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Le thème du concours sera : la séduction du
maître d'hôtel trancheur envers le chef cuisinier. L'objectif étant de
proposer une gestuelle qui donne l'envie aux chefs de miser sur le retour dans
leurs établissements de la découpe en salle.
Le concours sera composé de quatre épreuves organisées sous forme de joute. Les huit quart de finalistes seront départagés sur le thème d'un dessert à base d'orange, découpée en salle, créé par Monsieur Quentin Joplet, chef du Castellaras à Fayence. Les quatre demi-finalistes seront départagés sur le thème d'un poulet rôti découpé en salle. La petite finale, destiné à récompenser le quatrième du troisième des candidats consistera à présenter, découper et servir plusieurs pains à partir d'un chariot roulant. Les finalistes seront départagés à partir de la découpe d'une bande de saumon fumé, servie sur un plateau, au buffet.
Le concours sera composé de quatre épreuves organisées sous forme de joute. Les huit quart de finalistes seront départagés sur le thème d'un dessert à base d'orange, découpée en salle, créé par Monsieur Quentin Joplet, chef du Castellaras à Fayence. Les quatre demi-finalistes seront départagés sur le thème d'un poulet rôti découpé en salle. La petite finale, destiné à récompenser le quatrième du troisième des candidats consistera à présenter, découper et servir plusieurs pains à partir d'un chariot roulant. Les finalistes seront départagés à partir de la découpe d'une bande de saumon fumé, servie sur un plateau, au buffet.
Apprentis, élèves ou étudiants
Les candidats doivent être des apprentis, des élèves ou des étudiants scolarisés dans un établissement scolaire, public ou privé, CFA ou autre, français ou étrangers. Il n'y a pas de condition d'âge, ni de niveau d'études. Huit candidats finalistes seront sélectionnés à partir d'un dossier de candidature composé d'une fiche d'inscription et d'un questionnaire à compléter, ainsi que d'un entretien avec le président du jury Gil Galasso. Ce dossier devra être complété avant le 30 juin 2016. Le nom des finalistes sera annoncé le 1er septembre 2016. Les finalistes seront tous récompensés par de nombreux lots.
Les candidats doivent être des apprentis, des élèves ou des étudiants scolarisés dans un établissement scolaire, public ou privé, CFA ou autre, français ou étrangers. Il n'y a pas de condition d'âge, ni de niveau d'études. Huit candidats finalistes seront sélectionnés à partir d'un dossier de candidature composé d'une fiche d'inscription et d'un questionnaire à compléter, ainsi que d'un entretien avec le président du jury Gil Galasso. Ce dossier devra être complété avant le 30 juin 2016. Le nom des finalistes sera annoncé le 1er septembre 2016. Les finalistes seront tous récompensés par de nombreux lots.
Renseignements : trophée René Lasserre et
Commentaires
Nathalie CHOURAQUI
samedi 5 mars 2016
Très cher Yves, je t'invite à lire les épreuves avant de juger.
Tu t'apercevras que le produit n'est pas au centre du concours, c'est le geste. Geste accompagné du verbe. Si ces produits ont été choisis c'est en partie parce qu'ils sont facile à obtenir et à manipuler. Pour les participants, qui sont déja au travail, il vaut mieux s'entrainer sur l'élégance du geste sur une orange que sur un turbotin. Tu es le bienvenu comme lors de la dernière session à venir voir nos travaux. Merci pour ton intérêt en tout cas.
Gil
Tu t'apercevras que le produit n'est pas au centre du concours, c'est le geste. Geste accompagné du verbe. Si ces produits ont été choisis c'est en partie parce qu'ils sont facile à obtenir et à manipuler. Pour les participants, qui sont déja au travail, il vaut mieux s'entrainer sur l'élégance du geste sur une orange que sur un turbotin. Tu es le bienvenu comme lors de la dernière session à venir voir nos travaux. Merci pour ton intérêt en tout cas.
Gil
Laurent DELARBRE
samedi 5 mars 2016
Depuis des décennies, M Cinotti s'évertue à critiquer les métiers du service. Il est vain de tenter d'infléchir sa position.
Yves CINOTTI
samedi 5 mars 2016
Mais non, je ne dénigre pas les métiers de service. Je critique la 'cuisine en salle' qui, comme l'écrit Jean-François Revel ('Un festin en parole', page 27), « relève de l’attraction foraine et de la vigilance des sapeurs-pompiers, non pas de la gastronomie ».
Laurent DELARBRE
dimanche 6 mars 2016
Vous avez raison ! Vous mettez en valeur le problème de compétences : les restaurants n'ont pas tous vocation à proposer ces prestations. Le marché est vaste, chaque formule doit pouvoir exister, à condition de rechercher le travail bien fait voire l'excellence. Au nom de quoi nous devrions renoncer à l'éveil de la curiosité, l'accompagnement professionnel de jeunes passionnés ? Fréquentez de vrais bons restaurants, avec de vrais pros aux commandes et vous réaliserez peut-être que ces prestations peuvent bénéficier d'une mise à la page attractive pour les clients.
Ces vieux débats fatiguent, je ne vais pas cracher à la figure de gens que je ne souhaite pas fréquenter. Faites-en autant, vos positions sont aussi anachroniques que déplacées.
Ces vieux débats fatiguent, je ne vais pas cracher à la figure de gens que je ne souhaite pas fréquenter. Faites-en autant, vos positions sont aussi anachroniques que déplacées.
Nathalie CHOURAQUI
dimanche 6 mars 2016
Cher Yves, tu cites Revel alors que nous savons qu'à l'époque où son livre a été écrit, 1979, l'objet culinaire n'était pas vraiment pris au sérieux par les sociologues, ce n'est qu'à partir de 1983 et de la thèse de Jean Pierre Poulain que des théories argumentées ont été publiées. Je t'invite à écouter Bruno Laurioux aux rencontres François Rabelais : https://www.youtube.com/watch?v=CJ6b2bH3GWo
Ecoutes bien les propos de Théo Pourriat, le directeur de salle de Septime, qui ne peut pas être taxé de rétrograde... tu vas tomber de ta chaise !
Quand à la volaille, je t'invite à déjeuner chez Eric Westermann au Buerheisel à Strasbourg. La volaille est mise en scène et sa découpe aussi.
Une dernière chose : si tu avais raison, pourquoi des grands spécialistes du marché de la restauration et du marketing comme Bernard Boutboul soutiennent mes propositions ? et vont participer au jury du trophée René Lasserre ?
Cordialement,
Gil
Ecoutes bien les propos de Théo Pourriat, le directeur de salle de Septime, qui ne peut pas être taxé de rétrograde... tu vas tomber de ta chaise !
Quand à la volaille, je t'invite à déjeuner chez Eric Westermann au Buerheisel à Strasbourg. La volaille est mise en scène et sa découpe aussi.
Une dernière chose : si tu avais raison, pourquoi des grands spécialistes du marché de la restauration et du marketing comme Bernard Boutboul soutiennent mes propositions ? et vont participer au jury du trophée René Lasserre ?
Cordialement,
Gil
Nathalie CHOURAQUI
samedi 31 décembre 2016
Vous pouvez consulter le trophée René Lasserre en vidéo en cliquant ici : https://aasppasf.wordpress.com/2016/12/29/le-trophee-rene-lasserre-en-videos/
vendredi 4 mars 2016