Retour d'expérience : le désenchantement d'une enseignante reconvertie dans l'hôtellerie

La Rochelle (17) Ancienne professeur de français, Sylvette Lebeau est devenue hôtelière en 2010 à La Rochelle (17). Un changement de vie qu'elle voyait sous de bons auspices. Mais, cinq ans plus tard, elle croule sous les charges et la concurrence des chambres d'hôte et des appartements de particuliers.

Publié le 13 avril 2016 à 12:34

En 2010, Sylvette Lebeau veut mettre un terme à sa carrière d'enseignante : "J'étais prof de français dans un collège de la région parisienne." Elle veut changer de vie et de cadre de vie. L'hôtellerie la tente. Le bord de mer aussi. "Je cherchais à reprendre un petit hôtel d'une douzaine de chambres", dit-elle. Mais elle ne le trouve pas. Au hasard d'une rencontre, on lui parle d'un établissement de 35 chambres dans un bâtiment classé du XVIIe siècle à La Rochelle (17). "Plus de 30 chambres, c'était beaucoup, mais je me suis laissée séduire quand même : la bâtisse et son histoire - autrefois, on y battait la monnaie - m'ont beaucoup plu", raconte-t-elle. Conquise, convaincue que le métier est fait pour elle - "j'ai le goût des autres et l'envie de partager, d'échanger. J'aime les lieux où les vies se croisent, comme dans un roman…" -, elle fonce tête baissée, investit, rénove l'hôtel et le hisse vers des prestations haut de gamme. Mais la réalité va vite la faire déchanter.

 

"On ne peut plus conseiller un client en direct"

"Je n'avais pas mesuré l'évolution que le métier d'hôtelier a connu depuis ces cinq à dix dernières années, reconnaît Sylvette Lebeau. Je pensais que mon travail allait se focaliser en majorité sur l'accueil et les rencontres avec les clients. Or, pas vraiment. À l'heure d'internet, les réservations ne se font plus pas téléphone. On ne peut plus conseiller un client en direct, lui recommander telle chambre plutôt qu'une autre à cause d'une vue, d'un ensoleillement, d'un toit mansardé… On a beau avoir un réceptionniste, 24 heures sur 24, pour informer, expliquer et rassurer le client, celui-ci préfère réserver sa chambre en quelques clics. D'où, parfois, des déceptions de sa part : car il n'y a pas toujours adéquation entre ses attentes et son ressenti à l'issue de son séjour, faute d'avoir pu cibler tous les critères qu'il souhaitait en passant par une centrale de réservation plutôt que par l'hôtel."

 

" Quand Airbnb touche 90 €, moi je n'en gagne que 5"

Autres déconvenues pour l'hôtelière : "La multiplication des charges, des taxes et des commentaires insultants sur internet". Côté finances, elle reconnaît qu'une fois les traites remboursées et les salaires versés à son personnel, elle a du mal à se payer. "Je n'ai même pas le salaire que j'avais en tant que prof ! Heureusement que mon mari travaille", dit-elle. Quant aux avis mis en ligne par les clients, "Certains sont hors de propos. Il faut faire attention à ce que l'on écrit et à la façon dont on critique une prestation, car il y a toujours de l'humain derrière."

Enfin, depuis quelques temps, Sylvette Lebeau doit faire face à la concurrence des chambres d'hôte et des appartements de particuliers. Une concurrence qu'elle juge "déloyale" : "Ces chambres et appartements ne sont pas soumis aux mêmes normes, ni aux mêmes taxes, ni aux mêmes charges que les nôtres. Ils viennent donc fragiliser toute l'économie liée à l'hôtellerie. Pour une chambre facturée 100 €, Airbnb touche 90 € et moi seulement 5 €, car j'ai 18 salariés à payer. C'est délirant ! Il ne faut plus s'étonner si les petits hôtels ne peuvent plus tenir et ferment les uns après les autres."

 

"J'ai pensé tout arrêter"

Ecoeurée, désenchantée, elle a pensé tout arrêter. Mais sa passion pour le métier d'hôtelier l'a emporté : "Je continue, car l'activité, dans son essence même reste plaisante et motivante. Mais je suis en faveur d'une harmonisation de la diversité des offres en terme d'hébergement : tout le monde doit être logé à la même enseigne et être soumis aux mêmes normes, aux mêmes règles." Un discours qui a trouvé écho au sein de l'Umih de la Charente Maritime : "Ses représentants sont parfaitement au fait des difficultés actuelles des hôteliers, explique Sylvette Lebeau. Ils nous soutiennent." À celles et ceux qui seraient tentés, comme elle, de changer de vie pour devenir hôtelier, elle recommande de "s'accrocher" et de ne pas rechigner à "passer plus de temps sur internet qu'avec les clients". "Aujourd'hui, conclut-elle, on se bat toute la journée sur des écrans. Certes, internet permet d'être visible de loin. Mais il faut savoir jongler entre les réservations, les réseaux sociaux, le référencement… C'est extrêmement chronophage et ça dénature notre métier lié avant tout à l'accueil et à la rencontre de l'autre."

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Publié par Anne EVEILLARD



Commentaires
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jean joseph HORRER

jeudi 27 août 2015

Il fallait s'en douter !!! Et arrêtez de croire que tout le monde peut se lancer dans l'HR!!!!!!!
Merde!
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SYLVAIN TCHERNONOG

jeudi 27 août 2015

Je vous trouve bien meprisant et sectaire Mr Horreur
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Anonyme

jeudi 27 août 2015

cela devient une specialité chez lui ..
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Anonyme

jeudi 27 août 2015

Je suis d accord avec Mr HORRER je trouve lamentable que tout le monde puisse croire que l'hôtellerie et la restauration sont simples et que l'on se rempli le poches facilement pourquoi faire des études si n importe qui puisse se prévoir d'être un vrai pro et surtout lorsque l'on est prof les vacances et les salaires et les horaires sont légèrement différents???? restez à vos places Mesdames et Messieurs et la profession ne s'en portera que mieux sans toutes ces 'SCIENCES INFUSES'
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Anonyme

jeudi 27 août 2015

désolée j ai oublier de signer LAPOUILLE 13
BTH PRO avec mention Très bien ET + DE 30 ans de métier
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Anonyme

jeudi 27 août 2015

je viens de 'voir' que j'ai fait une faute j aurais dû écrire j'ai oublié et ne pas mettre de r lapouille13

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jean joseph HORRER

jeudi 27 août 2015

sylvain.tchernonog MERCI D'ECRIRE CORRECTEMENT MON NOM!!!
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Anonyme

jeudi 27 août 2015

Méprisant, grossier et imbécile!! voilà ce monsieur est habillé pour l'automne qui va bientôt poindre. Je n'ose imaginer ce qu'accueil et courtoisie signifient dans sa bouche...Et c'est un hôtelier à priori.
Je trouve que le témoignage de notre hôtelière de La Rochelle est très intéressant car pour partie, je pense comme elle. Nous sommes confrontés à la technologie, frustrante souvent, à la coupure des relations directes qui nous permettaient de 'sentir' le client et de lui faire LA proposition idoine. Cela est flagrant pendant l'été avec la clientèle 'Famille'. Maintenant il faut faire avec car il parait vain de revenir en arrière et avec la nouvelle génération hyper connectée cela va s'accentuer.
j'en ai peur. Espérons que l'humain revienne tout de même dans la relation client. C'est sans doute aussi à nous hôteliers de faire un bon bout du chemin, ne serait-ce que par la fidélisation et l'innovation.
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Anonyme

jeudi 27 août 2015

Désolé j'ai omis de signer mon billet d'humeur
Did 03
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Anonyme

jeudi 27 août 2015

d'ailleurs ,comment fait on pour ne pas etre anonyme lorsqu'on ecrit ici ?

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Anonyme

jeudi 27 août 2015

que l'on soit novice ou professionnel nous sommes tous confrontés aux mêmes problèmes. Concurrence déloyale des particuliers, par les agritourismes, les grosses machines telles airbnb, abritel et consorts. Pression des OTA. Inégalité devant l’impôt par rapport aux fraudeurs légaux d'internet, Inégalité quant aux normes auxquelles nous devons tous nous plier.
Mais que font la police, les impots, la dgccrf, l'inspection du travail, si ce n'est nous controler.... Bien plus facile que de rechercher sur internet les pseudo vendeurs de sommeil et de malbouffe.....
Madame merci pour votre témoignage, merci de continuer à etre passionnée, et laissez dire tous ces pisse-froid qui un jour ont été novice comme vous.
Courage et tenons tous bon.
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Anonyme

jeudi 27 août 2015

J'ai moi aussi oublié de signer PARADISU 2A
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Anonyme

jeudi 27 août 2015

je suis d accord aussi PARADISU 2A je souhaitais poser une question de la même veine que vous sur le blog mais impossible aussi je vais la poser ici
Que doit on faire pour que cesse cette gabegie dans notre profession, nous avons fait des études, passé des examens nous sommes contrôlés par toutes sortes d'organismes, avons des lois et des obligations qui nous causent nombre de soucis et par contre des gens sans expérience aucune sans autorisation sanitaire et sans N° fiscal ou social ouvrent des restaurants chez eux, des chambres chez l'habitant contre rémunération mais que font les services fiscaux, l'URSSAF, le RSI qui savent si bien nous tourmenter nous les pros honnêtes sans compter les services d'hygiène et de sécurité et la liste est longue lapouille13
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Lilian ZARZOSO

vendredi 28 août 2015

Dans un pays où il est nécessaire d'avoir un diplôme (CAP coiffure suffit) pour ouvrir un salon, c'est ubuesque de n'avoir besoin que d'argent pour une affaire HCR. Personnellement je préfère avoir une coiffure ratée qu'une intoxication alimentaire qu'un fan de Ratatouille m'aura offert sans supplément.

Plus sérieusement, c'est un problème réel qui entraine dans sa chute les employés également. Il est évident qu'un néophyte ne saura pas apprécier ou quantifier les qualités professionnelles d'un futur employé, ni estimer ses compétences à une juste valeur, tirant de concerts avec la conjoncture et l'évolution du secteur la qualité du personnel vers le bas donc la prestation et le retour client. Force est de constater que ce sont ces apprentis sorciers qui colonisent l'hôtellerie touristique à haut rendement, les pressent à outrance en matraquant les touristes avec une prestation médiocre, et abandonne le site une fois l'abondance en déclin, une fois les associations de commerçants rendues à l'état de peau de chagrin, incapables d'organiser des évènements profitables à tous, revendant des fonds ou louant des gérances dans des zones touristiques agonisantes du fait de la défection croissante des visiteurs (un exemple http://1drv.ms/1NKvNyl). Mais tout va bien Madame la Marquise, le tourisme n'est qu'une source de revenus secondaires pour la France.

Aucune attaque personnelle aux témoin ou commentateurs, certains se sont reconvertis mais d'autres ont trouvé leur voie sur le tard. Néanmoins, ces derniers étant trop rares, je reste convaincu qu'un diplôme minimum devrait être instauré, ainsi que la création d'un conglomérat de HCR qui respecterait une charte de qualité, tant au niveau du service fourni que du social (les Ténardiers existent encore, n'en déplaise à certains). C'est un défi de vouloir rendre ses lettres de noblesse à l'hôtellerie-restauration, pas uniquement celle des établissements de luxe, dans toutes les catégories, mais l'enjeu est important.

Lilian Zarzoso
BTNH-CAP/BEP restaurant
Saisonnier étés/hivers depuis 2001
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Anonyme

vendredi 28 août 2015

Depuis peu s'est constituée une association professionnelle AHTOP - Association pour un Hébergement et un Tourisme Professionnel - à l'instigation de Best Western, de Paris Inn Group , Citotel ,SEH. GNI, ... Le but premier est de se faire entendre auprès des pouvoirs publics en rappelant que la législation soit appliquée à tous et notamment aux nouveaux acteurs de l'économie dite collaborative . comme Airbnb qui entretiennent un grand flou sur une soi-disant économie de partage et d'échange, qui par bien des constats ressemble bien souvent à de la location déguisée.
Faire respecter la Loi sur les plans administratif, juridique, réglementaire, social et fiscal, telle la mission que s'est donnée l'association . Les moyens humains pour y tendre : un cabinet d'avocats spécialisés et des techniciens informatiques chargés d'identifier les loueurs sauvages.
Je pense qu'il est important pour nous tous d'y adhérer car ce n'est pas en morfondant dans notre coin que les choses bougeront. Des actions récentes ont montré qu'unis des évolutions notables dans la relation avec nos ''partners'' en ligne se concrétisaient.... www.ahtop.fr
Did 03

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Jerome FOURNEL

vendredi 28 août 2015

Je pense que passer directement de statut de fonctionnaire a celui d'Hôtelier 4* SPA avec 34 chambres et 18 personnes a l'année, fallait oser quand meme.
A sa place, et en ayant les moyens financiers, ce qui doit etre son cas, j'aurai commencé par un petit 15-20 chambres en deux-trois etoiles.
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Alexis BRACQUE

vendredi 28 août 2015

Lilian, on peut être propriétaire et s'entourer de professionnels non ? où est le problème ?
Alexis 3 CAP en candidat libre :pâtissier, cuisine, charcutier traiteur. 25 ans dans l'informatique, qui intègre une brigade début septembre tout en sachant que le métier est dur et mal payé !
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SYLVAIN TCHERNONOG

dimanche 30 août 2015

Beaucoup d'autodidactes se lancent dans ce metier. Il y a un certain nombre d'echecs mais de tres belles reussites aussi.
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Lilian ZARZOSO

lundi 31 août 2015

@Alexis Bracque, je ne le nie pas, certains arrivés sur le tard sont bien plus capables que des 'anciens', mais ils restent une minorité. J'ai vu un tailleur de pierre devenir un excellent crêpier, et un 'chef de cuisine' fraichement émoulu d'une formation pour adulte qui ignorait les calculs des coûts de revient. A l'instar des diplômés de certaines écoles hôtelières qui pourtant une fois en situation, s'apparentent à des poules ayant trouvé un couteau. Quant au principe même de la direction, c'est de donner un cap à suivre, or comment être capable d'orienter une entreprise et son équipe lorsqu'on est soi-même en phase d'apprentissage? Pour ce qui est dit que c'est un métier dur et mal payé, oui c'est certain, mais on est souvent pourvu d'une tendance masochiste dans ce secteur :). @Did03 Association intéressante qui cependant ne touche qu'à l'hôtellerie, pour ma part je verrais un mouvement englobant la restauration (tous types), qui me semble un segment bien plus délicat, tant les dérives paraissent omniprésentes et surtout particulièrement montrées du doigts par les médias. @Paradisu 2A, il ne s'agit pas d'être 'pisse-froid', mais on cherche tous à défendre ce que l'on aime, plutôt que de le voir massacrer par des branquignols de fest-noz qui jettent le discrédit sur l'ensemble de notre profession.
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Alexis BRACQUE

lundi 31 août 2015

@Lilian : je trouve que les 'néo' qui se plantent ne jettent pas le discrédit sur l'ensemble de notre profession. Au contraire, cela prouve que c'est un vrai métier qui n'est pas donné à tout le monde malgré ce que certaines émissions de télé-réalité font croire. C'est un autre débat ;-)
En tout cas, je suis admiratif du courage et de la pugnacité de Mme Sylvette Lebeau.

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CECILE MULA

mardi 1 septembre 2015

Je tiens à préciser que la profession n'a pas évolué en 5 ans. Madame Lebeau s'est mal renseignée sur notre secteur au moment de sa reconversion. Il faut remonter avant 1980 pour revenir à une relation verbale et écrite systématique avec le client, envoi de brochure, tarifs, parfois 5 mois à l'avance, planning manuel et main courante car pas d'ordinateur. Beaucoup de temps passé à retrouver les erreurs et l'informatique est arrivé. Finies les heures sup (non payées) pour corriger les erreurs des collègues. Arrêtons les jérémiades, le secteur a évolué comme toutes les autres professions. Internet a été un grand soulagement mais avec du bon et du mauvais. Expedia et Booking existent depuis environ 20 ans et beaucoup d'hôteliers on toujours continué à pratiquer des tarifs inférieurs sur leurs sites. En revanche, les charges et les normes ont été un gros handicap pour les hôteliers. Accor l'a bien compris, pour écarter l'hôtellerie indépendante, plébiscitons des normes drastiques et coûteuses pour toutes les structures de 15 chambres à 300 chambres.
Je pense que les désillusions viennent surtout d'un manque de formation et d'une méconnaissance du secteur. L'évolution s'est bel et bien faite en 35 ans et non en 5 ans...
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Philippe COCU

samedi 3 octobre 2015

a
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Edwige KIRCH

dimanche 4 octobre 2015

Bonjour à tous, Ben... ça continue, que cela soit un énarque , un maçon, un ou une illuminé de Masterchef , c'est toujours la même réflexion fausse ; Ils suffit de mettre des lits pour être hôtelier , il suffit de savoir 'Tambouiller' pour ouvrir un Restaurant etc . La crédulité humaine n'a pas de limite ! Il y a une grosse responsabilité de l'Etat , la porte ouverte et la multiplication des gîtes, tables d'hôtes, fermes auberges a un part de responsabilité , toujours plus d'accès possibles à n'importe qui pour faire n'importe quoi ...ça se paye cash ! ex-restaurateur à la retraite bien mérité.
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Florence Etienne

lundi 26 octobre 2015

Bonjour,
J'ai été choquée par le mépris de certains 'professionnels' et les commentaires choisis pour paraître à côté de cet article sur l'édition papier étaient disproportionnés et anonymes qui plus est.
Depuis 6 ans je suis restauratrice 'non diplômée' et j'estime que je suis plus honnête et responsable que le plupart des 'pro'.
Je refuse de travailler avec les mastodontes qui vous livre les plats du jour prêts à réchauffer...entre autres
Cuisine maison, produits de ma région et quand j'utilise des légumes surgelés pour éviter d'acheminer des légumes d'Espagne ou de plus loin, ils arrivent bruts chez moi et c'est clairement affiché.
Je suis presente depuis plus de 6 ans au même endroit alors que le turnover dans ce secteur est immense. Et sortir pour dîner dans un vrai restaurant est un vrai défi actuellement
Donc stop aux donneurs de leçons.
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Martine BREILLOT

vendredi 1 décembre 2017

Je suis hôtelière de métier et juste une chose m'étonne : 35 ch et 18 salariés, c'est là que le bas blesse à mon avis... avant de prendre en considération nouveau dans le métier ou pas...des nouveaux se débrouillent très bien, l'être humain est adaptable mais il faut accepter de donner de son temps, et de son énergie, ce qui semble le cas de Mme Lebeau - surtout qu'à priori, l’hôtel ne fait pas restaurant en plus...nous avons le même nombre de chambres et nos sommes moitié moins...Il y a peut-être une étude à voir de ce côté là... C'est une suggestion, courage ! Déjà la satisfaction dans le métier c'est important, le client le ressent, et bravo à cela.

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