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N° 3541 - 9 mars 2017
L’Hôtellerie Restauration
Yannick Alléno est le nouveau
parrain de la branche française des
Jeunes Restaurateurs d’Europe
Stéphanie Le Quellec dans l’émission “Ma mère
cuisine mieux que la tienne”, à partir du 13 mars
sur M6
www.twitter.com/lhotellerieLHRJérôme Faure, chef du Domaine de Fontenille,
en démonstration culinaire
www.instagram.com/lhotellerie.restaurationProtéger votre marque contre le brandjacking :
c’est possible
www.facebook.com/LHotellerieRestaurationComment déterminer le prix d’une chambre et
d’une suite ?
www.lhotellerie-restauration.fr/blogs-des-expertsPour retrouver les articles en intégralité :
Retour d’expérience : “Suite à la loi Macron, j’ai augmenté
mes tarifs sur les OTA”
Une journée avec Géraldine
Browaëys, réceptionniste au
Meurice
www.lhotellerie-restauration.fr/QR/RTR748425Dénicher un job d’été
www.lhr-contacts.frÇA M’INTÉRESSE
SUR NOS RÉSEAUX
L’ACTUALITÉ
VOUS EN AVEZ FAIT
L’EXPERIENCE
ET VOUS AVEZ UN
COMMENTAIRE À FAIRE
www.lhotellerie-restauration.fr/QR/RTR847041Vanessa
Guerrier-
Buisine
www.lhotellerie-restauration.fr/publications/vanessa.guerrierbuisine
La vente de sandwichs ne cesse
de croître
(lire p. 4)
Rendez-vous au salon LHR Emploi
le 16 mars, au Centquatre à Paris
(lire p. 8-11)
DR
les fournisseurs s’y précipitent et ne sont pas
accessibles pour les indépendants.
“À San
Francisco, les restaurateurs bénéficient d’une
offre pléthorique, car de nombreux fournisseurs
proposent des produits frais, comme les pois-
sons tout juste pêchés ou les fruits et légumes
de Californie. Nous n’avions aucune difficulté
à trouver des produits frais et à nous appro-
visionner. Las Vegas se trouve en plein désert
du Nevada et il est donc difficile de trouver des
produits locaux,
constate-t-il.
J’ai dû retirer
les moules marinières de la carte car, pour le
moment, je n’ai pas réussi à en trouver.”
Malgré ces contraintes, Richard Terzaghi voit
toujours plus loin.
“Les États-Unis offrent de
formidables opportunités pour investir et une
heure suffit à créer une activité. Si vous avez
une bonne idée, les investisseurs suivent très
facilement”
, conclut-il.
À savoir
avant de se lancer
Ź
L’obtention du visa nécessite d’avoir déjà investi les fonds aux États-Unis,
d’embaucher des citoyens américains, de prouver que son business plan tient la
route et d’en être propriétaire à plus de 50 %.
Ź
Les ayants-droits bénéficient d’un visa de type E2 dependent qui permet au
conjoint d’avoir un visa de travail temporaire et aux enfants d’être scolarisés.
Ź
Attention à la disponibilité des fournisseurs, parfois cannibalisés par les grandes
structures.
Ź
La souplesse des contrats permet d’embaucher en limitant les risques.
Ź
Il faudra adapter vos méthodes de travail aux cuisiniers américains, pas toujours
habitués à la cuisine minute.
La salle du Ohlala peut accueillir 43 convives.
Bistro,
le pari
à Las Vegas
VIDÉO
© DR