Après deux restaurants à Paris, un troisième Big Fernand vient d'ouvrir au coeur de la presqu'île lyonnaise, à l'initiative de trois frères, Florian, Yann et Clément Moreau. C'est l'ainé, Florian, qui a convaincu la fratrie de se lancer dans l'aventure : "J'ai travaillé chez Big Fernand dans le IXe arrondissement de Paris pour payer mes études de cinéma. Mais le concept m'a tellement plu, que j'ai finalement décidé de me reconvertir dans la restauration. D'autant qu'avec mes frères, nous rêvions depuis longtemps de monter une affaire ensemble." L'enseigne, qui se définit comme un artisan du hamburger, joue avant tout sur la fraîcheur et la qualité de ses produits. "Tous nos burgers sont préparés à la minute, à partir de légumes préparés sur place, mais aussi de fromages au lait cru, de viandes d'origine française, et de pain de boulangerie. De même, nos sauces et frites sont faites maison", assure Florian Moreau.
Ambiance branchée
Si la restauration se veut artisanale, avec plusieurs recettes de burgers ou à composer soi-même, le concept reste toutefois très marketé. À l'instar du dress code imposé aux employés : chemise à carreau, béret, tablier et moustache fine. Ou encore de la musique des années 1980 dans le restaurant. "On joue sur une image décalée, plutôt branchée afin de créer une relation privilégiée avec notre clientèle. De même, nous avons soigné la décoration du restaurant en faisant appel à des artisans locaux dont les portraits sont accrochés au mur", explique Florian Moreau. Si l'établissement compte 40 couverts, la vente à emporter constitue une part importante du chiffre d'affaires.
Ambiance branchée
Si la restauration se veut artisanale, avec plusieurs recettes de burgers ou à composer soi-même, le concept reste toutefois très marketé. À l'instar du dress code imposé aux employés : chemise à carreau, béret, tablier et moustache fine. Ou encore de la musique des années 1980 dans le restaurant. "On joue sur une image décalée, plutôt branchée afin de créer une relation privilégiée avec notre clientèle. De même, nous avons soigné la décoration du restaurant en faisant appel à des artisans locaux dont les portraits sont accrochés au mur", explique Florian Moreau. Si l'établissement compte 40 couverts, la vente à emporter constitue une part importante du chiffre d'affaires.
Publié par Stéphanie Pioud
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