Kim et Géraud Gary-Bobo se sont
rencontrés à la faveur d'une reconversion. Leur dénominateur commun : l'Institut
Paul Bocuse à Lyon. Depuis, ils sont inséparables, elle en salle, lui en
cuisine, avec un passage dans de belles maisons : le Carré des feuillants
d'Alain Dutournier à Paris, le
Métropole de Joël Robuchon à
Monte-Carlo, Lassausaie à Chasselay (Rhône). L'envie de revenir au Sud et d'y
installer leur propre établissement s'est ensuite imposée quand la famille s'est
agrandie. "On voulait travailler ensemble, exprimer notre passion comme on
en avait envie, explique Kim Gary-Bobo. Et tant qu'à travailler comme des forcenés,
on préférait que ce soit pour nous." Aujourd'hui, installé dans le Vieux-Nice en face de la mairie,
leur restaurant Fine Gueule ne désemplit pas.
Produits de saison
Le nom révèle l'esprit de la maison : "Fine Gueule se dit d'une personne subtile appréciant plus que tout les belles et bonnes choses telles que la nourriture, la littérature, la culture et de nombreux autres mots en 'ure' comme Épicure, par exemple", peut-on lire affiché aux murs. Le lieu s'y prête, pierre apparente chaleureuse, table d'hôtes généreuse, brasserie conviviale, renforcée par la présence, au centre, d'une cuisine vitrée ouverte à tous les regards. Géraud Gary-Bobo y décline une cuisine de marché contemporaine et gourmande, avec de beaux produits de saison, légumes et épices en vedette. "On ne sait pas faire autre chose", commente le chef.
À la carte (de 7 à 21 €) : Pissaladière maison, thon frais brûlé, caviar d'aubergines et poivre Timut, Rognon à la plancha, purée de pommes de terre, légumes et jus de veau, Tarte au citron meringuée... La formule du midi, à 16 €, comprend entrée, plat et un verre de vin. "On conçoit tout ensemble ; c'est plus facile à deux cerveaux, on a plus d'idées".
Produits de saison
Le nom révèle l'esprit de la maison : "Fine Gueule se dit d'une personne subtile appréciant plus que tout les belles et bonnes choses telles que la nourriture, la littérature, la culture et de nombreux autres mots en 'ure' comme Épicure, par exemple", peut-on lire affiché aux murs. Le lieu s'y prête, pierre apparente chaleureuse, table d'hôtes généreuse, brasserie conviviale, renforcée par la présence, au centre, d'une cuisine vitrée ouverte à tous les regards. Géraud Gary-Bobo y décline une cuisine de marché contemporaine et gourmande, avec de beaux produits de saison, légumes et épices en vedette. "On ne sait pas faire autre chose", commente le chef.
À la carte (de 7 à 21 €) : Pissaladière maison, thon frais brûlé, caviar d'aubergines et poivre Timut, Rognon à la plancha, purée de pommes de terre, légumes et jus de veau, Tarte au citron meringuée... La formule du midi, à 16 €, comprend entrée, plat et un verre de vin. "On conçoit tout ensemble ; c'est plus facile à deux cerveaux, on a plus d'idées".
Publié par Anne SALLÉ
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