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du 2 décembre 2004
REVUE DE PRESSE

DANS LE PARISIEN
La Péniche-Restaurant devrait ouvrir en décembre
Béatrice, la Péniche-Restaurant vient de s'arrimer à la halte fluviale de Meaux, en Seine-et-Marne. Ouverture imminente.
«[…] Avec ses 35 mètres de long, ses 5 mètres de large et ses 3 étages, la péniche fait désormais partie du paysage de la Marne.
Le restaurant flottant, qui devrait ouvrir début décembre, accueillera 100 convives pendant l'année, et le double pendant l'été grâce au pont supérieur. Pour le moment, les deux propriétaires en sont encore aux préparatifs. "Ici, il y aura un bar, et là, des canapés en cuir. Cette péniche avec vue sur la cathédrale sera vraiment agréable et notre chef vous attend de pied ferme avec une
délicieuse cuisine traditionnelle et régionale", annonce Philippe Taieb, copropriétaire des lieux, au milieu des chutes de moquettes et des cartons. […]
Mais l'ouverture prochaine de la Péniche-Restaurant ne fait pas que des heureux. "Ce restaurant bénéficiera de l'aménagement des berges de la Marne financé par la ville. Ce n'est pas normal qu'une seule entreprise privée profite de fonds publics. Tout le monde devrait avoir les mêmes chances !", s'insurge un restaurateur 'terrien' de Meaux. […]
"Le ponton sert à désengorger le tourisme fluvial pendant l'été. Quant au cheminement, il sert avant tout à l'accès des pompiers et aux personnes à mobilité réduite", tient-on à préciser en mairie […].»
Marie Linton

< "La cuisine ressemble à celui qui la fait. Ce qui semble une évidence est encore plus flagrant pour Jean Brouilly. Franche, sincère, généreuse et exempte de sophistication."
Dans Le Progrès : Restaurant Jean Brouilly à Tarare (69).

DANS MIDI-LIBRE
Quand Sainte-Énimie retrouve vie en hiver
En juin dernier, Thierry Boullenc a ouvert une pizzeria, La Calabraise à Sainte-Énimie, en Lozère. Son pari : ouvrir toute l'année.
«[…] En effet, au-delà du patrimoine touristique et historique qu'incarne le village de Sainte-Énimie et qui attire les touristes, même en hiver, il convenait à cette cité de proposer, même en basse saison, une offre touristique digne de ce nom, en termes de restauration et d'hébergement.
C'est pourquoi le pari de Thierry Boullenc et de sa compagne mérite d'être souligné.

"Aujourd'hui, nous sommes les seuls à Sainte-Énimie à ouvrir 7 jours sur 7. Après le 11 novembre, la majeure partie des commerces du village ferme. Heureusement, nous sommes soutenus par la population. Avec le boulanger et les jeunes qui ont développé plus haut une activité de chambres d'hôte, nous nous entendons à merveille. Ce n'est que par cette action commune que nous nous en sortirons."
Il est vrai que le bourg de Sainte-Énimie semble s'endormir, dès les festivités du 11 novembre passées. "On parle surtout de Sainte-Énimie en été. Pourquoi cette petite bourgade n'aurait-elle pas le droit de vivre 12 mois sur 12 ?". […]»
Hervé Courgeon

< "Pas de temps perdu dans le 'ventre de Paris' ! Sous l'oeil attentif de Denise, deux chefs se relaient pour contenter les gourmets à toute heure : Bernard Noël et Michel Anfray."
Le choix de Jean-Luc Petitrenaud dans L'Express : Tour de Montlhéry à Paris (Ier).

DANS CATERER
Loïc Lefebvre : du Languedoc aux highlands
Barry Larsen, le nouveau propriétaire du Glenmoriston Town House Hotel à Inverness en Ecosse, a confié La Riviera Restaurant (45 places assises) au chef Loïc Lefebvre.
«[…] Ayant travaillé comme sous-chef à La Bastide Saint-Antoine à Grasse (2 étoiles Michelin) et au Jardin des Sens à Montpellier (3 étoiles Michelin), Lefebvre a de toute évidence un 'pedigree' impressionnant. Et quand il rencontre Larsen, il était prêt pour un nouveau challenge. "Je voulais aller là où je pourrais créer un menu tel que je l'entendais et je voulais aussi accroître mon savoir sur les produits."
Comment vit-il sa nouvelle vie à Inverness ?

"J'aime l'écosse et ses produits, dit-il. Je peux me promener en forêt et ramasser des champignons, ou pêcher du saumon dans la rivière, et la qualité est fantastique. Contrairement à la France, on peut cuisiner ici avec de très nombreux produits différents. Vous pouvez être plus exotique dans votre style et au niveau des saveurs, en utilisant par exemple des fruits ou épices exotiques. […]"
Loïc Lefebvre pense-t-il que Inverness est prête pour la cuisine moderne française ? Il admet que quelques habitués ont besoin d'être convaincus et reconnaît que son style peut être un peu trop différent pour certains, mais maintenant, au bout de 3 mois, il est confiant. "Quand je regarde les réservations et que nous sommes complets le vendredi et le samedi soir, dit-il, je sais que je fais une cuisine
qui plaît.
"» 
Emma Allen zzz22v zzz18p

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L'Hôtellerie Restauration n° 2901 Hebdo 2 décembre 2004 Copyright © - REPRODUCTION INTERDITE

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