« Dans cette compétition il y a du talent, il y a du travail, et les recettes sont inspirantes de façon artistique, de façon artisanale !, dit Thierry Marx, parrain de la Coupe du monde de boulangerie 2016, qui ouvrira la sienne en avril prochain à Paris. La grande difficulté du métier de boulanger c'est d'avoir deux casquettes, deux cerveaux : un cerveau d'artiste pour créer une nouvelle recette et un cerveau d'artisan pour dupliquer ces recettes 365 jours par an. Et de travailler sur une « économie de la qualité », où on va gagner des clients et des ventes en produisant la meilleure qualité possible. Et ça, chez les boulangers c'est encore plus fort que chez les cuisiniers parce qu'ils créent de la richesse avec peu de produits finalement : de l'eau de la farine du sel et un peu de levure. C'est la base essentielle du métier d'artisan et du métier de boulanger en particulier ».

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