Le Mas des romarins affine sa stratégie
Hôtellerie - vendredi 28 octobre 2016 14:58
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Gordes (84) Propriétaire de cet hôtel-restaurant depuis trois ans, Alexandre Deshaies a compris qu'une vue imprenable sur Gordes n'était pas suffisante pour relancer une affaire.
![Alexandre Deshaies veut faire du Mas de romarins une adresse de charme à Gordes.](/journal/hotellerie/2016-10/img/img_9235.jpg)
Alexandre Deshaies veut faire du Mas de romarins une adresse de charme à Gordes.
![Décoration rétro pour l'une des deux chambres rénovées l'hiver dernier.](/journal/hotellerie/2016-10/img/img_9230.jpg)
Décoration rétro pour l'une des deux chambres rénovées l'hiver dernier.
Sur le thème du vin ou du voyage, par exemple,
les chambres de ce 3 étoiles font déjà l'objet d'une nouvelle
tranche de travaux. L'hiver dernier, deux ont bénéficié d'une
totale rénovation des salles de bains, la douche à l'italienne
remplaçant alors les baignoires.
"Sept autres chambres vont connaître la même évolution cet hiver afin de mieux répondre à l'attente de la clientèle", explique encore le propriétaire qui, à 29 ans seulement, sait parfaitement ce qu'il veut. "D'un taux d'occupation de 65 % en 2014, nous somme descendus à 57 % l'année suivante. Cette année, sur la saison, on remonte à 66 % mais avec une baisse ostensible du du prix moyen." La solution passe donc par l'amélioration du confort mais pas seulement.
En parallèle, Alexandre Deshaies a cherché à développer l'activité du restaurant. Après bien des déboires, il a enfin la certitude d'avoir trouvé la bonne solution (lire ci-dessous) pour affirmer sa différence dans ce coin de Vaucluse. Et bien entendu, faire face sans inquiétude au loyer mensuel de 10 000 €.
"Sept autres chambres vont connaître la même évolution cet hiver afin de mieux répondre à l'attente de la clientèle", explique encore le propriétaire qui, à 29 ans seulement, sait parfaitement ce qu'il veut. "D'un taux d'occupation de 65 % en 2014, nous somme descendus à 57 % l'année suivante. Cette année, sur la saison, on remonte à 66 % mais avec une baisse ostensible du du prix moyen." La solution passe donc par l'amélioration du confort mais pas seulement.
En parallèle, Alexandre Deshaies a cherché à développer l'activité du restaurant. Après bien des déboires, il a enfin la certitude d'avoir trouvé la bonne solution (lire ci-dessous) pour affirmer sa différence dans ce coin de Vaucluse. Et bien entendu, faire face sans inquiétude au loyer mensuel de 10 000 €.
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