"Ça fait un moment que nous avions envie de recevoir les gens autrement, d'avoir la possibilité de les recevoir à table, de nous en occuper différemment et plus longtemps", lance Bruno Dinel, à la tête avec son père Patrick des boulangeries Au Pain de mon grand-père. Le duo a franchi un cap, le 13 octobre dernier, en reprenant la pizzeria située en face de leur boulangerie historique de La Krutenau. La décoration, comme la carte, ont été imaginées dans l'esprit des bistrots parisiens, avec des banquettes et chaises idoines, et une cuisine à l'ardoise qui fait la part belle aux plats d'antan (Terrine de queue de boeuf au foie gras, Paleron de boeuf cuit 72 heures, Crème tendre au chocolat et réduction d'oranges…). Au piano, Alexandre Nicola, un ancien de l'écurie Constant au Crillon, a carte blanche. "C'est l'élément maître et majeur qui manquait" assure Bruno.
Le pain à l'honneur
Au Bistrot du boulanger, le pain occupe évidemment une place de choix avec quatre variétés proposées dans de jolies corbeilles, une sélection de foccacias et tartines, mais aussi des viennoiseries au petit déjeuner et des pâtisseries à l'heure du goûter – le restaurant est ouvert non-stop de 7 h 30 à 22h. Pour l'heure, tout le monde met la main à la pâte : Bruno, qui vient initialement de la sommellerie, a élaboré la carte des vins et se charge du service, et son père n'hésite pas à donner des coups de main en cuisine. "Les clients nous connaissent pour le pain mais il est important que nous soyons là pour leur faire découvrir notre nouvelle affaire", affirment le père et le fils qui continuent à développer leur réseau de boulangeries, avec des ouvertures prévues cette année à Lyon, Strasbourg et Toulouse.
Le pain à l'honneur
Au Bistrot du boulanger, le pain occupe évidemment une place de choix avec quatre variétés proposées dans de jolies corbeilles, une sélection de foccacias et tartines, mais aussi des viennoiseries au petit déjeuner et des pâtisseries à l'heure du goûter – le restaurant est ouvert non-stop de 7 h 30 à 22h. Pour l'heure, tout le monde met la main à la pâte : Bruno, qui vient initialement de la sommellerie, a élaboré la carte des vins et se charge du service, et son père n'hésite pas à donner des coups de main en cuisine. "Les clients nous connaissent pour le pain mais il est important que nous soyons là pour leur faire découvrir notre nouvelle affaire", affirment le père et le fils qui continuent à développer leur réseau de boulangeries, avec des ouvertures prévues cette année à Lyon, Strasbourg et Toulouse.
Publié par Julie GERBET
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