Avec ses 600 m2 sur trois étages, comprenant deux bars à cocktails, un restaurant et une discothèque, Downtown Factory a ouvert ses portes le 8 septembre à Toulouse (Haute-Garonne), à deux pas de la gare Matabiau. C'est un lieu où manger, boire un verre et danser toute la nuit. Un nouveau concept imaginé sur le même modèle que la Fabrica Moritz à Barcelone, et d'autres établissements de Berlin, Londres, New York....
Son fondateur, Philippe Belot,
souhaitait mélanger les genres : "Il y a d'un côté les cafetiers et de l'autre,
les restaurateurs. Tout est cloisonné, c'est dommage. Je souhaite mixer toutes
les activités nocturnes. On peut très bien avoir envie de manger et de danser,
ce n'est pas incompatible. Je voulais offrir quelque chose en plus aux clients."
Philippe Belot s'est associé à Adrien Agulo et à Maxence Pizzuti. L'un connaît très bien le monde de la nuit, et l'autre, de la restauration rapide. Une quinzaine de personnes, de l'architecte aux designers musicaux en passant par des graffeurs et un ferronnier d'art, ont travaillé sur le concept : "Un travail énorme a été fait sur l'éclairage et la qualité sonore", insiste Philippe Belot. 5 000 ampoules ont été installées sur les trois étages du bâtiment. Elles sont commandées de manière individuelle, permettant de jouer sur l'ambiance. Deux DJ ont été embauchés en CDI et d'autres viendront créer des événements tous les mois. 23 personnes ont été recrutées.
Les travaux réalisés dans cette ancienne maison du quartier Saint -Aubin ont duré un an, pour un coût de 1,5 M€. La verrière a été repensée pour abriter un patio.
La restauration, "un bonus"
"J'ai bien conscience que les clients ne viendront pas spécialement pour manger, mais c'est un bonus qui peut les faire rester plus longtemps, explique Philippe Belot. On tient à proposer une restauration de qualité, avec des produits frais et locaux." Beignets de fleurs de courgette, travers de porc, tartare d'avocat... Une carte courte, dédiée au snacking chaud et froid prendra le relais entre 2 heures et 6 heures du matin. "Il y a une demande à Toulouse pour ce genre de lieu. Avant même l'ouverture, nous avions déjà plus de 6 500 contacts sur notre page Facebook."
Philippe Belot s'est associé à Adrien Agulo et à Maxence Pizzuti. L'un connaît très bien le monde de la nuit, et l'autre, de la restauration rapide. Une quinzaine de personnes, de l'architecte aux designers musicaux en passant par des graffeurs et un ferronnier d'art, ont travaillé sur le concept : "Un travail énorme a été fait sur l'éclairage et la qualité sonore", insiste Philippe Belot. 5 000 ampoules ont été installées sur les trois étages du bâtiment. Elles sont commandées de manière individuelle, permettant de jouer sur l'ambiance. Deux DJ ont été embauchés en CDI et d'autres viendront créer des événements tous les mois. 23 personnes ont été recrutées.
Les travaux réalisés dans cette ancienne maison du quartier Saint -Aubin ont duré un an, pour un coût de 1,5 M€. La verrière a été repensée pour abriter un patio.
La restauration, "un bonus"
"J'ai bien conscience que les clients ne viendront pas spécialement pour manger, mais c'est un bonus qui peut les faire rester plus longtemps, explique Philippe Belot. On tient à proposer une restauration de qualité, avec des produits frais et locaux." Beignets de fleurs de courgette, travers de porc, tartare d'avocat... Une carte courte, dédiée au snacking chaud et froid prendra le relais entre 2 heures et 6 heures du matin. "Il y a une demande à Toulouse pour ce genre de lieu. Avant même l'ouverture, nous avions déjà plus de 6 500 contacts sur notre page Facebook."
Publié par Dorisse PRADAL
Commentaires
Dialoguez avec nos experts !
(Service réservé à nos abonnés : 3,33€/mois)
Vous souhaitez poser une question
ou ajouter un commentaire ?
Un seul clic pour accéder à la suite :
