Lancement le 15 avril des 1ères Assises de la restauration commerciale

Paris L'Umih organise le lundi 15 avril les Assises de la restauration commerciale sous la bannière '1001 recettes pour se réinventer' à l'Espace du Centenaire, à Paris. Hubert Jan, président d'Umih Restauration, nous explique les objectifs de cette journée de travaux.

Publié le 09 avril 2019 à 09:25

Il y a eu dans le passé les Etats généraux de la restauration, et d’autres événements de cet ordre. Qu’allez-vous mettre de plus dans ces Assises de la restauration et pour aboutir à quoi ?

Cela fait 10 ans que rien n’a été fait dans la restauration depuis « le contrat d’avenir ».  Nous avons pris l’initiative, il y a un an maintenant, d’inviter toute les formes de restauration (service à table) à nous rejoindre pour mettre en commun nos problématiques et faire un point d’étape sur notre métier afin d’ouvrir des chantiers et nous retrouver régulièrement (think-tank) avec des personnes référentes. Les chantiers ouverts portent sur le social, la formation, le numérique, le développement durable et le réglementaire.

L’état des lieux n’est-il pas déjà connu ?

Pour beaucoup de professionnels certainement mais la journée va plus loin qu’un état des lieux. Elle a comme sous-titre « 1001 recettes pour se réinventer » et c’est bien l’objectif de nos tables rondes, mettre en place des solutions afin de résoudre les problématiques que notre métier peut rencontrer comme le recrutement sur l’ensemble du territoire ou rendre le secteur plus attractif auprès de tous, fidéliser nos équipes, etc. 

Certes, vos propositions vont s’adresser aux élus, pouvoirs publics et autres institutionnels. Mais quelles sont vos marges de manœuvre ? Qu’attendent les professionnels de la restauration à court terme aujourd’hui ? 

Nous espérons que les propositions portées pendant la journée viendront se concrétiser dans la loi. Notre confédération est en contact quasi quotidien avec les pouvoirs publics pour porter nos messages. Ce que nous entendons dans les territoires, par exemple, c’est la nécessité de sécuriser la fiscalité et simplifier les réglementations administratives qui incombent aux restaurateurs en supprimant les contraintes inutiles. Nous n’en pouvons plus du faux discours sur la TVA restauration qui est perçu encore comme un avantage fiscal, c’est totalement faux.  Enfin, nous devons adapter nos métiers avec les innovations digitales aux entreprises sans pour autant défaillir aux exigences de notre profession (fondamentaux cuisine et service) et nous allons étendre les démarches vertueuses sur lesquelles nous sommes engagés depuis plus de 5 ans en matière environnementale (achats, qualité, saisonnalité).


Publié par Sylvie SOUBES



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