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Le 231 East Street a ouvert ses portes début juillet. 'Finest burger ever' ['Meilleur burger de tous les temps', NDLR], le ton est donné par le slogan. Décor pop, musique au diapason des années 1960 en version américaine, nom en clin d'oeil au premier atelier new-yorkais d'Andy Warhol : l'environnement est soigné. Des ingrédients frais, des pains travaillés, la cuisson de la viande au choix ainsi que les sauces, l'obligation du fait maison, y compris pour les frites : le produit se veut au top et à peine plus cher que celui de ses concurrents. Le Strasbourgeois Cédric Moulot, déjà propriétaire de trois restaurants variés, a frappé fort. Il a surtout vu juste avec 300 sandwiches fabriqués par jour : la clientèle est là. Et la nomination aux palmes du Leader's Club marque aussi le bon accueil de la profession.
Des savoir-faire complémentaires
Justement, depuis quelques années, Franck Riehm, co-fondateur du groupe Flam's, répète à son associé Eric Senet qu'il serait judicieux de lancer une franchise de burgers, après les tartes flambées (Flam's), les pâtes (Nooï) et la cuisine au wok (Wazawok). "Les choses se sont faites très naturellement", reprennent en choeur Cédric Moulot et Eric Senet. La nouvelle société de développement est partagée équitablement entre les deux entités. La force du groupe Flam's et son savoir-faire en matière de franchises et de gestion d'un réseau sont combinés à l'expérience de Cédric Moulot pour le produit, très particulier, qu'est le burger. "C'est un accord gagnant-gagnant, explique Eric Senet. Nous serons les premiers à sortir un produit vraiment différent sur ce marché du burger, à l'échelle nationale. Et pour Cédric Moulot, bâtir une franchise aurait été bien plus difficile seul. Nous avons affaibli le risque."
Pour Cédric Moulot, c'est aussi un projet de longue date qui se réalise: "J'ai toujours voulu implanter plusieurs enseignes comme ça. J'avais eu une petite expérience dans le domaine en sortant de l'école hôtelière mais je n'avais que 19 ans, on ne me prenait pas au sérieux. Dans cette affaire, réglée très vite, le groupe Flam's m'a fait une telle proposition. Je ne pouvais pas refuser."
En 2012, il y aura deux étapes pour la nouvelle franchise. Tout d'abord, le 231 East Street sera présent au salon de la franchise à Paris. La seconde, c'est l'ouverture de "deux à trois restaurants. En 2013, 5 à 10 puis une trentaine maximum en 2014. Il nous faut voir l'évolution et nous adapter", détaille Eric Senet. Le développement est prévu en France, puis en Europe, voire plus loin. Le droit d'entrée sera de 15 000 €, assorti d'une formation à 3 000 €, puis d'une redevance annuelle de 5 % du chiffre d'affaires. Par la suite, Eric Senet attend surtout... de la concurrence : "Je ne connais rien de plus stimulant." En particulier quand on a dégainé le premier.
Des savoir-faire complémentaires
Justement, depuis quelques années, Franck Riehm, co-fondateur du groupe Flam's, répète à son associé Eric Senet qu'il serait judicieux de lancer une franchise de burgers, après les tartes flambées (Flam's), les pâtes (Nooï) et la cuisine au wok (Wazawok). "Les choses se sont faites très naturellement", reprennent en choeur Cédric Moulot et Eric Senet. La nouvelle société de développement est partagée équitablement entre les deux entités. La force du groupe Flam's et son savoir-faire en matière de franchises et de gestion d'un réseau sont combinés à l'expérience de Cédric Moulot pour le produit, très particulier, qu'est le burger. "C'est un accord gagnant-gagnant, explique Eric Senet. Nous serons les premiers à sortir un produit vraiment différent sur ce marché du burger, à l'échelle nationale. Et pour Cédric Moulot, bâtir une franchise aurait été bien plus difficile seul. Nous avons affaibli le risque."
Pour Cédric Moulot, c'est aussi un projet de longue date qui se réalise: "J'ai toujours voulu implanter plusieurs enseignes comme ça. J'avais eu une petite expérience dans le domaine en sortant de l'école hôtelière mais je n'avais que 19 ans, on ne me prenait pas au sérieux. Dans cette affaire, réglée très vite, le groupe Flam's m'a fait une telle proposition. Je ne pouvais pas refuser."
En 2012, il y aura deux étapes pour la nouvelle franchise. Tout d'abord, le 231 East Street sera présent au salon de la franchise à Paris. La seconde, c'est l'ouverture de "deux à trois restaurants. En 2013, 5 à 10 puis une trentaine maximum en 2014. Il nous faut voir l'évolution et nous adapter", détaille Eric Senet. Le développement est prévu en France, puis en Europe, voire plus loin. Le droit d'entrée sera de 15 000 €, assorti d'une formation à 3 000 €, puis d'une redevance annuelle de 5 % du chiffre d'affaires. Par la suite, Eric Senet attend surtout... de la concurrence : "Je ne connais rien de plus stimulant." En particulier quand on a dégainé le premier.
Publié par Flora-Lyse Mbella
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