Ouvert avant l'été, Le Mabilay bouleverse la donne à
Rennes. En lançant, avec un succès incroyable, la vague des after-works - qui
ne cessent depuis de se développer en ville - l'établissement a visé juste.
"Ici, nous voulons mêler les genres, note Angela Martin, la
conceptrice et propriétaire du lieu. Les clients viennent chercher un lieu
et ensuite, à nous de nous adapter à leur demande." Le Mabilay propose donc
une offre assez large et donne à ses clients une grande liberté. "Tout est
possible ici, avec, pourquoi pas, plusieurs services dans la soirée, à l'anglo-saxonne."
Le Mabilay propose le matin des petits déjeuners, le midi une carte coffee-shop (sandwich, pâtes, salades... à emporter) et, depuis la rentrée, une vraie carte de bistrot, avec un menu à 16 € avec entrée, plat et dessert. Arnaud Tabourdet, le nouveau chef, cuisine par exemple un Pressé de jarret demi-sel, compotée abricot-carotte, un Tartare de dorade, mangue et passion, un Mignon de porc rôti à basse température, cocos de Paimpol ou un Rouget grondin rôti à l'huile d'olive et sa boulangère de boules d'or. "Le soir, nous avons les after-works du jeudi et du vendredi, et, désormais, les dîners gastronomiques en parallèle." Avec des plats à partager comme le homard de 600/800 g proposé à 55/65 €, le poisson du marché à 19 €, la pièce de boucher à la plancha à 25 €, etc.
Un jardin ouvert sur la ville
Succès garanti d'autant que l'emplacement et la décoration sont au rendez-vous. Ouvert dans un site charismatique de la ville - un ancien bâtiment de France Télécom très seventies, entièrement rénové -, Le mabilay s'étire en rez-de-chaussée, disposant d'une terrasse-jardin avec vue imprenable sur la Vilaine, les quais et le centre-ville à deux pas. À l'intérieur, le design et la modernité l'emportent avec un immense comptoir en mange-debout, des tables presque brutes, une bibliothèque pour casser l'espace, de superbes affiches encadrées très design, des anciennes colonnes en béton conservées et un plafond brut-indus.
Le Mabilay propose le matin des petits déjeuners, le midi une carte coffee-shop (sandwich, pâtes, salades... à emporter) et, depuis la rentrée, une vraie carte de bistrot, avec un menu à 16 € avec entrée, plat et dessert. Arnaud Tabourdet, le nouveau chef, cuisine par exemple un Pressé de jarret demi-sel, compotée abricot-carotte, un Tartare de dorade, mangue et passion, un Mignon de porc rôti à basse température, cocos de Paimpol ou un Rouget grondin rôti à l'huile d'olive et sa boulangère de boules d'or. "Le soir, nous avons les after-works du jeudi et du vendredi, et, désormais, les dîners gastronomiques en parallèle." Avec des plats à partager comme le homard de 600/800 g proposé à 55/65 €, le poisson du marché à 19 €, la pièce de boucher à la plancha à 25 €, etc.
Un jardin ouvert sur la ville
Succès garanti d'autant que l'emplacement et la décoration sont au rendez-vous. Ouvert dans un site charismatique de la ville - un ancien bâtiment de France Télécom très seventies, entièrement rénové -, Le mabilay s'étire en rez-de-chaussée, disposant d'une terrasse-jardin avec vue imprenable sur la Vilaine, les quais et le centre-ville à deux pas. À l'intérieur, le design et la modernité l'emportent avec un immense comptoir en mange-debout, des tables presque brutes, une bibliothèque pour casser l'espace, de superbes affiches encadrées très design, des anciennes colonnes en béton conservées et un plafond brut-indus.
Publié par Olivier MARIE
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