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L'avis d'Erwan Lasalle, directeur du cabinet Michel Simond de Saint-Brieuc (22) :
"Lieu de rencontre, de convivialité et de partage, le bar est une institution en France. Cependant, depuis quelques années, l'image du bar traditionnel est en pleine mutation en raison des changements d'habitudes des consommateurs. Les gérants de bar doivent donc trouver des nouveaux codes pour assurer la pérennité de leurs commerces. Le futur propriétaire devra trouver un thème porteur, qui fidélisera ses clients : bar à thème (sandwicherie, restauration rapide, plat du jour…), lounge, musical, à vins, à bières, bar-tabac…
Ensuite, il devra créer un univers en adéquation avec son thème et proposer des services de qualité : accueil, convivialité, produits de choix… La revente du commerce sera d'autant plus facilitée lorsque tous ces critères seront réunis.
Dans les Côtes-d'Armor et le Morbihan, la valorisation des établissements correspondant à ces critères s'établit autour de 70 à 110 % du chiffre d'affaires en fonction de l'emplacement du commerce et de la proximité ou pas d'un secteur côtier. La rentabilité doit également être au rendez-vous afin d'obtenir un accord de financement pour le futur repreneur. Les normes actuelles oscillent entre 2 à 3,5 fois l'excédent brut d'exploitation."
"Lieu de rencontre, de convivialité et de partage, le bar est une institution en France. Cependant, depuis quelques années, l'image du bar traditionnel est en pleine mutation en raison des changements d'habitudes des consommateurs. Les gérants de bar doivent donc trouver des nouveaux codes pour assurer la pérennité de leurs commerces. Le futur propriétaire devra trouver un thème porteur, qui fidélisera ses clients : bar à thème (sandwicherie, restauration rapide, plat du jour…), lounge, musical, à vins, à bières, bar-tabac…
Ensuite, il devra créer un univers en adéquation avec son thème et proposer des services de qualité : accueil, convivialité, produits de choix… La revente du commerce sera d'autant plus facilitée lorsque tous ces critères seront réunis.
Dans les Côtes-d'Armor et le Morbihan, la valorisation des établissements correspondant à ces critères s'établit autour de 70 à 110 % du chiffre d'affaires en fonction de l'emplacement du commerce et de la proximité ou pas d'un secteur côtier. La rentabilité doit également être au rendez-vous afin d'obtenir un accord de financement pour le futur repreneur. Les normes actuelles oscillent entre 2 à 3,5 fois l'excédent brut d'exploitation."
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