Toques brûlées complices pour ‘l’Italie à table’
Suivre les commentaires Poser une question
Ajouter un commentaire Partager :
Nice (06) Une vingtaine de chefs azuréens se sont associés à la manifestation organisée depuis six ans par la chambre de commerce italienne.
![Les stands regorgaient de victuailles. Les stands regorgaient de victuailles.](/journal/salon-concours-syndicat-association/2010-06/img/l-italie-a-table-3bis.jpg)
En trois jours de salon, les 150 exposants d’Italie à table ont présenté leurs meilleurs produits : jambon de Parme, parmesan et fromage de fosse d’Émilie Romagne, vins piémontais et du Salento, miel et myrte de Sardaigne, truffe noire de Norcia d’Ombrie, chicorée rouge et asperges blanches de Venetie, spécialités de Rieti... Côté français, 22 000 repas d’inspiration italienne ont été servis dans les écoles de Nice.
On a vu ainsi se succéder sur les planches, entre autres, Patrick Raingeard (La Mandarine à Monaco), Nicolas Sale (Les Pêcheurs, Cap d’Antibes), Michel Devillers (L’Ane Rouge, Nice), Jean-François Bérard (Hostellerie Bérard, La Cadière d’Azur), Alain Llorca (restaurant Alain Llorca, La Colle-sur-Loup), Nicolas Rondelli et Alexandre Pauget (restaurant Félix, Cannes)… En parallèle, l’association des Toques Brûlées assurait des démonstrations sur le salon et donnait à déguster des menus dédiés à l’Italie dans les restaurants de ses membres David Faure, Gilles Ballestra, Luc Salsedo, Didier Barbier, Jilali Berrekama, Marc Chevalier, Frédéric Galland, Thomas Hubert, Christophe Louche, Nicolas Niros, José Orsini et Gilles Stighezza.
Anne Sallé |
Derniers commentaires
Comment répartir les pourboires
À lire : Éloge du service en salle, valeurs et décryptage d'un métier de la restauration - Nouvelle édition augmentée
Tarte au fenouil et myzithra
Le repos hebdomadaire
Comment concilier entretien et environnement ?