Au mois de
février, les chiffres d'affaires hébergement (RevPAR) sont en progression sur
toutes les catégories, à l'exception de l'hôtellerie de luxe, au sein de l'hôtellerie
française d'après le baromètre Deloitte-In Extenso. La croissance des RevPAR se
maintient depuis le début de l'année : les progressions s'étendent de 4 %
sur l'hôtellerie d'entrée de gamme à 7 % sur le milieu de gamme.
En région parisienne, les performances hôtelières (taux d'occupation et prix moyen par chambre louée) sont en progression. Les chiffres d'affaires hébergement (RevPAR) sont en croissance de 9 % pour l'hôtellerie milieu de gamme à 19 % pour l'économique. Les RevPAR progressent en Île-de-France (hors Paris). À fin février, les chiffres d'affaires hébergement augmentent dans toutes les catégories. En revanche, le marché haut de gamme parisien enregistre un repli d'occupation (- 2 % pour les boutique-hôtels). Sur les deux premiers mois de l'année, tous les indicateurs sont dans le vert en Île-de-France. Les chiffres d'affaires hébergement progressent de 7 % à 9 % (hors Paris) selon les catégories. Dans la capitale, les RevPAR augmentent de 3 % sur le haut de gamme à environ 11 % et 12 % sur les autres segments.
De bonnes performances en région
Les chiffres d'affaires hébergement en régions sont en hausse sur toutes les catégories, allant de 1 % sur l'hôtellerie haut de gamme à 6 % sur l'économique. L'hôtellerie de luxe enregistre une très légère baisse de 1 % de taux d'occupation en février et le segment haut de gamme, un recul d'environ 1 % de prix moyen par chambre louée. Quant à l'hôtellerie super-économique, le taux d'occupation est en retrait de presque 2 %. En ce début d'année et en données cumulées, les RevPAR sont en croissance sur tous les segments, excepté l'hôtellerie haut de gamme (- 2 % de RevPAR). Les hôtels haut de gamme en régions voient leur taux d'occupation et leur prix moyen en baisse en comparaison avec 2017. Certaines grandes métropoles telles que Strasbourg, Nantes et Montpellier commencent bien l'année en enregistrant de fortes croissances.
Sur la Côte d'Azur, on observe une forte baisse des chiffres d'affaires hébergement sur l'hôtellerie de luxe (- 17 %) et un RevPAR qui se stabilise sur la catégorie super-économique, contre une progression sur les autres segments. Les indicateurs sont globalement en retrait sur le marché cannois et en hausse sur l'hôtellerie niçoise. À la fin février, les RevPAR sont en croissance sur l'ensemble des catégories.
Deloitte InExtenso
En région parisienne, les performances hôtelières (taux d'occupation et prix moyen par chambre louée) sont en progression. Les chiffres d'affaires hébergement (RevPAR) sont en croissance de 9 % pour l'hôtellerie milieu de gamme à 19 % pour l'économique. Les RevPAR progressent en Île-de-France (hors Paris). À fin février, les chiffres d'affaires hébergement augmentent dans toutes les catégories. En revanche, le marché haut de gamme parisien enregistre un repli d'occupation (- 2 % pour les boutique-hôtels). Sur les deux premiers mois de l'année, tous les indicateurs sont dans le vert en Île-de-France. Les chiffres d'affaires hébergement progressent de 7 % à 9 % (hors Paris) selon les catégories. Dans la capitale, les RevPAR augmentent de 3 % sur le haut de gamme à environ 11 % et 12 % sur les autres segments.
De bonnes performances en région
Les chiffres d'affaires hébergement en régions sont en hausse sur toutes les catégories, allant de 1 % sur l'hôtellerie haut de gamme à 6 % sur l'économique. L'hôtellerie de luxe enregistre une très légère baisse de 1 % de taux d'occupation en février et le segment haut de gamme, un recul d'environ 1 % de prix moyen par chambre louée. Quant à l'hôtellerie super-économique, le taux d'occupation est en retrait de presque 2 %. En ce début d'année et en données cumulées, les RevPAR sont en croissance sur tous les segments, excepté l'hôtellerie haut de gamme (- 2 % de RevPAR). Les hôtels haut de gamme en régions voient leur taux d'occupation et leur prix moyen en baisse en comparaison avec 2017. Certaines grandes métropoles telles que Strasbourg, Nantes et Montpellier commencent bien l'année en enregistrant de fortes croissances.
Sur la Côte d'Azur, on observe une forte baisse des chiffres d'affaires hébergement sur l'hôtellerie de luxe (- 17 %) et un RevPAR qui se stabilise sur la catégorie super-économique, contre une progression sur les autres segments. Les indicateurs sont globalement en retrait sur le marché cannois et en hausse sur l'hôtellerie niçoise. À la fin février, les RevPAR sont en croissance sur l'ensemble des catégories.
Deloitte InExtenso
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