L'augmentation a été présentée le 22 septembre, par Fabrice Roussel, Vice-Président de Nantes Métropole, aux acteurs du Tourisme Nantais. Elle concernera « toute personne majeure séjournant dans un hébergement marchand de la Métropole ». Pour le GNI Grand Ouest, cette augmentation est impensable dans le contexte économique actuel. « Cette proposition, explique le syndicat, mise au vote début octobre, doit entrer en vigueur à compter du 1° Janvier 2016. La taxe de séjour se verrait ainsi passer de 0,60 € à 0,75 € pour un établissement classé deux étoiles, de 0,85 € à 1,30 € pour une nuitée dans un trois étoiles, et de 1,10 € à 2,25 € pour un 4 étoiles. La conjoncture hôtelière nantaise, caractérisée pas un taux d'occupation particulièrement bas, lié à une surcapacité que nous dénonçons depuis plusieurs années, oblige déjà les professionnels à pratiquer des tarifs très en deçà des standards de villes comparables. Cette proposition de Nantes Métropole, justifiée par de nombreux aménagements » intervient à un très mauvais moment selon le groupement. Les professionnels doivent investir pour répondre aux obligations de la loi sur l'accessibilité et ils n'ont toujours pas réussi à absorber le doublement de la TVA qu'ils ont subi l'an dernier : « compte-tenu du contexte, cette hausse n'a pas été répercutée sur les prix de vente. Pire, elle est venue gonfler les commissions reversées aux intermédiaires de réservation, calculées sur le prix TTC ». Pour le groupement, «si une augmentation de la taxe est concevable, elle ne peut se faire que dans le respect d'une certaine équité et dans des proportions qui tiennent compte du contexte économique auquel font face les hôteliers nantais ».
Le GNI Grand Ouest s'élève contre l'augmentation de la taxe de séjour annoncée pour Nantes
Nantes (44)
L'augmentation a été présentée le 22 septembre, par Fabrice Roussel, Vice-Président de Nantes Métropole, aux acteurs du Tourisme Nantais. Elle concernera « toute personne majeure séjournant dans un hébergement marchand de la Métropole ». Pour le GNI Grand Ouest, cette augmentation est impensable dans le contexte économique actuel. « Cette proposition, explique le syndicat, mise au vote début octobre, doit entrer en vigueur à compter du 1° Janvier 2016. La taxe de séjour se verrait ainsi passer de 0,60 € à 0,75 € pour un établissement classé deux étoiles, de 0,85 € à 1,30 € pour une nuitée dans un trois étoiles, et de 1,10 € à 2,25 € pour un 4 étoiles. La conjoncture hôtelière nantaise, caractérisée pas un taux d'occupation particulièrement bas, lié à une surcapacité que nous dénonçons depuis plusieurs années, oblige déjà les professionnels à pratiquer des tarifs très en deçà des standards de villes comparables. Cette proposition de Nantes Métropole, justifiée par de nombreux aménagements » intervient à un très mauvais moment selon le groupement. Les professionnels doivent investir pour répondre aux obligations de la loi sur l'accessibilité et ils n'ont toujours pas réussi à absorber le doublement de la TVA qu'ils ont subi l'an dernier : « compte-tenu du contexte, cette hausse n'a pas été répercutée sur les prix de vente. Pire, elle est venue gonfler les commissions reversées aux intermédiaires de réservation, calculées sur le prix TTC ». Pour le groupement, «si une augmentation de la taxe est concevable, elle ne peut se faire que dans le respect d'une certaine équité et dans des proportions qui tiennent compte du contexte économique auquel font face les hôteliers nantais ».
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