Fils de restaurateur, Mathieu Soulergues s'est installé il y a deux
ans à Lyon pour ouvrir le Bistrot des fauves dans le VIIe arrondissement.
L'affaire étant bien installée, le gérant a saisi l'opportunité de la vente d'un
commerce situé à proximité pour ouvrir un second établissement, Le Bouillon paradis, avec pour
associé Louis Perrenoud, l'un
de ses salariés. "J'ai souhaité créer un
lieu qui me correspond, c'est-à-dire un site multiculturel, ouvert à tous, où l'on
peut se rencontrer, échanger dans une ambiance conviviale et décontractée. Un
vrai bistrot de quartier, ouvert 7 j/7", explique Mathieu Soulergues.
Pour créer cet univers chaleureux, il s'est tout d'abord inspiré des cafés
éphémères et très populaires installés dans les docks de São Paolo, ville où il
a vécu quelques années. D'où un cadre coloré aménagé avec du mobilier récupéré
et chiné. Des animations et soirées thématiques (piano bar, ateliers d'écriture...)
devraient également être programmées pour animer le lieu.
Rillettes et boudins maison
Côté cuisine, le bistrot propose une cuisine traditionnelle préparée avec des produits essentiellement régionaux ou issus de petits producteurs, avec des formules à 11 et 13 €. En soirée, place aux apéritifs dînatoires avec planches de charcuterie, de fromage, légumes... Des brunchs seront également bientôt servis les week-ends. "L'idée c'est de proposer une restauration simple mais vraiment faite maison. Voilà pourquoi, en plus du chef qui a travaillé notamment chez Guy Savoy à Paris, on a embauché un artisan-charcutier pour préparer rillettes, terrines, boudins... Prochainement, on va installer une cave à fumer et à sécher pour stocker nos jambons et nos saucissons. L'objectif étant de tout produire sur place", assure Mathieu Soulergues. Côté boissons, là encore, l'authenticité est de mise avec des bières artisanales et régionales et des vins notamment naturels et bio.
Rillettes et boudins maison
Côté cuisine, le bistrot propose une cuisine traditionnelle préparée avec des produits essentiellement régionaux ou issus de petits producteurs, avec des formules à 11 et 13 €. En soirée, place aux apéritifs dînatoires avec planches de charcuterie, de fromage, légumes... Des brunchs seront également bientôt servis les week-ends. "L'idée c'est de proposer une restauration simple mais vraiment faite maison. Voilà pourquoi, en plus du chef qui a travaillé notamment chez Guy Savoy à Paris, on a embauché un artisan-charcutier pour préparer rillettes, terrines, boudins... Prochainement, on va installer une cave à fumer et à sécher pour stocker nos jambons et nos saucissons. L'objectif étant de tout produire sur place", assure Mathieu Soulergues. Côté boissons, là encore, l'authenticité est de mise avec des bières artisanales et régionales et des vins notamment naturels et bio.
Publié par Stéphanie Pioud
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