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Édito du magazine du 5 novembre 2010 : "Le plus dur reste à faire"

Vie professionnelle - jeudi 4 novembre 2010 10:32
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Le rapport du sénateur Michel Houel remis la semaine dernière à Hervé Novelli, secrétaire d’État au Tourisme, consacré à un premier bilan de la mise en application du contrat d’avenir de la restauration a légitimement provoqué la satisfaction des organisations professionnelles.

Il est certes important que les plus hautes autorités de l’État délivrent un brevet de bonne conduite à une profession qui a globalement respecté ses engagements à la suite de la baisse de la TVA à 5,5 %, mais il est encore plus essentiel de conforter l’ensemble des restaurateurs dans leur action à la fois sur la modération des prix, sur le développement de l’emploi et l’amélioration des conditions de travail et de rémunération.

Ce rapport, dont vous lirez les principales conclusions en pages 12 à 15, vient à point nommé, soyons lucides, pallier le déficit de communication dont la profession a été à la fois responsable et victime suite à la mise en place de la TVA à 5,5 %, laissant trop souvent la parole publique à ceux qui font métier de dénigrement sans jamais émettre la moindre idée.

Mais il serait imprudent de se contenter d’un brevet de bonne conduite qui constate les bons chiffres de l’emploi, de la rentabilité retrouvée et de la modération des prix.

Car le rapport Houel n’occulte pas une faiblesse de la profession à laquelle il est urgent de remédier. Dans le langage technocratique qui sied au genre, les auteurs soulignent que “l’évolution du taux d’investissement des entreprises ne montre pas une reprise nette de l’accumulation du capital productif”.

Plus clairement, il est indispensable aujourd’hui pour tous les restaurateurs d’engager des travaux de modernisation et de mise en conformité aux normes obligatoires, ne serait-ce que pour valoriser leur outil de travail.

C’est le bon moment : le Salon Equip’Hôtel ouvre la semaine prochaine, et ce numéro de votre magazine est destiné à préparer votre visite.
L. H. R.

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