Master of Port : le sacre de Fabrice Sommier
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Paris (75) Huit candidats se disputaient le titre remporté par le sommelier du restaurant Georges Blanc, à Vonnas, Meilleur ouvrier de France depuis 2007.
![Fabrice Sommier ramène un nouveau trophée chez Georges Blanc, à Vonnas.](/journal/salon-concours-syndicat-association/2010-06/img/master-of-port-3.jpg)
Fabrice Sommier ramène un nouveau trophée chez Georges Blanc, à Vonnas.
![Sous le regard de Serge Dubs, Fabrice Sommier a reçu son trophée des mains de Claude Brasseur.](/journal/salon-concours-syndicat-association/2010-06/img/master-of-port-2.jpg)
Sous le regard de Serge Dubs, Fabrice Sommier a reçu son trophée des mains de Claude Brasseur.
Les salons de l’ambassade du Portugal, à Paris, ont accueilli l’annonce de la victoire de Fabrice Sommier au 14e Master of Port. Mais avant cela, les huit candidats retenus à l’issue des sélections régionales étaient réunis au Novotel pont de Sèvres. C’est là que se sont déroulées les différentes étapes de ce concours organisé en partenariat par l’Union de la sommellerie française et le Syndicat des grandes marques de porto. Étaient en compétition Bertrand Bijasson (Hôtel Mercure à Libourne, 33), Carole Ferron (Les vins cœurs à Triors, 26), Jean-Baptiste Klein (Restaurant Régis et Jacques Marcon à Saint-Bonnet-le-Froid, 43), Marianne Monin (Le Bristol à Paris, VIIIe), Benjamin Roffet (Gordon Ramsay au Trianon Palace à Versailles, 78), Yann Satin (Hôtel Westminster au Touquet, 62), Fabrice Sommier (Restaurant Georges Blanc à Vonnas, 01), Philippe Troussard (Les Caudalies, à Arbois, 39).
Service, décantation d’un magnum de porto et proposition de menu en accord avec ce vin, identification de cinq portos différents et enfin un questionnaire illustré de diapositives constituaient les différents étapes de la finale, en public.
Motivé par les concours
Après avoir reçu son prix, un verre en porto en argent, des mains de Claude Brasseur, le parrain de cette 14e édition, Fabrice Sommier soulignait “l’importance du soutien de toute l’équipe du restaurant qui m’a aidé tout au long de la préparation”. Meilleur ouvrier de France en sommellerie, le lauréat 2010 reconnaissait qu’il s’agissait pour lui d’une sorte de pari que de se relancer dans les concours : “L’Europe va devenir un véritable objectif, même si j’ai conscience du travail à accomplir.”
Ce en quoi le parcours de Serge Dubs, président de l’Union de la sommellerie française, peut l’inspirer. Le chef sommelier de l’Auberge de l’Ill remporta en 1988 le premier Master of Port avant de devenir, un an plus tard, Meilleur sommelier du monde.
Jean Bernard |
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