Le Collège culinaire de France demande que les conditions d'application de cette nouvelle loi soient clarifiées et qu'elles n'imposent pas « une surcharge de travail administratif pour les restaurateurs ». Il réclame aussi de l'équité dans les contrôles et « que les sanctions soient appliquées pour que la notion même de fait maison ne soit pas décrédibilisée ».

Dialoguez avec nos experts !
(Service réservé à nos abonnés : 3,33€/mois)
Vous souhaitez poser une question
ou ajouter un commentaire ?
Un seul clic pour accéder à la suite :