Numéro d'enregistrement des meublés, la profession enfonce le clou - Édito du journal du 6 juillet 2017
Vie professionnelle - mercredi 5 juillet 2017 10:48
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L'Ahtop avec le GNI, puis l'Umih avec le GNC, ont choisi d'accompagner les municipalités dans la mise en place de la procédure d'enregistrement des locations meublées. Le dispositif, issu de la loi pour une République numérique, va permettre aux élus de mesurer ce parc d'hébergement spécifique et d'avoir une meilleure visibilité sur l'offre touristique de leur commune. Pour les syndicats, c'est aussi le moyen d'assurer un meilleur recouvrement de la taxe de séjour. En 2016, selon un calcul effectué par l'Umih, le produit de la taxe de séjour, en y incluant les locations d'appartements, aurait dû atteindre 450 M€. La collecte n'a été que de 300 M€, sachant qu'elle reste essentiellement portée par l'hôtellerie. L'autre argument concerne la modification du parc immobilier dans certains quartiers, accroissant la pénurie de logements. Le raisonnement est juste et approprié. Les outils des syndicats professionnels et de l'association le sont également. Les élus ont désormais le choix entre deux guides pratiques, dont l'objectif est identique mais dont la rédaction varie selon les sensibilités des uns et des autres. Du bon boulot, mais va-t-il porter ses fruits ? Il sera intéressant de faire le point en fin d'année sur le nombre de communes qui auront franchi le pas, en dehors de celles, bien sûr, pour qui c'est normalement obligatoire…
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