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Question métaphysique Devrions-nous
continuer à chercher des solutions au problème des horaires d'ouverture et de fermeture
des établissements quand il serait si simple de laisser la liberté du commerce agir.
Explications.
Quoi de plus banal qu'un changement de préfet, voire de directeur de la
réglementation, pour bousiller d'une plume grincheuse ou bornée des mois, des années de
travail à instaurer une charte qui mettait -presque- tout le monde d'accord (y compris
les pouvoirs publics !). Quoi de plus banal qu'un discothécaire excédé par le
développement de bars d'ambiance qui mordent de plus en plus sur son créneau
professionnel en fermant leurs portes à deux ou trois heures du matin. Quoi de plus banal
qu'un établissement qui cherche à étendre ses horaires d'ouverture pour compenser les
baisses de rentabilité, les augmentations de charges. Quoi de plus banal aussi qu'une
descente de gendarmerie dans un bistrot un quart d'heure après la fermeture autorisée
(P.V. inclus). Quoi de plus banal enfin qu'un concert de portières qui claquent et de
pots d'échappement qui grondent déchirant la nuit, parce que toutes les boîtes de nuit
d'un même secteur baissent le rideau au même moment...