Dans un quartier de Rennes truffé de petits commerces
que l'on appelle le village, le Balthazar se démarque dans le paysage hôtelier local.
Non seulement par sa classification - premier et seul 5 étoiles de la
ville -, mais surtout par sa décoration contemporaine soignée, réalisée
par la propriétaire, Céline Meslin. Cette dernière possède également
avec son mari, Sébastien, Le Nemours et le Campanile gare. Ouvert en
juin 2014, l'établissement, créé de toute pièce et affilié MGallery, occupe l'emplacement
de l'ancien hôtel d'Angleterre, racheté en 2008 par les propriétaires, ainsi qu'un
autre immeuble mitoyen acquis en 2012. Derrière la façade de granit gris
typiquement bretonne, tout a été entièrement reconfiguré. Dans le lobby, point
central de l'hôtel, une grande bibliothèque réalisée sur mesure habille le bloc
ascenseur-escalier. À la croisée des deux bâtiments, l'espace s'ouvre sur un
patio, véritable atout charme de l'établissement, créant à la fois un puits de
lumière et une oasis de verdure.
Un esprit maison particulière
Partout, la décoration mêle luxe et simplicité, grâce à un mix de matériaux bruts et industriels (ferronnerie, briques rouges, parquet en chêne brut massif, sol en pierre bleue de Hénault…) et d'objets choisis individuellement (canapés moelleux, grands tapis de laine, bougies, vieux livres…). Un même esprit règne dans toutes les chambres, raffinées et épurées, mêmes si elles ne sont pas en tous points identiques (verrières pour séparer les salles de bains, petit faible pour la couleur anthracite, murs de papier peint, mobilier et objets de designers…).
Doté d'un spa Nuxe, d'un restaurant (La Table du Balthazar) dont la carte est supervisée par la Maison Rostang et d'un bar-salon de thé, le Balthazar a su conquérir la clientèle locale, qui représente 80 % de la fréquentation sur ces trois activités.
Un esprit maison particulière
Partout, la décoration mêle luxe et simplicité, grâce à un mix de matériaux bruts et industriels (ferronnerie, briques rouges, parquet en chêne brut massif, sol en pierre bleue de Hénault…) et d'objets choisis individuellement (canapés moelleux, grands tapis de laine, bougies, vieux livres…). Un même esprit règne dans toutes les chambres, raffinées et épurées, mêmes si elles ne sont pas en tous points identiques (verrières pour séparer les salles de bains, petit faible pour la couleur anthracite, murs de papier peint, mobilier et objets de designers…).
Doté d'un spa Nuxe, d'un restaurant (La Table du Balthazar) dont la carte est supervisée par la Maison Rostang et d'un bar-salon de thé, le Balthazar a su conquérir la clientèle locale, qui représente 80 % de la fréquentation sur ces trois activités.
Publié par Julie GERBET
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