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L'événement

Congrès de la confédération à Clermont-Ferrand

Quand on sait donner la parole aux adhérents

Les membres de la Confédération française des hôteliers, restaurateurs, cafetiers et discothèques n'ont pas mâché leurs mots quand les présidents nationaux ont abordé les nuisances sonores, la Sacem, la reconnaissance professionnelle. Les sujets ont été abordés sans hypocrisie et c'est ce qu'il faudra retenir sans doute du XXVIIIe congrès de la CFHRCD.

Si le programme des accompagnants prévoyait une excursion dans le Parc naturel des Volcans, un moment privilégié à la découverte de l'un des plus beaux sites de tourisme vert en Europe, pas question, pour les congressistes, de savourer les plaisirs de l'Auvergne. Clermont-Ferrand devait, pour les membres de la Confédération française des hôteliers, restaurateurs, cafetiers et discothèques, apporter des idées, franchir des étapes, tracer de nouvelles voies et surtout redonner espoir à des professionnels las d'être la proie -facile- de l'Etat et de l'administration. L'événement a-t-il été à la hauteur des ambitions que s'était fixées Roland Magne, qui organisait ici son premier congrès en tant que président ? C'est sans doute dans l'atmosphère, voire le ton qui a régné pendant ces deux jours de travaux qu'il faut puiser la réponse. Selon un rituel établi, les différents groupements qui composent l'organisation syndicale allaient, dans un premier temps, se réunir sous forme d'ateliers. La démarche qualité était à l'ordre du jour des hôteliers tandis que les saisonniers s'inquiètaient fortement des tarifications de la Sacem. Chez les cafetiers, Jean-Marc Le Carour, président du Syndicat départemental du Morbihan, allait, quant à lui, défendre le principe d'un «permis de licence». Un projet soulevé depuis plusieurs années par le bouillant Breton mais qui n'avait jamais été abordé à l'échelon national. Ce «permis de licence» serait une sorte de certification obtenue après une formation de quelques jours et destinée à toute nouvelle personne voulant prendre la direction d'un établissement nécessitant une licence IV et III principalement. L'aspect le plus intéressant de ce «certificat» concerne les rapports avec les fournisseurs et les pouvoirs publics qui seraient largement étudiés au cours du stage. Pour Jean-Marc Le Carour, celui-ci serait «comparable au stage «tabac» ou encore à celui demandé par les banques aux paysans qui veulent s'installer». Le but n'étant pas de pénaliser les nouveaux acquéreurs mais de donner aux futurs professionnels les moyens de bien gérer leur entreprise. «Ce type de permis pour les cafés, ajoute Guy Blanchard, président national des cafés, existe déjà en Suisse et il viendrait intelligemment compléter le CAP cafés-brasserie». Celui-ci a souhaité qu'une réflexion collective puisse avoir lieu rapidement. Dans ce sens, une commission a été créée à l'issue de la réunion.

Quant aux discothèques et aux restaurateurs, dont l'essentiel des débats portait respectivement sur la reconnaissance professionnelle et la défense de la restauration traditionnelle et artisanale, leurs propos allaient être soutenus en séance plénière le lendemain
en présence, notamment, du conseiller technique auprès du secrétariat d'Etat au Tourisme, Monsieur Radelet.

De l'euro à Internet

Parce que Roland Magne veut débattre d'actualité, et seulement d'actualité, le congrès de Clermont-Ferrand allait aussi interpeller les congressistes sur deux sujets incontournables : l'euro et Internet. L'intervention concernant le changement de monnaie a soulevé un large éventail de questions : doit-on ou non habituer dès à présent le consommateur à la conversion, en affichant par exemple, d'ores et déjà les prix sous les deux formes ou bien comment la conversion se traduira-t-elle sur les fiches de paye ? En ce qui concerne les nouveaux réseaux de communication déployés par Internet (intervention animée par votre journal L'Hôtellerie), une bonne nouvelle au regard de la salle : les professionnels se révèlent majoritairement demandeurs et conscients de l'importance que va revêtir Internet.

Vache à lait de l'Etat

Mardi 31 mars, il fait beau en Auvergne mais les membres de la Confédération, après une courte nuit qui les avait retenus au Phylias, la discothèque la plus sympathique du cru, ont affiché clairement leur mécontentement à propos des tarifs de la Sacem face au directeur local de la Sacem, Monsieur Cretin, et des problèmes liés au bruit. Sur la Sacem, rien de vraiment bien neuf sinon l'injustice ressentie par les professionnels et le sentiment, compréhensible, d'être la vache à lait de l'Etat. Encore et toujours. Pour le président national des discothèques, Monsieur Treuillard, discothécaire en Charente, la seule avancée se situe dans le fait que tous les professionnels, y compris les hôteliers, pour la première fois, sont réunis pour parler ensemble du dossier. «La Sacem, pour nous, est un fournisseur de musique», a-t-il déclaré. Les taux appliqués, même s'ils ont baissé, sont encore trop élevés et notamment quand on y ajoute les droits voisins. Dans la salle, le ton monte : «rendons les postes de télévision, faisons-le tous et après on verra ce que cela donnera». La Sacem «c'est du racket et c'est nos consommateurs qui vont en pâtir si on augmente encore les taxes». «Est-ce normal, quand on rajoute à notre installation un simple disque laser d'être taxés en plus ?»...

Le bon exemple nantais

Aujourd'hui, autre préoccupation : le bruit. Un peu partout en France, les «fermetures administratives» se multiplient à la suite de plaintes pour tapage nocturne et nuisances sonores. Touche positive dans cet épineux dossier, marqué dans pas mal de cas au sceau de l'intolérance, l'exemple nantais. Pour en donner les grandes lignes, l'adjoint au maire, chargé du dossier, s'est déplacé à Clermont-Ferrand.

A Nantes, donc, dont les horaires d'ouverture et de fermeture dépendent de la municipalité et en concertation avec les professionnels dont M. Effling (président national des saisonniers), a été instaurée une commission qui regroupe l'ensemble des parties prenantes et qui examine à raison d'une concertation mensuelle toutes les plaintes des riverains. Résultat : en 1997, seulement 8 plaintes sur les 69 enregistrées ont abouti à des sanctions. «Notre exemple a le mérite d'objectiver l'ensemble du problème et nous permet de trouver un équilibre entre l'animation de la ville et les nuisances nocturnes», a conclu le représentant de la municipalité nantaise. On serait tenté de dire : un exemple à suivre, mais, malheureusement toutes les municipalités n'ont pas la même démarche. Et la réglementation des horaires n'est pas systématiquement sous la coupe du maire.

Dernier grand dossier ouvert à l'occasion du congrès et cher au président de la Confédération : la reconnaissance de la profession de restaurateurs. Outre Monsieur Radelet, MM. Mischler, Fournier et Jond avaient répondu à l'invitation de Roland Magne et de Claude Izard, président national des restaurateurs. Le sujet peut-il aboutir ? Monsieur Radelet, qui dévoilait là les tendances du rapport d'inspection gouvernemental dont il est l'auteur et qui est désormais finalisé, a insisté sur deux aspects du secteur et qui freine le dossier «Dans notre pays, nous avons une myriade de restaurateurs et nous sommes dans l'incapacité partielle de les identifier. On ne peut pas protéger le terme restaurant, qui est un terme générique», a-t-il déclaré. «D'autre part, les pouvoirs publics n'ont pas vraiment senti une convergence de la part des professionnels concernés». A méditer.

S. Soubes

Les principaux extraits du discours de Roland Magne

- De la grande ville au plus petit village, le café, l'hôtel, le restaurant et la discothèques sont des lieux de vie conviviaux. Ils sont nécessaires et indispensables au maintien de la cohésion sociale.

- La cuisine est l'un des secteurs d'activité sans aucun doute le plus important de notre pays, elle contribue à diffuser à travers le monde l'art de vivre à la française. Il est grand temps de sauvegarder le métier de restaurateur aujourd'hui en perte d'identité, et par ailleurs en péril.

- Cessons de remettre chaque jour en question les ouvertures et fermetures de discothèques. Une fois de plus, nous regrettons de devoir demander aux préfets plus de dialogue avant la prise des décisions de fermetures administratives.

- Aussi paradoxale que cela puisse paraître, nos ministres successifs vantent les mérites du tourisme en France, son poids économique (667 milliards de francs), nous place au second rang juste après les Etats-Unis et nous situe au quatrième rang des employeurs français avec près de 750.000 salariés. Le chômage ne se règle pas à coups de lois, de décrets, d'arrêtés, ou de quelques textes administratifs, mais par le consensus et l'expansion.




Le coup de force de Jacques Jond

Depuis 30 ans maintenant à la présidence de la FAGIHT, Jacques Jond est un négociateur aguerri qui pratique peu souvent la langue de bois... A Clermont-Ferrand, il profita de la présence des conseillers techniques du ministère pour lancer un ultimatum : «En signant la convention collective, nous avons posé comme condition sine qua non la réduction des charges sur les avantages en nature nourriture ; les ministères qui s'y étaient engagés, n'ont à ce jour toujours pas publié le décret d'application. Si, dans un délai de deux mois à compter d'aujourd'hui, le décret n'est pas sorti, la FAGIHT et la CFHRCD, dénonceront immédiatement la convention collective». Le message fut parfaitement compris et les enjeux particulièrement bien mesurés par les conseillers techniques présents. Le lendemain, on faisait savoir au président de la FAGIHT que les politiques choisissaient de ne pas attendre l'autorisation de Bruxelles pour publier le décret qui est paru au J.O. du vendredi 3 avril ! Le coup de force de Jacques Jond aura servi à l'ensemble des professionnels !



La réduction de cotisations sur les avantages en nature

Contrairement à l'Arlésienne qu'on n'attend plus, le décret de réduction de cotisations patronales sur l'avantage en nature de nourriture vient d'être enfin publié au Journal Officiel du 3 avril 1998.

En application de l'article 116 de la loi de Finances pour 1998, ce décret a institué une mesure spécifique de réduction des cotisations patronales de Sécurité sociale sur l'avantage en nature nourriture dont bénéficie le personnel des hôtels-cafés-restaurants.

Peuvent bénéficier de cette réduction spécifique, les employeurs de personnel des hôtels, cafés et restaurants.

Le montant de la réduction est déterminé à chaque versement de la rémunération. Il est égal au produit d'un montant forfaitaire fixé à 1,28 F par le nombre de repas soumis à cotisation de Sécurité sociale au titre de l'avantage en nature, ou en cas de versement de l'indemnité compensatrice, par le nombre de repas correspondant à cette indemnité.

Pour un salarié qui travaille 5,5 jours par semaine, il bénéficie de 48 repas, ce qui donne droit à l'employeur à une réduction de cotisations de 61,44 francs par mois.

Pour un salarié qui travaille 5 jours par semaine, il bénéficie de 44 repas par mois ce qui donne droit à l'employeur à une réduction de cotisations de 56,32 francs par mois.

L'employeur doit tenir à la disposition des agents de contrôle un document justificatif du montant des réductions qu'il a appliquées indiquant, par établissement, par mois civil, le nombre de salariés concernés et le montant total des réductions appliquées ainsi que, pour chaque salarié, son identité, le montant de la rémunération versée, le nombre de repas fournis ou correspondant à l'indemnité compensatrice versée et le montant de la réduction appliquée.

Cette réduction de cotisations sociales est applicable un jour franc à compter de la publication du décret au Journal Officiel, c'est-à-dire depuis le 5 avril.

Décret n°98-241 du 2 avril 1998, J.O. du 3 avril 1998 p. 5155




Les groupements hôteliers à l'écoute de la base

Pas question de museler la salle cette année à la CFHRCD. L'heure était à la liberté d'expression notamment pour ce qui est des branches hôtelières. Cela n'a pas empêché d'aborder sérieusement les sujets graves de la profession.

Si aujourd'hui un grand nombre d'élus de syndicats professionnels imposent leur façon de penser à la base, ce ne fut pas du tout le cas lors du XXVIIIème congrès de la CFHRCD notamment au sein des groupements hôteliers. Qu'il s'agisse de François Effling, président des saisonniers, ou bien encore de Jacky Fréale, président des hôteliers, les deux hommes ont en effet joué cartes sur table avec leurs adhérents. Une attitude d'autant plus courageuse que bien souvent cette porte ouverte à la liberté d'expression ne débouche pas toujours sur des dénouements très heureux.

Qu'à cela ne tienne ! Les deux représentants de la CFHRCD ont tout fait pour tenir parole. Résultat : des sujets importants ont été abordés et chacun a pu donner son point de vue quant aux éventuelles solutions pouvant remédier à ces derniers. C'est ainsi que les saisonniers ont par exemple soulevé l'épineux problème de la tarification Sacem eu égard au fonctionnement spécifique de leurs entreprises respectives. La salle n'a d'ailleurs pas mâché ses mots à ce propos. Tandis que François Effling exposait les propositions du syndicat (à savoir prendre la crête maximum d'estivants 2 mois à 100% ; baser les calculs sur le nombre d'habitants habituel ; établir un tarif par tranche et ventiler celui-ci en fonction des emplacements stratégiques de la fréquentation), plusieurs patrons de départements ont manifesté leur mécontentement.

«Agissons comme les motards»

«Il y a en vraiment marre ! On nous en demande trop. Sachant que le racket est interdit en France, nous devrions tout simplement ne pas payer ce que nous réclame la Sacem», lançait d'un ton désespéré un participant. Et un autre d'ajouter concernant la mise en place d'une redevance Sacem sur les chambres d'hôtel : «Agissons comme les motards ! Ils sont parvenus à éviter la vignette, alors ne réglons pas la Sacem.» Reste que les interventions n'ont pas été limitées à des prises de position fermes et définitives.

Le groupement des hôteliers s'est également interrogé quant à la mise en place d'une démarche qualité efficace pour leur activité propre évoquant les différentes possibilités de réaliser cette dernière (audit qualité «visible» sous forme de visite mystère ; audit qualité «invisible» par le biais d'une analyse du fonctionnement interne de l'entreprise). Devant l'exigence croissante du consommateur, devenu au cours de ces dernières années à la fois connaisseur et sélectif, chacun a en fait admis la nécessité impérative de la qualité dans le choix du client. D'ailleurs, il est à noter que depuis 1990 et selon une tendance à la hausse, 54 Chambres de commerce et d'industrie se sont mobilisées sur la notion de qualité dans les entreprises de tourisme. Trente-huit opérations ont été menées et 1.300 sociétés se sont engagées sur cette voie. 65% de ces démarches qualité ont en outre été effectuées dans l'hôtellerie.

La CFHRCD s'est aussi durant son dernier congrès largement penchée sur ce qu'est une norme en abordant la certification Iso 9000 et Iso 9001.

C.C.


La Sacem a-t-elle tous les droits en matière de taxation ? Le directeur régional a seulement rappelé que la gestion de la Sacem était sous haut contrôle...Ici aux côtés de MM. Effling et Fréale.




Poisson d'avril ?

Roland Magne avait invité «la profession» pour aborder les problèmes de la restauration dans le cadre d'une table ronde organisée mardi 31 mars, au matin. Etaient, entre autres, invités, Fernand Mischler, président des Maîtres Cuisiniers, Bernard Fournier, président Eurotoques, Jacques Jond, président de la FAGIHT et André Daguin, président de la FNIH. Ce dernier fut le seul absent des débats du matin, mais, à la grande surprise de tous ceux qui ne l'attendaient plus, il arriva vers 16 h au moment des discours de clôture. De toute évidence très pressé, il avait dû prendre un avion taxi pour être à Clermont-Ferrand cet après-midi là, il demanda la parole pour proposer à une salle médusée la création d'un syndicat commun entre FNIH et CFHRCD «pour remplacer nos deux structures : elles ont fait leur temps» et d'expliquer que d'ici le 15 avril, une équipe de travail devait être mise en place pour qu'avant l'été «nous puissions fêter ça avec ce qu'il faudra de champagne». Puis il s'en retourna à l'aéroport, très pressé, sans attendre la réponse des responsables de la CFHRCD tout de même très concernés par la proposition même s'ils n'en avaient pas été informés avant...

Jacques Jond, président de la FAGIHT, prit alors la parole «il est tout à fait dommage que M. Daguin soit parti sans attendre la réponse à sa proposition mais son attitude n'a rien de surprenant : il est parti car il ne souhaite pas de réponse. Si sur l'idée qu'il met en avant (l'union fait la force), nous ne pouvons qu'être d'accord avec lui, nous avons malheureusement trop de mauvaises expériences en la matière pour le croire : il y a les mots, l'esprit mais le plus important est l'efficacité. Si M. Daguin souhaite une union, de nombreux sujets peuvent être défendus en commun, il aurait pu s'associer à notre action contre VVF pour lutter contre le paracommercialisme mais là, il répond aux abonnés absents. Les responsables syndicaux doivent avoir le respect des autres et la volonté de se battre pour une cause pas pour obtenir des sièges ! Monsieur Daguin vient ici lancer une OPA, il perd son temps : ça n'intéresse personne

Quant à Roland Magne, le président de la CFHRCD, il voulut aborder la démarche avec sagesse, humour et philosophie pour mieux atténuer «l'attitude pour le moins cavalière de quelqu'un que vous invitez pour débattre de la restauration, qui fait faux bond et qui vient lancer une OPA sur la Confédération.»

Une situation qui ne fut pas non plus du goût des congressistes sachant que le président de la FNIH annonçait de son propre chef comme acquis un rapprochement qui n'est absolument pas à l'ordre du jour. «Allez, conclut Roland Magne, avec un jour d'avance, nous avons eu droit au poisson d'avril d'André Daguin...»


Jean-Michel Lavrilleux, secrétaire général de la CFHRCD, Roland Magne et M. Chouamier, président du syndicat de la Côte d'Emeraude.


Les discothèques sont-elles dans le collimateur du gouvernement dans le dossier du bruit ? Un représentant des pouvoirs publics, Monsieur Ciattoni, était présent à Clermont-Ferrand. Mais pour Monsieur Treuillard, assis à ses côtés sur la photo, le sujet va toujours au détriment des discothèques.


Les restaurateurs qui respectent le client et les produits qu'ils travaillent pourront-ils parvenir à obtenir la reconnaissance professionnelle ? Pour en discuter, de gauche à droite, MM. Ryngel, Fournier, Izard, Radelet, magne et Mischler et J. Jond.


Claude Izard et M. Giraud, président départemental de la Sarthe, ont débattu en ateliers des problèmes de la reconnaissance professionnelle des restaurateurs.


Jean-Marc Le Carour est venu défendre le principe d'un «permis de licence».


A l'occasion de l'atelier cafés, le président national des cafetiers, Guy Blanchard, a aussi évoqué la Coupe du Monde et notamment le lancement d'une opération lancée par la chambre de l'Industrie hôtelière d'Indre-et-Loire intitulée «Bistrots en Foot» dont nous vous donnerons prochainement tous les détails. Judicieux.


Un moment de détente pour les responsables nationaux, quand l'ancien ministre de tutelle, Bernard Pons, est venu salué les professionnels.



L'HÔTELLERIE n° 2556 Hebdo 9 Avril 1998

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