Actualités

 
du 25 août 2005
L'ÉVÉNEMENT

SI VOUS VOULEZ TRAVAILLER OUTRE-MANCHE

LONDRES AIME LE SAVOIR-FAIRE DES JEUNES EXPATRIÉS FRANÇAIS

Du fait d'une pénurie de main-d"oeuvre qualifiée, les jeunes professionnels français n'ont aucun mal à trouver du travail à Londres. Mais une expatriation réussie doit se préparer à l'avance. Conseils pratiques et témoignages.


Londres, plus près de Paris que Marseille ou Toulouse.

Le marché de l'emploi n'est plus hexagonal. Il est de plus en plus international. En restauration, le fait que les grands chefs de cuisine français soient de plus en plus nombreux à ouvrir un ou plusieurs restaurants à travers le monde le montre aisément. Dans les grands groupes hôteliers, les postes de direction sont le plus souvent occupés par ceux qui ont accepté la mobilité internationale. Aujourd'hui un parcours professionnel réussi inclut souvent une expérience à l'étranger. Et, même pour ceux qui choisissent de rester en France, savoir comprendre et s'exprimer en anglais est indispensable à un moment donné de leur carrière. Réceptionniste, concierge, chasseur, voiturier, gouvernante générale, serveur, maître d'hôtel, sommelier… à tous ces postes en contact avec la clientèle, il est bien rare de ne pas être amené ponctuellement ou régulièrement - selon le type d'établissement et sa situation géographique - à s'exprimer en anglais pour renseigner, accueillir ou servir une clientèle étrangère touristique ou d'affaires. Si, en cuisine, savoir parler anglais n'est pas indispensable, le fait de pouvoir mentionner sur son CV que l'on est parti travailler à l'étranger peut être perçu par un potentiel employeur comme un signe de débrouillardise, d'adaptabilité et d'ouverture d'esprit qui pourra le séduire.
L'expatriation est sans doute la meilleure manière d'apprendre à maîtriser l'anglais. A cet égard, Londres présente l'avantage d'être à seulement 3 heures de Paris en Eurostar et de faire partie de l'Union européenne, ce qui facilite l'accès à l'emploi (à partir du moment où vous possédez un passeport français, vous avez le droit d'y travailler). En outre, le secteur économique de l'hôtellerie-restauration y est ultra-dynamique, et le savoir-faire français particulièrement apprécié. Mieux, face à une pénurie de main-d'oeuvre qualifiée qui sévit aussi de l'autre côté de la Manche, il est recherché. à Londres, les jeunes expatriés français du secteur de l'hôtellerie-restauration sont donc assurés de trouver un travail en rapport avec leurs études.

Trouver un emploi à Londres
Mais partir travailler à l'étranger est une aventure qui peut s'avérer périlleuse si elle n'est pas bien préparée. Pour commencer, vous pouvez vous faire une idée du type d'emploi proposé en consultant la rubrique 'Espace international et outre-mer' (1) sur le site www.lhotellerie.fr qui met en ligne quotidiennement des offres d'emploi à destination des professionnels. Ces offres sont en outre publiées chaque semaine dans l'hebdomadaire L'Hôtellerie Restauration. Le site www.lhotellerie.fr (1) consacre en effet une rubrique entière à l'emploi à l'international qui permet aux hôteliers-restaurateurs de l'étranger de passer des annonces en temps réel et de recevoir directement sur le leur boîte e-mail, les CV de candidats dont ils ont présélectionné le profil. Réciproquement, les candidats à l'expatriation peuvent très facilement diffuser leur CV et consulter gratuitement les offres d'emploi classées par type de poste et par région du monde. Les offres d'emploi pour la Grande-Bretagne et Londres figurent dans la région 'Europe'. Sur www.lhotellerie.fr le 'Forum international' et la rubrique 'Conseils pratiques pour partir travailler à l'étranger' constituent également une mine d'informations. Côté organisme public, l'Espace Emploi International* diffuse également des annonces d'emploi notamment dans le secteur de l'hôtellerie-restauration au Royaume-Uni. Il existe aussi des agences privées qui proposent, moyennant finance, un package emploi + logement. Mais attention ! Car certaines d'entre elles n'ont aucun scrupule à faire payer très cher leurs services, alors qu'une fois sur place, de nombreux jeunes déchantent en découvrant un logement très coûteux dans des quartiers pas toujours recommandables, et dans un état de salubrité critiquable. Si vous choisissez de partir en passant par une agence de recrutement, nous vous conseillons donc la prudence, et de prendre le maximum de renseignements la concernant avant de vous engager. Pour une première approche de ce genre de services, nous vous conseillons de prendre contact avec le CEI* - The French Centre (centre d'échanges internationaux) de Londres. Cet organisme agréé par le ministère du Tourisme et reconnu par les ministères des Affaires étrangères, de la Jeunesse et des Sports et de l'Éducation nationale, propose notamment un programme payant ciblé hôtellerie-restauration qui garantit un emploi et un hébergement et/ou cours d'anglais.

Les Français de Londres
Selon les dernières données publiées par la Maison des Français de l'étranger, la communauté française résidant au Royaume-Uni est jeune, la tranche des 25-40 ans étant particulièrement bien représentée. Dans la capitale britannique, la moitié des Français immatriculés au consulat travaillent dans le secteur tertiaire, qui inclut le secteur de l'hôtellerie-restauration.
Au 31 décembre 2002, la Maison des Français de l'étranger évaluait à plus de 200 000 le nombre de Français résidant au Royaume-Uni.

Centre Charles Péguy
"Commencer à Londres par un petit job peut être utile. Cela permet au jeune de prendre conscience progressivement des distances, du coût du transport et des loyers, puis, une fois sur place, de cibler les entreprises susceptibles de proposer un poste en corrélation avec son projet professionnel", explique-t-on au Centre Charles Péguy*, une association à but non-lucratif, gérée par le CEI, et dont la mission est d'aider les jeunes Français âgés de 18 à 30 ans qui souhaitent s'installer en Grande-Bretagne. Romain Réquéna, un jeune sommelier de 25 ans, confirme : "Mon premier travail en Angleterre était une place de serveur dans un bar-pub en dehors de Londres. Mes fonctions n'avaient rien à voir avec la sommellerie, ce qui était décevant sur le coup, mais cela m'a permis d'appréhender Londres en douceur, avec un regard objectif. Et très vite, j'ai trouvé un poste de sommelier qui me convenait dans le groupe Térence Conran au centre de Londres."
Si vous n'avez pas trouvé d'emploi avant de quitter la France, le Centre Charles Péguy pourra vous y aider moyennant une cotisation annuelle de 50 livres (75 euros). L'association, située en plein coeur du Londres touristique, à Picadilly, subventionnée par le ministère des Affaires étrangères et partenaire du Consulat Général de France, propose un service d'aide à la recherche d'emploi et de logement (en colocation ou en auberge de jeunesse), ainsi que d'autres services tels que des réunions d'informations pour vous familiariser avec les contrats de travail anglais, le système de santé, le 'national insurance number' ou l'ouverture d'un compte en banque, une aide pour la traduction de vos CV et lettres de motivation, une poste restante pour recevoir votre courrier, vos colis et fax, un accès à des ordinateurs et à une connexion internet… "Les hôtels et restaurants qui recherchent du personnel français passent une annonce d'emploi que nous affichons sur place. Les jeunes adhérents intéressés peuvent ensuite passer un premier entretien avec un consultant du centre qui va évaluer leur niveau d'anglais et vérifier que leur expérience professionnelle correspond bien au profil recherché par l'employeur. Ensuite, soit le jeune contacte directement l'entreprise, soit nous transmettons son CV à l'entreprise. La majorité de nos annonces d'emploi concernent le secteur de l'hôtellerie-restauration et 60 % d'entre elles émanent d'entreprises gérées par des Français", explique Nicolas Metalnikoff, responsable du Centre Charles Péguy.

Bureau emploi-formation du consulat
Même son de cloche du côté du bureau emploi-formation du Consulat Général de France* situé dans le quartier français de Londres. "Nous fonctionnons comme une agence de recrutement, sauf que nous dépendons du consulat de France. En principe, nous recevons uniquement les Français âgés de plus de 25 ans résidant à Londres. Mais compte tenu de la forte demande de main-d'oeuvre qualifiée, nous faisons une exception pour le secteur de l'hôtellerie-restauration, et acceptons de recevoir de jeunes professionnels du secteur (diplôme et/ou expérience) même s'ils ont moins de 25 ans", explique l'une de ses membres, Laurence Parry. Le bureau emploi-formation du consulat de France propose en outre une aide à la rédaction de CV, des conseils d'orientation, une documentation couvrant toutes les questions sur l'emploi (conditions de travail, formation, législation…).
Enfin, une fois à Londres, vous pouvez également vous adresser aux 'jobs center' (l'équivalent de l'ANPE), qui fonctionnent par secteur géographique, et proposent le plus souvent des postes peu ou pas qualifiés. Enfin, rien ne vous empêche de vous présenter spontanément sur place avec un CV. Cette pratique est beaucoup plus répandue qu'en France, tout comme le recours aux cabinets de recrutement spécialisés*.  


Attention au prix des transports : compter 20 livres minimum par semaine en métro, en zone 1 et 2.

Attention au prix des loyers et des transports !
La dernière enquête annuelle mondiale Mercer HRC (Human ressource Consulting) publiée le 20 juin 2005 classait encore Londres comme la ville la plus chère d'Europe (la 3e du monde) pour les expatriés, notamment à cause des prix des loyers et des transports. "Il faut compter en moyenne entre 80 et 90 livres pour une chambre en colocation en zone 2 (N.D.L.R. : équivalent de la première couronne de la banlieue parisienne) sans compter la council tax qui correspond à la taxe d'habitation française, et les charges d'eau et d'électricité. C'est 20 livres minimum par semaine qu'il faut budgéter pour circuler en métro en zone 1 et 2. Quand on sait qu'un serveur gagne en moyenne entre 180 et 200 livres par semaine, on prend vite conscience du niveau de vie élevé, précise Nicolas Metalnikoff. D'autant que le jeune devra souvent avancer une semaine de loyer, plus une caution. Bref, nous lui conseillons de prévoir un petit pécule d'avance pour démarrer et amortir les frais liés à son installation."
Tiphaine Beausseron
zzz99 zzz54

(1) également accessible via www.lhotellerie.com

Avant de partir, renseignez-vous
À la Maison des Français de l'étranger
Pour bien préparer votre départ, nous vous conseillons de bien vous renseigner sur les conséquences sociales (Sécurité sociale, assurance chômage et retraite) et fiscales. Vous trouverez un bon nombre d'informations sur www.lhotellerie.com dans la rubrique 'Emploi à International'. Pour aller plus loin, vous récolterez aussi des informations très complètes sur le site de la Maison des Français de l'étranger* (MFE). Ce service du ministère des Affaires étrangères a pour mission d'informer tous les Français envisageant de partir vivre ou travailler à l'étranger. Il propose un service d'accueil et d'informations et organise régulièrement des consultations individuelles avec des experts en protection sociale, des conseillers fiscaux, et des inspecteurs des douanes. Il édite également un certain nombre de guides pratiques par pays ou des documents plus généralistes mais fort utiles tels que Le livret du Français à l'étranger, Le guide Premiers pas à l'étranger ou encore Le guide du retour en France.

Documents consultables sur www.mfe.org

"Celui qui est compétent progressera sans doute plus vite qu'en France"
Vanessa Bugi
33 ans, responsable de la réception (front of house manager) au Fifty Saint-James
, un luxueux club privé comprenant 2 restaurants, un bar, une boîte de nuit et un casino. Venue à Londres après un an de formation à l'ICI (Institut de conciergerie international), essentiellement pour se perfectionner en anglais, cela fait maintenant 10 ans qu'elle y travaille et s'y plaît. "Les jeunes ne doivent pas venir à Londres avec l'idée que c'est du tout cuit. Il y a ici de réelles opportunités de carrière car celui qui est compétent progressera sans doute plus vite qu'en France. Mais il faut travailler dur sans compter les heures, être patient, rester humble, garder le moral et rester positif." Vanessa a débuté comme 'page girl' (N.D.L.R. : groom) pendant 2 ans au Park Lane Picadilly. Elle décroche son premier poste de concierge en 1997, et évolue progressivement dans cette fonction dans plusieurs grands hôtels de luxe de Londres. Avant d'être embauchée à la réception du Fifty Saint-James en mars 2005, elle était assistant chef concierge au Baglioni Hôtel. Aujourd'hui, en tant front of house manager, elle supervise une équipe de 15 réceptionnistes, et une dizaine de voituriers. Elle travaille 5 jours par semaine, dont 3 jours avec des horaires de nuit.

"Partager un logement avec des jeunes de nationalité différente"
Sandrine Bodin
34 ans, assistant-chef concierge au Bentley Hotel
, un palace anglais de 64 chambres dont 12 suites, attaché à la luxueuse chaîne internationale d'hôtels et resorts Kempinski. "Les Anglais donnent facilement leur chance aux jeunes qui montrent leurs compétences au quotidien, et prouvent par leur travail qu'ils ont envie d'évoluer. Les Anglais sont moins regardants que les Français sur le diplôme, et le nom de l'école. Ils apprécient les 'self made persons'. Les premiers mois ont été très durs, je n'aimais pas du tout la ville. Et puis au bout de 6 mois, il y a eu un déclic, je me suis sentie plus à l'aise dans la langue et dans la culture. Aussi, si j'ai un conseil à donner aux jeunes qui veulent venir travailler à Londres, c'est de ne pas se décourager, de travailler dur et d'y croire. Je leur conseille aussi d'éviter de partager un logement avec d'autres Français. Il vaut mieux le partager avec des jeunes de nationalité différente. Ainsi, l'immersion dans la culture anglaise est plus complète, ils pourront progresser plus rapidement dans la pratique de la langue et dans leur travail." Sandrine Bodin ' a débarqué' à Londres à 21 ans dans le cadre d'un stage à l'étranger imposé par l'Institut de formation et restauration de Rennes où elle suivait une formation de réceptionniste international. Elle découvre le métier de concierge par hasard suite à une opportunité qui se présente à la fin de son stage. Elle occupe d'abord un poste de concierge à l'Hotel Millenium Gloucester, un élégant et luxueux hôtel du centre ouest de Londres. Elle y reste 8 ans, avant d'obtenir un poste d'assistant-chef concierge dans un autre palace anglais. C'est à 32 ans qu'elle intègre le Bentley Hotel lors de son ouverture en novembre 2003.

"Ne pas venir avec des Oeillères et être combatif"
Éric Chatroux
35 ans, chef et propriétaire du restaurant Nathalie
dans le quartier de Chelsea à Londres. "C'est une ville très cosmopolite et déjà cette expérience est enrichissante. Cela ouvre l'esprit. D'ailleurs, les jeunes professionnels français ne doivent pas venir à Londres avec des oeillères ni avec l'idée que les Français sont les meilleurs côté service à table ou gastronomie.
On doit être capable de répondre à la demande de la clientèle qui n'attend pas toujours le plus pur style français. Cela demande aussi un gros effort d'adaptation. Côté carrière, ici on ne compte pas ses heures de travail, et il faut se montrer compétent et combatif. Mais ça paye, et sûrement plus rapidement qu'en France
"…

"Ma carrière a décollé en 2 ans"
Romain Requena

"À Londres, ma carrière a décollé. Je suis passé de sommelier à chef sommelier dans un restaurant 1 étoile Michelin en 2 ans. En France, j'aurais sans doute mis 3 fois plus de temps. Pour le vin, Londres est le centre du monde, j'y ai découvert des vins du monde entier", s'enthousiasme Romain Réquéna, un jeune Languedocien de 25 ans arrivé à Londres il y a 3 ans et aujourd'hui chef sommelier au restaurant Orrery (Groupe T. Conran).

Responsable du Centre Charles Péguy
Nicolas Metalnikoff
"Compte tenu des horaires décalés, les jeunes doivent penser à se loger pas trop loin de leur lieu de travail.
Il y a bien des bus de nuit qui traversent Londres, mais cela est parfois très long, ce qui n'est pas de tout repos car c'est de la fatigue accumulée en plus du travail effectif souvent très physique dans le secteur
."

Du bureau emploi-formation du consulat de France
Laurence Parry

"Un jeune Français peut facilement faire carrière à Londres et plus largement au Royaume-Uni à condition d'être travailleur et de faire preuve de flexibilité et de mobilité. Le marché du travail est très dynamique. Pour preuve, il y a plus de 5 000 agences de recrutement à Londres.

Complément d'article 2939p2

LISTES DES ORGANISMES CITÉS DANS L'ARTICLE

CEI-The French Centre
Devonshire House
164-168 Westminster Bridge Road
London SE1 7RW
Tél. : 004 207 960 26 00 ou n° Azur : 0 810 67 63 70
Fax : 0044 207 960 26 01
info@cei-frenchcentre.com
www.cei-frecnhcentre.com

CEI/Club des 4 Vents
4 rue des Ciseaux
75006 Paris
Tél. :01 43296020
Fax : 01 43 29 12 72
info@cei4vents.com
www.cei4vents.org

Centre Charles Péguy
16 Leceister Square
London WC2H 7NH
Tél. : 0044 207 37 83 39
ccp@cei-frenchcentre.com
www.cei-frenchcentre.com

EEI (Espace Emploi International)
48, boulevard de la Bastille
75012 Paris
Tél. : 01 53 02 25 50
Fax : 01 53 02 25 95
eei.omi@anpe.fr

L’EEI a des antennes reparties sur toute la France. Pour trouver celle qui se situe à proximité de chez vous : www.emploi-international.org

Jobs Center (équivalent britannique de l’ANPE)
www.jobcentreplus.gov.uk

Consulat de France à Londres
21 Cromwell road
Londres SW7 2 EN
Tél. : (0044) 207 07 31 200
Fax : (0044) 207 07 31 201
www.consulfrance-londres.org

Bureau Emploi-Formation du Consulat de France
Basement Cromwell Place
London SW7 2EN
Tél. : (0044) 207 073 12 26
www.emploiformation.org.uk

Ambassade de France
58 Knightsbridge
Londres SW1X - 7 JT
Tél. : (0044) 207 07 31 000
Fax : (0044) 207 07 31 042
www.ambafrance-uk.org

MFE (Maison des Français de l’étranger)
30 – 34 rue La Pérouse
75116 Paris
Tél. : 01 43 17 60 79
Fax : 01 43 17 70 03
www.mfe.org

Exemples non exhaustifs d’agences de recrutement spécialisées en CHR

Le Bon Chef
305 Great Portland Street
W1W 5DD London
Tél. : 0870 777 4563 ou (0044) 207 436 8836
www.lebonchef.com

In Focus
9 Riverside Court
Lower Bristol Road
Barth BA2 3DZ
Tél. : 0044 1225 404050
Fax : 0044 1225 406070
info@in-focus.org
www.in-focus.org

Pour des informartions sur le droit du travail : Department of Trade and Industry (équivalent anglais de notre direction départementale du travail) : www.dti.gov.uk ou encore le site : www.tiger.gov.uk

En cas de litige avec un employeur, vous pouvez vous adresser au Citizens’ Advice Bureau, le plus proche de votre domicile. Ces bureaux fonctionnent avec la participation d’avocats compétents et bénévoles. A partir du moment où vous résidez en Grande-Bretagne, ils peuvent vous donner des informations juridiques précises, voire éventuellement assurer votre défense : www.adviceguide.org.uk

Droit anglais et contrat de travail, le B.A.-BA de ce qu'il faut absolument connaître

Article précédent - Article suivant


Vos questions et vos remarques : Rejoignez le Forum des Blogs des Experts

Rechercher un article

L'Hôtellerie Restauration n° 2939 Hebdo 25 août 2005 Copyright © - REPRODUCTION INTERDITE

L'Application du journal L'Hôtellerie Restauration
Articles les plus lus...
 1.
 2.
 3.
 4.
 5.
Le journal L'Hôtellerie Restauration

Le magazine L'Hôtellerie Restauration