Des ateliers d'éloquence au CFA de la gastronomie Auvergne Rhône-Alpes
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Marcy l'Étoile (69) Dans le cadre d'un partenariat avec le théâtre des Célestins de Lyon, le CFA de la Gastronomie - qui ouvre à la rentrée au coeur du château de Lacroix-Laval -, va organiser des ateliers d'art d'éloquence pour ses bacs pro. Objectif : améliorer l'expression orale des élèves.

Matteo d'Aloia, directeur d'exploitation du CFA, et Benoit Jaffré, le chef formateur, entourent le chef Jean-François Têtedoie lors du dîner des mécènes des Célestins, premier partenariat noué avec le théâtre.
Pour sa rentrée prochaine, le CFA de la Gastronomie, à Marcy l'Étoile (Rhône), a noué un partenariat avec le théâtre des Célestins afin de proposer aux 32 élèves en bac pro cuisine et service des ateliers d’art d’éloquence. Des comédiens du théatre viendront ainsi leur donner des cours d’expression orale et corporelle lors de deux demi-journées en octobre prochain. “L’objectif est de leur apprendre à mieux s’exprimer, à développer leur capacité d’argumentation, à développer leur culture générale… Mais également à adopter les bonnes postures car la communication est aussi non verbale. Ces compétences leur seront très utiles, notamment pour les métiers du service. Même si l’objectif vise aussi à faciliter la communication entre les élèves”, assure Corentin Rémond, le directeur du CFA de la Gastronomie.
D’autres partenariats à venir
Ces ateliers s’inscrivent dans un partenariat plus large mené par le CFA avec le théâtre des Célestins. En juin dernier, 9 apprentis en CAP cuisine et service ont participé à l’élaboration et au service du dîner des mécènes des Célestins organisé au sein du théâtre. Un repas thématique à 4 mains réalisé par Benoit Jaffré, chef formateur au CFA, et Jean-François Têtedoie, chef du Café Terroir à Lyon. “Ce fut une belle expérience pour nos apprentis. Notre objectif est d’ailleurs de développer d’autres partenariats avec des institutions culturelles pour créer des convergences. On pense travailler l’an prochain avec les Nuits de Fourvière, par exemple”, conclut Corentin Rémond.
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