[Publi-rédactionnel]
L’hôtellerie-restauration française est à la croisée des chemins. Entre flambée des prix de l’énergie, hausse continue des matières premières, pénurie de personnel et exigences réglementaires en pleine évolution, le secteur est soumis à une équation économique inédite. Dans un contexte post-Covid encore instable, la maîtrise des coûts devient un objectif vital.
Si la gestion des achats alimentaires est déjà largement professionnalisée, les achats indirects (équipements informatiques, mobilier, fournitures de bureau, produits d’entretien, etc.) restent souvent sous-estimés. Pourtant, ils représentent une part significative des dépenses, et un véritable gisement d’économies pour les établissements qui savent les structurer.
Une pression accrue sur la rentabilité
Comme lerelève le Rapport 2025 sur l’état des achats d’Amazon Business, 49 % des acheteurs dans le secteur des services identifient l’efficacité et la complexité comme leur principal défi à venir. La volatilité des prix de l’énergie, des produits de base ou des frais de livraison fragilise les marges.
En parallèle, la pénurie de main-d’œuvre renforce le besoin d’outils simples, rapides et intégrés, capables de réduire les tâches chronophages. Entre les achats du quotidien et les commandes urgentes, les équipes perdent un temps précieux à chercher des fournisseurs, passer des commandes ou gérer les relances.
Une organisation encore trop manuelle
Dans de nombreux établissements, les achats indirects sont encore réalisés manuellement, par des collaborateurs non spécialisés, souvent par le biais de cartes bancaires ou d’avances de caisse. Ce mode de fonctionnement entraîne une dispersion des fournisseurs, un manque de suivi, une faible visibilité sur les prix et les volumes, ainsi qu’une impossibilité de mutualiser les commandes entre sites.
Résultat : une perte de temps pour les équipes opérationnelles, des décisions ralenties et l’absence d’une stratégie d’achat coordonnée – un handicap majeur pour les groupes ou les réseaux multi-sites. Difficile, dans ces conditions, de piloter les achats de façon proactive ou de garantir une conformité rigoureuse.
Des outils numériques pour centraliser les achats
La première étape vers une maîtrise des coûts plus efficace passe par la centralisation des achats hôteliers, y compris les dépenses indirectes. Regrouper l’ensemble des commandes sur une plateforme numérique unique permet non seulement de réduire le nombre de fournisseurs, mais aussi de gagner en cohérence, en transparence et en efficacité opérationnelle.
Des plateformes telles qu’Amazon Business ont réussi à développer des fonctionnalités pensées pour les établissements hôteliers : gestion multi-utilisateurs, circuits d’approbation personnalisés, catalogues dédiés au secteur hôtelier, filtres RSE, livraison rapide, historique de commandes, intégration aux ERP ou aux logiciels de gestion comptable. Un moyen de concilier simplicité pour les équipes terrain et pilotage centralisé pour les directions.
Miser sur la data pour une meilleure maîtrise des coûts
Selon le même rapport, 73 % des responsables achats interrogés souhaitent améliorer leur capacité à piloter les dépenses grâce aux données, et 38 % prévoient d’investir dans des solutions IA pour optimiser leurs flux. L’idée n’est pas d’automatiser pour automatiser, mais de passer d’une gestion réactive à une planification proactive.
Suivre les achats en temps réel, identifier les fournisseurs les plus sollicités, prévenir les ruptures, éviter les doublons : autant de pratiques désormais accessibles grâce à la digitalisation. Cela permet aussi d’aligner plus finement les approvisionnements sur l’activité réelle et les pics saisonniers, tout en limitant le surstock et le gaspillage.
Optimisation des achats : un exemple de réussite
Le groupe Russotti Gestioni Hotels, l’un des plus grands franchisés Marriott en Italie, illustre bien cette transformation. Avec cinq établissements répartis à Milan, Rome, Venise et en Sicile, il devait repenser sa stratégie d’approvisionnement pour accompagner un repositionnement vers une clientèle plus « loisir ».
En s’appuyant sur l’outil Amazon Business, le groupe a pu :
● réduire la charge administrative liée aux commandes,
● responsabiliser les services dans leurs achats tout en conservant une traçabilité globale,
● fixer des objectifs de montée en charge progressive (passer de 1 % à 20 % d’achats digitalisés).
« Nous avons rapidement vu les bénéfices d’un meilleur contrôle, d’une simplification des coût, et de la possibilité pour nos équipes de faire des choix d’achat plus intelligents », explique Christian Perri, directeur des achats du groupe.
Réglementations, traçabilité, RSE : une pression croissante sur les achats
En parallèle des défis économiques et opérationnels, les enjeux RSE prennent une place croissante. La loi AGEC (anti-gaspillage pour une économie circulaire), par exemple, impose une réduction de 50 % du gaspillage alimentaire dans la restauration collective en France d’ici 2025. Plus largement, les entreprises doivent démontrer qu’elles agissent en faveur de l’environnement, du local et de la transparence.
Ces nouvelles normes exigent des outils capables de garantir traçabilité, reporting et pilotage RSE à l’échelle de l’établissement comme du groupe. Selon le rapport Amazon Business, 80 % des organisations interrogées ont désormais des objectifs ou des obligations de sourcing responsable.
L’intégration de critères environnementaux, sociaux ou territoriaux dans les pratiques d’achat devient donc incontournable, au-delà de la rentabilité à court terme. Cela suppose de pouvoir identifier les fournisseurs certifiés, tracer les produits achetés, favoriser les circuits courts et fournir des justificatifs fiables en cas de contrôle.
Une opportunité pour les établissements de toutes tailles
Contrairement aux idées reçues, cette transformation ne concerne pas uniquement les groupes ou les franchises. De nombreux établissements indépendants peuvent eux aussi bénéficier de ces outils, dès lors qu’ils souhaitent gagner du temps, optimiser leurs achats hôteliers et améliorer la rentabilité de leur exploitation.
Le numérique rend désormais accessibles des fonctionnalités autrefois réservées aux grandes centrales d’achat. Il ne s’agit plus seulement d’acheter moins cher, mais d’acheter mieux, plus vite et de manière plus durable.
Pour en savoir plus sur les solutions Amazon Business pour les établissements du secteur CHR : https://business.amazon.fr
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