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Aurore Debruyne et Charly Ganem, deux jeunes
diplômés du Collège de Paris âgés de 27 et 25 ans, se sont lancés depuis 28
février dans un tour monde gastronomique et viticole responsable, afin d'aider
les agriculteurs en difficulté. Ils rencontreront ces derniers dans 9 pays du
monde jusqu'à leur retour en mars 2019. Chaque rencontre fera l'objet d'un
reportage.
Aujourd'hui la chine :
« L'aventure chinoise fut l'une de nos plus fameuses! Entre choc culturel, découverte culinaire et exploration d'une nature encore flamboyante, nous avons été complètement bouleversés ». témoignent les deux voyageurs.
Ils ont eu l'opportunité d'assister à la cérémonie du thé, « notre première initiation à cet Art en Asie avec Owen le fils du propriétaire de ShangXi. Entreprise familiale depuis plusieurs générations qui offre des thé pu-erh très surprenant et rare, nous avons eu l'occasion de déguster un thé datant de 1955 ! »
Puis ils sont partis à la découverte des vignes perchées à 2200 m d'altitude dans l'Himalaya au fond du Yunnan, non loin du Tibet. « Splendide moment autant pour les papilles que pour les vues imprenables de ces imposantes montagnes. Nous nous sommes tout particulièrement intéressés à ce domaine car il permet de faire travailler les tibétains-catholiques reclus et isolés depuis le XIXe siècle ». Concluent nos deux reporters.
Aujourd'hui la chine :
« L'aventure chinoise fut l'une de nos plus fameuses! Entre choc culturel, découverte culinaire et exploration d'une nature encore flamboyante, nous avons été complètement bouleversés ». témoignent les deux voyageurs.
Ils ont eu l'opportunité d'assister à la cérémonie du thé, « notre première initiation à cet Art en Asie avec Owen le fils du propriétaire de ShangXi. Entreprise familiale depuis plusieurs générations qui offre des thé pu-erh très surprenant et rare, nous avons eu l'occasion de déguster un thé datant de 1955 ! »
Puis ils sont partis à la découverte des vignes perchées à 2200 m d'altitude dans l'Himalaya au fond du Yunnan, non loin du Tibet. « Splendide moment autant pour les papilles que pour les vues imprenables de ces imposantes montagnes. Nous nous sommes tout particulièrement intéressés à ce domaine car il permet de faire travailler les tibétains-catholiques reclus et isolés depuis le XIXe siècle ». Concluent nos deux reporters.
#CollegedeParis# #TourduMonde#
Publié par Claude DIBIASE
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