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du 15 janvier 2004
AU FIL DE LA SEMAINE

Revue de presse

< Dans Le Monde
6 000 embauches chez Accor
Interrogé sur les perspectives d'embauches et d'investissements du groupe en 2004, Jean-Marc Espalioux, président du directoire d'Accor, se montre offensif et volontaire. Il y aura de l'embauche. C'est bon signe.
"Accor, qui emploie 158 000 personnes, dont 29 000 en France, devrait embaucher environ 5 000 à 6 000 personnes en France. Ce ne seront pas toutes des créations nettes d'emplois, car nous exerçons un métier où le turnover est important. Nous embaucherons beaucoup de jeunes diplômés de l'hôtellerie et de la restauration. Mais nous devons nous attacher à rendre nos métiers les plus attractifs possibles."
"Pour 2004, nous maintiendrons nos investissements à un niveau élevé, de l'ordre de 500 à 600 millions d'euros, en privilégiant la croissance interne et nos enseignes Novotel, Ibis et Etap Hotel. (...) 10 à 15 % des sommes seront investies dans l'autre métier du groupe, les activités de services comme le ticket-restaurant." zzz22 v zzz36v

< Dans Le Monde
Pot-au-feu d'Europe
A chacun ses variantes. Notre traditionnel pot-au-feu a des cousins en Europe : du Gekochtes Rindfleisch allemand au bollito misto italien, en passant par le Tafelspitz autrichien ou encore l'olla prodrida espagnol, on a une histoire commune que l'on retrouve dans l'assiette. Jean-Claude Ribaut invite ses lecteurs à un tour d'Europe du pot-au-feu dans lequel Guy Savoy a tout particulièrement sa place.
"Dans son nouveau menu baptisé 'Textures & Saveurs', Guy Savoy présente en un seul plat brillantissime le veau sous toutes ses formes : le Jarret poché longuement dans un bouillon de pot-au-feu ; le Filet farci d'une échalote, poêlé au beurre ; le Ris pané à la truffe noire, cuit sur la plancha, tandis qu'une pâte croustillante enserre deux petits morceaux de pied de veau et de langue. Présenté sur une rafle de raisin, la Brochette de rognon, badigeonnée de moutarde violette, est servie poêlée avec une purée de pommes de terre parfumée de la même moutarde au moût de raisin. Ce plat, moderne et savoureux, est un hommage aux saveurs de l'Europe gourmande, dont la force est de se nourrir de ses diversités." zzz22v

< Dans Le Figaro Magazine
Le docteur Le Duff
Louis Le Duff va soutenir sa thèse de troisième cycle en sciences de gestion vendredi prochain devant les profs de l'université de Rennes I. Le patron-créateur de Pizza del Arte, La Brioche Dorée, Le Fournil de Pierre, La Madeleine... connaît bien son sujet : les effets de levier de la franchise. Mais, il ne se limite pas au secteur de la restauration. Il a aussi étudié des enseignes dans le bricolage et le textile. Une diversification en vue ? On notera que Louis Le Duff avait commencé sa thèse il y a un quart de siècle. "J'aime bien terminer ce que je commence", a commenté le docteur Le Duff. zzz18p

< Dans Le Limonadier-restaurateur-hôtelier
Encore un effort, Monsieur le Président !
Didier Chenet est remonté. La réduction de la TVA en restauration, on en parle, mais on ne voit rien venir. Le vice-président du Synhorcat demande à Jacques Chirac d'intervenir et vite, parce que "pendant ce temps-là, les professionnels se meurent".
"Ce qui est grave dans le dossier de la TVA, c'est que d'une revendication ayant pour finalité de réparer une injustice fiscale et donner une bouffée d'oxygène à ceux qui sont asphyxiés, le taux de TVA n'est devenu qu'un simple enjeu électoral... Chargé de ce dossier depuis de nombreuses années au sein du Synhorcat, ayant défendu nos revendications devant les ministres, les députés français et européens, les fonctionnaires de Paris et de Bruxelles, je me retourne aujourd'hui devant le président de la République, exaspéré de voir notre juste revendication repoussée aux calendes grecques. "Monsieur le Président, si vous pensez que la gastronomie française vaut bien les produits du terroir de nos agriculteurs, chers à votre cœur, alors, défendez-nous avec la même qualité d'engagement et de fermeté auprès de nos partenaires européens. Vous avez eu le premier le courage de vous engager dans ce combat, et en retour nous vous avons apporté notre confiance et notre soutien sans faille. Oserez-vous prendre le risque de décevoir 200 000 chefs d'entreprise et plus de 800 000 salariés ? Monsieur le Président, si vous le voulez, vous le pouvez." zzz22v zzz 22t

< Dans Le Figaro
La vache folle peut aussi être une aubaine
McDonald's avait fait le ménage. Le groupe s'était séparé de restaurants déficitaires, voire de la chaîne Donatos Pizza. Il avait travaillé sur ses produits en misant sur du diététique. Résultat, le géant américain regagnait du terrain. Fin 2003, un cas de vache folle est détecté aux Etats-Unis et le cours de l'action plonge. Et si c'était finalement une aubaine pour McDo ? Les analystes y croient.
"La récente chute du cours de Bourse de McDonald's constitue une opportunité de se positionner sur la valeur", estime ainsi l'analyste de Bear Stearn. Seulement cinq jours après la découverte d'un cas de vache folle aux Etats-Unis, l'analyste de JP Morgan a relevé sa recommandation à 'surpondérer' sur McDonald's. JP Morgan estime en effet que la réaction des consommateurs sera minime à moyen terme si toutefois l'on ne recense pas d'autres cas. Au contraire, explique-t-il, "la baisse du prix du bœuf aura un impact immédiat sur les coûts". En effet, "le bœuf représente entre 15 et 20 % des matières premières de McDonald's", souligne de son côté Prudential Equity. (...) De plus, selon les analystes, le groupe devrait encore bénéficier de l'impact positif de la dépréciation du dollar qui risque fort de perdurer. McDonald's, qui a réalisé la majorité de son activité en dehors des Etats-Unis, bénéficie d'un effet de change favorable." zzz22v zzz22t

< Dans Midi-Libre
Nîmes : "La restauration ne se porte pas mal"
La CCI de Nîmes a eu la bonne idée de réaliser une enquête sur la restauration de la ville. La dernière datait de 1992. Ainsi, on apprend que 125 restaurants ont été créés entre 1992 et le 31 août 2003, soit une moyenne de 9 par an. Tous types de restauration confondus, le nombre moyen de couverts servis par jour est de 90. Quant au chiffre d'affaires, 39,87 % des gérants ou propriétaires estiment qu'il a augmenté, 20,94 % qu'il a stagné, 17,57 % qu'il a baissé... et plus de 21 % n'ont pas répondu à cette question. Le ticket moyen est toujours inférieur à 15 e. Jean-Thierry Lazare, qui a dirigé l'enquête, évoque l'avenir de la restauration nîmoise.
"Il y a un vrai travail à effectuer, avec l'office de tourisme, pour développer une clientèle touristique, plus encline à ouvrir le porte-monnaie. Il faut inciter le touriste, via une communication ciblée, à reconnaître une restauration typiquement nîmoise, par exemple avec l'AOC olive verte de Nîmes. Enfin, nous attendons le palais des congrès pour fixer une clientèle d'affaires pour l'heure concentrée sur l'Atria." zzz22v

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L'Hôtellerie Restauration n° 2855 Hebdo 15 janvier 2004 Copyright © - REPRODUCTION INTERDITE

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