaliser 40 desserts individuels à base de chocolat et fruits, sauf la framboise. « Nous voulions des accords originaux. Grâce à cette exception, nous avons vu de belles surprises avec des épices, de l'orange ou du Kalamansi », indique Laurent Duchêne, MOF et membre du jury dégustation.
Sur les 20 candidats inscrits, 17 étaient présents le jour J. « Nous avons eu 3 abandons avant le début de la compétition. Deux ont cassé leur pièce artistique juste avant le concours et ils n'avaient plus le temps d'en réaliser une autre. Le troisième a déclaré forfait il y a 15 jours. Mais pour les 17 qui ont concouru aujourd'hui, cela s'est bien passé », dit Nicolas Boussin, MOF pâtissier, ambassadeur gastronomie pour Grand Marnier. « Le public a apprécié de les voir à l'oeuvre et de suivre, pour la première fois, la dégustation des jurys », ajoute-t-il.
"Encourager les talents de demain"
La foule était toujours là pour la remise des prix. Un motif de satisfaction pour le président de l'association, Frédéric Cassel. Un concours professionnel a bien sa place dans un salon grand public. « Les Relais Desserts ont pour vocation de promouvoir la haute pâtisserie et d'encourager les talents de demain", rappelle le président avant d'annoncer le palmarès.
En entendant son nom, Paul Klein bondit et s'empare du trophée qu'il brandit fou de joie. « C'est énormément d'émotion. Je rêve de ce prix depuis mon entrée en apprentissage ». Il a tout juste 21 ans, travaille dans l'entreprise familiale, Pâtisserie Chantal Klein à Belfort (90). Son père, Stéphane Klein, son plus grand supporter, enseigne la pâtisserie à l'Atelier des arts du sucre de Belfort. Comment voit-il son avenir ? « Rester à Belfort et progresser ».
Publié par Nadine LEMOINE
Commentaires
