qui fait quoi

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patron du resto

jeudi 9 novembre 2006

Patron d'un resto, 60 cts le midi, cientèle Affaire, je me demande régulièrement si je dois rester le seul à prendre les commandes à table, p c q je connais bien mes produits. Ou si je dois impliquer mes serveurs ? Mais je les trouve peu impliqué sur ce sujet.

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André PICCA

dimanche 12 novembre 2006

à chacun son job
Vous avez observé le débat rapide qui a suivi votre question. Intéressant et quelquefois enflammé.
Il me semble que vous pourriez changer votre organisation :
- A clientèle Affaires, je suppose le midi, clientèle disposant de peu de temps, donc service efficace : le patron ne peut pas tout faire
- vous avez des serveurs : dans tout bon dictionnaire, le mot "servir" est aussi défini comme un acte de vente : un serveur est naturellement vendeur
- vous dites que vos collaborateurs sont frileux pourr prendre les commandes : expliquez leur bien vos produits, faites tous les jours un briefing formateur pour les encourager à progresser. En prenant eux mêmes les commandes, ils seront responsabilisés envers le client, et il est plus facile de suivre une table quand le serveur a su établir un bon 1er contact où il a pu repérer à qui il a à faire.
Le rôle de serveur est d'assurer l'intégralité du service, votre rôle de patron, tou comme celui d'un responsable de salle salarié est de coordonner le service, d'avoir une vue d'ensemble et d'intervenir dans les coups de feu là où c'est nécessaire : à l'accueil, dans certains rangs, à l'envoi.
Comment voulez vous coordonner votre service, avoir l'oeil sur l'ensemble autrement ?
Sur les remarques enflammées plus bas :
- les gaulois, gentil qualificatif de la clientèle française, sont des clients comme les autres, qui méritent des égards au même titre que les autres clientèles, fussent-elles plus aisées et capables de laisser des pourboires. C'est vrai que les serveurs qui bénéficient de pourboires sont aujourd'hui des privilégiés, et peu répandus ; d'ailleurs, ils savent garder leur place.
- les pourboires : pourquoi les clients ont perdus l'habitude de laisser des pourboires ? Comparons les niveaux de vie de la 2e partie du siècle dernier à ceux d'aujourd'hui ; questionnons nos clients "que payent-ils en sortant du restaurant ?" depuis 20 ans, la littérature professionnelle ne cesse d'asséner le terme "Service Compris", "Sourire compris", et j'ajoute "convivialité comprise" ; n'est-ce pas normal ainsi ? - Les clients n'ont-ils pas évolué dans la manière de faire leur choix de restaurant ? et des exigences correspondant à votre type de restauration ne sont-elles pas normales et un dû ?
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Albert

samedi 11 novembre 2006

Mon cher PMP
Votre pseudo "PMP" ça veut dire "Payé Mal aux Pourboires"?
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PMP 132

samedi 11 novembre 2006

IRONIE SANS ECLAT
Vous ne nous avez toujours pas dit de ce que vous faite de vos pourboires pour ainsi ne plus en vouloir enfin ici sur ce blog mais par derrière je suis sur que vous aimez ne pas devoir d'impôt dessus Votre hupour ne vaut pas un clou puisuqe un pouboire n'est pas un salaire donc on ne peut pas parler de paye!!! mais PMP c'est plutôt PATRON MAGNANIME AVEC SON PERSONNEL
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tikiroa

samedi 11 novembre 2006

15 % ???
C'est bien ce que je pensais : la rémunération au pourcentage n'a vraiment plus la côte surtout pour ceux qui doivent rendre (payer) au personnel en service (celui qui VEND et aussi celui qui subit en première ligne les critiques des clients....) le montant proportionnel de ce qu'il vient de vendre !
Facile de se rabattre sur le bon vieux pourboire qui, pense-ton bien hypocritement d'un certain côté (celui du pov' patron qui a du mal à boucler ses fins de mois, c'est plus ce que c'était ma bonne dame !) est une plus value non négligeable pour le personnel.

Prenez directement dans la poche du client, et non pas dans ma Porche !!!
Ha ha ha !
Un peu de courage, n'ayez pas peur de payer votre personnel au pourcentage, il saura au moins pourquoi il est là, pourquoi il vend et aussi pourquoi il part..... si vraiment c'est un fainéant (pour faire plaisir aux bons vieux qui pensent que tous les jeunes ne sont plus capable de travailler : pour à peine 1000 € sans perspective y'a de quoi !)
Mauruuru.
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l'aubergiste

dimanche 12 novembre 2006

Pmp?
Vous vous fourvoyez....Notre ami Albert n'est pas un salarié....

Lisez bien ses interventions...;vous devriez y trouver matière à réflexion.

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Albert

dimanche 12 novembre 2006

Pauvre tip...
Ben oui t'as tout compris Tiki, mais certains patrons sont incapables d'imaginer que les méthodes d'il ya 40 ans ne sont plus adaptées. Même si à l'époque elles étaient compréhensibles...Faut attendre ... le temps sait faire un nettoyage dont tous nos discours sont bien incapables! Les pourboires pouvaient se comprendre autrefois pour des raisons sociales et économiques. A présent, il est bien evident que le pourboire est pour le patron comme le salarié d'abord un systeme d'évasion fiscale! Si cette somme était encaissée comptabilisée gérée et redistribuée comme un salaire, elle pourrait être un vrai encouragement et.. amputée des 2 tiers par les charges et impots...Mais notre ami est bon patron. Il veut donner à son personnel: qu'il augmente donc ses prix, supprime les pourboires et redistribue le supplement de marge ainsi acquis sous forme de prime à son personnel. Mais cette fois avec des règles claires et connues de tous.
Dire que ce genre de type vote certainement en plus pour la reduction de la TVA à 5.5, le tabac obligatoire partout et la reouverture des maisons closes! Doit pas prendre grand monde en stop dans sa porsche: ça pourrait la salir. Pauvre tips...
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Mark Watkins

dimanche 12 novembre 2006

N'agressez pas, Mary
Certes, vous semblez avoir beaucoup travaillé dans ce métier, Mary. Mais n'allez pas croire que votre façon de voir les choses, de voir le métier, de l'accomplir est la seule qui vaille. Il y a d'autres expériences qui sont tout aussi valables que la vôtre.

Quant à la critique, nous avons plein de maximes pour la justifier (qui aime bien châtie bien, sans la liberté de blâmer il n'y a point d'éloge flatteur, etc.). Albert est certes un peu direct, mais il y en a qui aiment ça (moi le premier), sachant qu'il a un très bon fond et qu'il rêve de perfection. Je vous invite à lire ou relire ses inerventions, vous verrez qu'elles sont loin d'être aussi négligeables, critiquables et sottes que vous aimeriez le croire. Albert met le doigt là où ça fait mal, mais pour mieux guérir le corps malade de notre profession. Car tout est fait de nuances, Mary. Rien n'est tout blanc ou à l'opposé tout noir. Acceptez les opinions des autres quand elles sont différentes des vôtres (sauf peut-être s'il s'agit d'appels au crime, au racisme et à d'autres viols de la dignité humaine) et le monde ira mieux.
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André PICCA

dimanche 12 novembre 2006

rappel de l'essentiel
Votre remarque rappelle l'évidence, mais il arrive que le responsable se substitue à ses collaborateurs pour assurer des tâches essentielles, dommage.
D'où la naissance du terme de porte d'assiettes qui remontent aux années 80.
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André PICCA

dimanche 12 novembre 2006

resto d'affaires
j'ai compris : restaurant accueillant surtout une clientèle travaillant dans le quartier, col blanc, col bleu, sans distinction, et disposant de moins d'une heure pour manger.
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André PICCA

dimanche 12 novembre 2006

une note de sagesse
Merci Monsieur Watkins pour votre point de vue et votre note de sagesse
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Anne

dimanche 12 novembre 2006

La bêtise insiste toujours
Ne sous-estimez jamais le pouvoir de la stupidité humaine, car la plupart des intolérants se recrutent parmi les ignorants de soi.Il est vrai que cette profession ne brille pas par son intelligence, voila tout le problème. Il faut arrêter de taper sur la profession, car vous faites le jeu des dirigeants . Que faite-vous quant le patron est mauvais ou ne paie pas ,si vous êtes un bon employé il suffit d'en changer , c'est aussi simple que ça, ou de s’installer à son compte vous verrez d’un autre oeil la gestion et direction d’un restaurant. Quant aux tips je connaît des restos ou ils sont partagé avec la cuisine. L’ambiance y est extra et tout le monde y est gagnant.Je suis désolé mais Mary à raison.
Cordialement Anne
A méditer? La critique est la puissance des impuissants. [Alphonse de Lamartine

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