TVA : comment va-t-on s'en sortir ?

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alfred

jeudi 18 octobre 2012

Bonjour,

tres tres bien d'avoir baissé les prix donné une mutuel aux salariés d'avoir joué le jeu avec ne hausse de salaire et maintenant quele retour de la hausse de la TVA nous pends au museau avec tout ce qu'on a donné comment fait on???? sans compter les charges en plus et les heures suplémentaire taxé?? comment on fait pour faire face avec une saison triste??
et tout cela en plus pour n'avoir pas plus de personnel sur le secteur a embaucher quand on en a besoins ou vont tous les jeunes qui sortent des ecoles hotelieres et des centres d'apprentissage ???

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Bernard BOUTBOUL

samedi 20 octobre 2012

Vous avez raison, les temps changent, le secteur de la restauration est en pleine mutation et une hausse de la TVA est plus que dans les tuyaux pour le courant 2013. Mais une fois que l'on a dit cela, on fait quoi? On pleure ou on passe à l'action? Je pense très sincèrement que le modèle économique d'un restaurant quel qu'il soit ne fonctionne plus et ne fonctionnera plus comme auparavant. Autrement dit toutes les augmentations de matières, produits, charges et autres ne pourront pas être répercutées sur les prix de vente au risque de déclencher des chutes de fréquentation. Donc les marges et les rentabilités vont progressivement descendre. A mon avis il est grand temps que toutes les parties prenantes de cette profession se mettent autour de la table et remettent à plat le modèle économique du restaurant sur les 2 postes principaux: coûts matières et frais de personnel. Comment ? Pour le coût matières : En achetant ailleurs, en assemblant autrement, en faisant des cartes différemment, en tarifant autrement etc.? Pour les frais de personnel : En recrutant de nouveaux profils, en les faisant travailler autrement, en les fidélisant différemment, en les rémunérant d?une autre façon etc.?
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richard

samedi 20 octobre 2012

Que voulez vous dire pour acheter ailleurs et nouveaux profls ?
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Bernard BOUTBOUL

samedi 20 octobre 2012

Trouver de nouveaux circuits d'achats, de nouveaux fournisseurs, des producteurs en direct par exemple. Embaucher des gens qui ne sont pas des professionnels du service en salle mais qui aiment faire plaisir avec le sourire.On leur apprendra à porter 4 assiettes et à tenir un rang plus tard!
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caro

jeudi 25 octobre 2012

Bonsoir Mr Boutboul
d'accord pour le personnel de salle mais je ne pense pas que votre suggestion peut s'appliquer au personnel de cuisine, qui est tout de même la voute principale de notre métier.
Nos restaurants et hôtels indépendants sont entrain de mourrir ...........
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bertrand

jeudi 25 octobre 2012

Si l'on part sur le raisonnement de Mr Boutboul qui d'ailleurs n'émet aucune idée neuve, juste le fait qu'il faut changer sans savoir comment, il en est définitivement terminé du repas gastronomique traditionnel français pour classé au patrimoine immatériel de l'UNESCO.
Et ces nouvelles formules passent bien en ville, mais pour avoir essayé d'être innovant à la campagne, je peux vous garantir que après de multiples essais, nous sommes obligés de faire machine arrière car la clientèle n'a plus ses repères et se plaint ou déserte au profit de ceux qui ne bougent pas, désespérant. Je suis connu dans mon coin pour être un empêcheur de tourner en rond, je n'ai d'ailleurs pas que des amis à cause de ça, mon optimisation de gestion ne fait pas que des heureux sur le territoire. Enfin, peu importe, j'ai déjà une idée dans le chapeau pour attaquer la 24ème saison l'année prochaine. mais il y aura des dommages collatéraux (salariés que j'aime tant).
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manu

vendredi 26 octobre 2012

Je suis chef :'(de cuisine et entreprise:'(
Je tiens un restaurant semi gastronomique dans une station balnéaire, je suis d une nature optimiste, mais je suis suis assez inquiet aussi
Nous fabriquent deÀ à Z...pains , glaces salles, sucrée, tous les fonds de sauce , etc....
J ai du bon personnel depuis 5 ans pour la plupart et j ai joué le jeu de la TVA.....
Je pensais depuis peu refonder le système:'( dont vous parlé )
Bonne réflexion....devant master Chef......(un peu d ironie dans ce bourbier
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richard

vendredi 26 octobre 2012

oui le constat et flagran trouver des cuisiniers c'est rare j'ai la chance d etre cuisinier mais il y a de quoi se poser des questions quand je pense qu il y en a qui sont pas du metier et qui achete des resto ...enfin cela ne regle pas notre probleme on a besoins d employé et on délocalise pas
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bertrand

vendredi 26 octobre 2012

Mais richard, avez vous regardé la vidéo de notre très cher député de Macon, rapporteur des finances sur la TVA. Il dit clairement qu'il préfère nous taxer car non délocalisables afin de financer des subventions à l'automobile qui, de toutes façons partira quand il n'y aura plus d'aide. Une réelle vision à court terme qui fait très peur. Allons, Messieurs Mesdames les politiques, regardez un peu plus loin que le bout de votre nez. Il dit aussi qu'il ne faut pas mélanger fiscal et social, mais Monsieur le député qui n'avez travaillé que dans l'administratif (toujours en déficit, n'est-ce pas) et en sciences politiques (voir sa biographie sur le net), n ous n'avons qu'un portefeuille avec des vases communicants, nous. nous n'avons pas des finances à rallonge en popnctionnant toujours plus les clients (d'avance pour ceux qui me dirons que la TVA ne fait pas partie du CA, elle ne fait que rentrer et sortir, oui c'est la théorie).
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morillon

mardi 6 novembre 2012

il fallait faire mettre dans les accords une closse qui stipulé que la T V A sur la restauration ne pouvait pas dépasser le taux minimun de T V A appliqué en france .Pourquoi cela n'a pas été demandé ? Les négociateurs de ses accords devaient bien ce douté que le maintient de ce taux pouvez être supprimer à tous moment . La TVA sur la restauration est devenue une idéologie que les média ressortent régulièrement sans vraiment connaitre le dossier . ils parlent moins des avantages de réductions d'impôts accordé à leur corporations .
Qui pourrait être tout aussi bien supprimer.
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bertrand

mardi 6 novembre 2012

Quand vous verrez la gauche (ni même la droite d'ailleurs), toucher aux artistes, aux journalistes et autre profession de ce type, ça voudra dire que vous n'êtes plus en France. Notre profession de sais pas communiquer du tout et n'est pas solidaire alors que ces autres professions sont des pros de la com et sont écoutés par toute le population qui les embobinent.
Il est vraiment inadmissible qu'une profession soit stigmatisée à ce point, surtout une profession qui n'a pas cassé de l'emploi pendant la crise.
A côté de ça, pour pétroplus, 500 emplois, il n'y a pas un jour sans en entendre parler et si des fonds étrangers reprennent l'affaire, il y a fort à parier que ce sera avec des tonnes d'aides gouvernementales et des baisses de charges. Mais là, tout le monde se tait.
Autre point, quand les fleurs sont passées à 5.5% : pas de contrepartie et pas de vagues, ils sont restés discret et hop, c'est passé. Quand le chocolat est passé à 5.5 % : idem, combien d'embauche dans les pâtisseries, combien d'investissement, quelle baisse de prix ?
Et la semaine dernière, pourquoi le clown Daguin est-il passé à la radio ? Un représentant comme celui-ci avec ses arguments d'un autre age nous fait passer vraiment pour des moins que rien.
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bertrand

mardi 6 novembre 2012

Encore un mot : quand vous voyez que Thomas thevenoud estime qu'il vaut mieux subventionner de l'emploi qui est concurrencé à l'international en taxant l'emploi local non délocalisable, il s'agit vriament de ne pas voir plus loin que le bout de son nez : dès que le robinet est fermé, les emplois délocalisables partent (pas grave l'état a des sous) alors que de valoriser les emplois sur place, non ce n'est pas la priorité du gouvernement, surtout avec une balance commerciale déficitaire comme actuellement. Le tourisme ne fait-il pas rentrer de l'argent pour amoindrir ce déficit ?

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